Véronique Genest "a besoin de 10.000 euros par mois"

Publié le 3 août 2022 à 11h35

Source : Sujet TF1 Info

L’interprète de Julie Lescaut évoque sa situation financière dans un entretien au magazine "Ici Paris".
Elle explique notamment avoir besoin d’une large somme tous les mois "pour aider ceux qui sont autour" d’elle.
Des propos qu’elle avait déjà tenus l’an dernier et qui ne devraient pas manquer de faire réagir.

Elle est aussi célèbre pour son franc-parler que pour son rôle de commissaire. Véronique Genest parle sans détours des sujets les plus tabous pour les célébrités, dont l’état de leur compte en banque. Dans un entretien au magazine Ici Paris cette semaine, elle revient sur de précédentes déclarations dans lesquelles elle parlait de "difficultés financières". "Non, j’ai dit que c’était difficile pour les comédiens mais que moi, j’avais de la chance. J’ai des biens et des économies mais elles ne seront pas éternelles", reconnaît-elle, assurant avoir "besoin de 10.000 euros".

Elle assure que sa mère est "morte de mauvais traitements" dans son Ehpad

Un montant qu’elle avait déjà évoqué dans une interview à Télé Star en septembre dernier. Mais l’intégralité de cette somme n’est pas seulement "pour tenir" mais aussi "pour aider ceux qui sont autour d’elle". "Les retraites des comédiens ne sont pas à la hauteur du temps qu’ils passent à travailler. Elles sont minimes. Le chômage est plafonné, pas énorme. Mais je ne me suis jamais plainte", souligne la star de la série Julie Lescaut

"Beaucoup d’amis sont en perdition totale" après les deux ans de pandémie, racontait-elle à Télé Star. "J’ai des charges énormes (…). On entretient beaucoup de monde", parlant notamment de l’ex-femme de son mari et de sa mère de 90 ans. "Tout part dans les frais", martelait-elle. Dans Ici Paris, elle évoque plus longuement sa mère qui, jusqu’à son décès en février, vivait dans un Ehpad qui "coûtait entre 5000 et 6000 euros par mois". Véronique Genest ajoute avoir pensé à porter plainte contre la société Orpea, gestionnaire de l’établissement en question et soupçonnée de maltraitances, assurant que sa mère "est morte de mauvais traitements". "Il faut des lettres, des preuves, des recommandés. Je suis allée jusqu’au siège de la Région", poursuit-elle, sans préciser si elle irait au bout de la démarche judiciaire.


Delphine DE FREITAS

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