Elle "passait ses journées" à taper son nom sur Google : Yann Moix raconte le calvaire de Vanessa Burggraf dans ONPC

Il ne voulait plus faire de télé. Et puis il a changé d’avis. Après avoir annoncé sa retraite cathodique l’été dernier, après trois saisons dans "On n’est pas couché" sur France 2, l'écrivain Yann Moix a rebondi à la rentrée dans "Les Terriens du samedi", l’émission de Thierry Ardisson sur C8. Ce mercredi, il sera ni plus ni moins aux commandes de sa propre émission, "Chez Moix", diffusée sur Paris Première à 23h10.

Jamais à court d’un bon mot, ce "fan de Cyril Hanouna" affirme dans "Télé-Loisirs" vouloir proposer "un équivalent de TPMP, mais version intellectuelle" avec des invités permanents comme Patrick Klugman, Dominique Sopo ou encore Eliette Abecassis, dans l’esprit du mythique "Droit de réponse" de Michel Polac sur TF1 dans les années 1980.

La télé lui serait-elle montée à la tête ? Yann Moix assure que non. "Je pense que je suis le seul type que je connais à  ne pas avoir profité de sa notoriété", promet-il. "C’est incroyable, je me suis rassuré moi-même. Je suis beaucoup plus équilibré que ce que je pensais. Je connais tellement de gens qui sont devenus des connards, une fois connus."

S’il se dit imperméable aux commentaires des réseaux sociaux, lui qui a déclenché une vive polémique suite à ses propos récents sur la police, ce n’est pas donné à tout le monde. L’écrivain revient ainsi sur le calvaire vécu par Vanessa Burggraf, son ancienne partenaire dans "On n’est pas couché".

Yann Moix explique avoir vu la journaliste "se fissurer de jour en jour", d’émission en émission. "J’ai vu cet être humain voler en éclats et se briser doucement comme une porcelaine car elle passait ses journées, ses nuits, ses matinées, bref son existence à taper 'Vanessa Burggraf' sur Google".

Chroniqueuse dans "On n’est pas couché" durant la saison 2016-2017, Vanessa Burggraf n’avait pas été épargnée par les réseaux sociaux, suite à une série de clashes en plateau avec les invités de Laurent Ruquier. Après son départ, elle a été nommée directrice de la rédaction de France 24.