À Perpignan, le Festival International du Photojournalisme vient de s'ouvrir jusqu'au 26 septembre. En effet, 25 expositions exceptionnelles reflètent les temps forts de l'actualité.
Ils fuient, en portant le toit de leur maison. De plus en plus extrême et imprévisible, la mousson a détruit leur village et leur terre. Ils doivent se reconstruire ailleurs. Les migrants climatiques au Bangladesh sont de plus en plus nombreux avec les changements climatiques.
Dans chacune des 25 expositions de "Visa pour l'image", entre 30 et 70 photos sont présentes pour approfondir des sujets, souvent moins traités par les médias, comme celle sur les réfugiés dans la crise sanitaire. "On s'intéresse pour une fois aux gens qui n'ont pas accès aux soins, qui n'ont pas accès à la vaccination", affirme Jean-François Leroy, fondateur et directeur du festival.
Des migrants qui fuient la guerre en Syrie ou bien au Tigré, au nord de l'Ethiopie. Il y a aussi ceux qui partent faute de terre, comme ces paysans éthiopiens, prêts à tout pour rejoindre l'Arabie Saoudite. Certaines photos font un triste écho à l'actualité en Afghanistan. Eric Bouvet photographie depuis 40 ans les conflits, toujours avec pudeur. Ce sont des images qui interpellent, bouleversent, font sourire parfois et provoquent toujours une émotion.
Sur le
même thème
Tout
TF1 Info
- InternationalHaut-Karabakh : l'enclave au centre des tensions entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan
- Police, justice et faits diversDisparition inquiétante de Lina, 15 ans, en Alsace
- Police, justice et faits diversAttentat de Magnanville : sept ans après, l'heure du procès
- SportsRC Lens
- Sujets de sociétéLe pape François à Marseille, une visite historique