Babka : la brioche que tout le monde s'arrache

Publié le 5 février 2021 à 20h40, mis à jour le 5 février 2021 à 23h42
JT Perso
Comment désactiver votre Adblocker
  • Cliquez sur l'icône de votre Adblocker installé dans votre navigateur. En général elle se trouve dans le coin supérieur droit de votre écran. Si vous utilisez plusieurs adblockers, veillez à bien tous les désactiver pour pouvoir accéder à votre vidéo.
  • Suivez les instructions indiquées par votre Adblocker pour le désactiver. Vous devrez peut-être sélectionner une option dans un menu ou cliquer sur plusieurs boutons.
  • Lorsque votre Adblocker est désactivé, actualisez votre page web.
  • Remarque : Si vous utilisez le navigateur Firefox, assurez-vous de ne pas être en navigation privée.
adblock icone
Un bloqueur de publicité empêche la lecture.
Veuillez le désactiver et réactualiser la page pour démarrer la vidéo.

Source : JT 20h WE

Entre nos spécialités françaises, une brioche polonaise est en train de se faire une jolie place. Si vous n'avez jamais entendu de la babka, nul doute que vous allez succomber à ses arguments.

Babka, son nom ne vous dit peut-être pas grand-chose. Pourtant, sur Instagram, elle dépasse les 200 000 mentions. Et dans les vitrines, elle fait désormais concurrence au grand classique. Pour comprendre pourquoi tout le monde en raffole, direction la pâtisserie qui en propose depuis deux ans.

Tout commence avec la pâte. "Toutes les recettes ne sont pas identiques. On est entre la pâte à pain et la pâte à brioche", confie Jeffrey Cagnes, chef pâtissier chez Stohrer. Elle est ensuite généreusement garnie de pâtes à tartiner et de noisettes grillées. Mais le secret de la babka, c'est son tressage. C'est lui qui donnera son aspect marbré et gourmand, une fois cuite. Chez Stohrer, compter 3,5 euros la part de babka. Un prix qui ne dissuade pas les clients. "C'est réconfortant et c'est vraiment une brioche plaisir", note une cliente.

Originaire de la Pologne, la babka est une adaptation du kouglof qui n'a plus de secret pour Emmanuel Murat, cofondateur de "Babka Zana" et sa femme Sarah. "La version qu'on connaît actuelle, en fait, c'est la version juive polonaise. Et en gros, diaspora juive polonaise, ils arrivent aux Etats-Unis, il n'y a plus de moule à Kouglof, donc, ils inventent ce tressage", raconte Emmanuel Murat. Dès l'ouverture, le succès est immédiat. Deux mille babka sortent des fours chaque week-end. Cette pâtisserie, qui se décline à l'infini, est la promesse d'un doux moment de volupté et d'un retour en enfance assuré.


La rédaction de TF1info

Tout
TF1 Info