Les jardins ouvriers sont une source d'économie en ces temps de pouvoir d'achat malmené.L'objectif est de produire ses propres légumes sans avoir à les acheter.
Dans les jardins ouvriers du Galgenfeld à Sélestat (Bas-Rhin), le froid semble avoir tout arrêté. C'est une erreur ! Dans une association, tous sont adhérents bénévoles et amoureux du jardinage. "Le plaisir, c'est de jardiner ses propres légumes", confie Fabrice Uttard. Sur une parcelle voisine, Patrick Tassin, lui, récolte des radis et quelques autres légumes de saison. Il a le choix.
Une grande famille qui cultive le sens de l'entraide. Pour 270 adhérents, chacun paye une quinzaine d'euros par mois. C'est une somme tout à fait raisonnable. "Surtout compte tenu de la quantité de légumes qu'on peut sortir. On va sortir des kilos de fraises et de framboises", explique Didier Couchevellou, président de l'association. "On n'achète pas parce que les légumes sont quand même meilleurs", lance une membre de l'association. "C'est économique et écologique, mais aussi pour le bien-être psychologique", rajoute un autre.
Le jeune Aimé récolte ses premiers navets avec son papa. Le goût des légumes de son propre jardin, il ne pourra pas le retrouver ailleurs.
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