Après quatre ans de mariage, la star de "Game of Thrones" et le chanteur sont en pleine procédure de divorce.Sophie Turner a porté plainte contre son ancien compagnon pour non-représentation d'enfant.Elle accuse Joe Jonas d'empêcher leurs deux filles de rentrer en Angleterre, comme ils l'avaient prévu.
C'est un divorce qui s'annonce compliqué. Alors qu'ils sont en pleine procédure de séparation, Sophie Turner attaque son ancien compagnon pour non-représentation de leurs filles de 1 an et 3 ans. Comme le rapporte People, qui a eu accès à la plainte déposée auprès d'un tribunal de Manhattan ce jeudi, la comédienne de Game of Thrones demande "le retour immédiat des enfants déplacés ou retenus à tort" en Angleterre.
D'après Sophie Turner, le couple s'était mis d'accord il y a quelques mois pour s'installer définitivement en Angleterre, d'où est originaire la comédienne. Ils avaient même choisi une école, ainsi que des activités pour les fillettes. Engagée sur un tournage, la comédienne avait accepté que les petites accompagnent leur père sur la tournée américaine des Jonas Brothers qui a débuté cet été. Le clan Jonas en avait d'ailleurs profité pour dépeindre Sophie Turner comme une mauvaise mère, expliquant qu'elle préférait faire la fête plutôt que de s'occuper de ses enfants.
Joe Jonas ne veut pas rendre le passeport des enfants
D'après Sophie Turner, une fois son tournage terminé, elle s'est présentée à New York pour décider d'une date de retour au Royaume-Uni. Joe Jonas lui aurait alors opposé un refus catégorique, tout en expliquant qu’il ne lui rendrait pas les passeports de leurs deux enfants.
De son côté, Joe Jonas a expliqué par le biais d'un représentant que l'ordonnance déposée au tribunal de Floride, où la procédure de divorce a été entamée, interdisait aux parents de déplacer les enfants. S'il fournissait les passeports à Sophie Turner, il violerait ainsi cette ordonnance.
"Joe cherche à partager la responsabilité parentale des enfants afin qu’ils soient élevés à la fois par leur mère et leur père, et il est bien sûr d’accord pour que les enfants soient élevés à la fois aux États-Unis et au Royaume-Uni", précise le communiqué qui stipule que les enfants sont nés aux États-Unis et "y ont passé la plus grande partie de leur vie".