Louis Bertignac, Jean Reno, Roonie Wood… ces stars championnes de la paternité tardive

par Judith KORBER
Publié le 22 novembre 2016 à 14h08, mis à jour le 22 novembre 2016 à 14h13
Louis Bertignac, Jean Reno, Roonie Wood… ces  stars championnes de la paternité tardive

PAPY BOOM - Ils ont beau avoir l’âge d’être des grands-pères, ils continuent à faire des enfants. Chez les acteurs, chanteurs ou hommes politiques, il n’y a pas d’âge pour s’arrêter de procréer. La preuve avec Louis Bertignac, Jean Reno, Bruce Willis, Alec Baldwin, Roonie Wood…

Il n’y a pas d’âge pour être papa ! Nos amies les stars nous le prouvent tous les jours. Dernier en date à connaître les joies des nuits blanches, des couches et des biberons : Louis Bertignac. Il y a deux jours, à 62 ans, le guitariste des Insus est devenu papa pour la troisième fois d’un petit Jack né de sa relation avec sa compagne de 34 ans sa cadette. 

A l’heure d'être grand-père, de nombreux chanteurs ou acteurs choisissent, eux, d'agrandir directement leur arbre généalogique. Parmi ceux-ci citons : Jean Reno, Bruce Willis, Robert de Niro, Johnny Hallyday, Alec Baldwin ou Jean-Jacques Goldman. Sans oublier au rayon politique Nicolas Sarkozy, papa à 56 ans d’une petite Giulia née en 2011. 

Des risques pour la santé de l'enfant

Parmi les champion toute catégorie de la paternité tardive, on trouve notamment Roonie Wood. En mai dernier, le guitariste des Rolling Stones, qui affiche 68 printemps, a accueilli ses jumelles Gracie Jane et Alice Rose. "Il ne pense pas que son âge soit un problème. Il se sent jeune et en pleine forme", avait alors assuré un proche au Sun. Peut-être. 

Mais avoir des enfants aussi tard, c’est aussi prendre le risque qu’ils grandissent orphelins de père. En 1985 sur le tournage de Manon des Sources, Yves Montand fait la connaissance d’une jeune assistante Carole Amiel. Le 31 décembre 1988 naît Valentin, le seul enfant reconnu par l’acteur. Las, le petit garçon n’est âgé que de 3 ans quand son papa décède d’une crise cardiaque.

 Enfin, une étude parue dans Nature en 2002 a établi que la paternité tardive augmente chez l’enfant les risques de troubles autistiques, de schizophrénie et de maladies congénitales.


Judith KORBER

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