LIVE POLITIQUE - Mélenchon dénonce les "côtés poutiniens" du "système Macron"

Publié le 29 mai 2017 à 23h07, mis à jour le 29 mai 2017 à 23h42

DIRECT - Aussitôt rentré du G7, Macron poursuit son baptême diplomatique avec la venue de Poutine. Philippe reste quant à lui sur le dossier du Code du travail. Et pendant ce temps, les candidats aux législatives continuent de faire campagne. On vous fait vivre tout ça en direct.

Ce live est à présent terminé. 

#SARNEZ


Le Parisien révéle ce lundi soir que la ministre chargée des Affaires européennes, Marielle de Sarnez, fait l'objet, avec 18 autres eurodéputés français, d'une enquête préliminaire ouverte en février dernier pour abus de confiance au préjudice du Parlement européen. Le quotidien explique que le FN est à l'origine de cette procédure, "copier-coller" de celle qui le vise dans l’affaire des emplois fictifs présumés de ses assistants d’eurodéputés. 


Voulant prouver que "plusieurs élus français au Parlement européen ont à leur service des assistants ayant par ailleurs des fonctions au sein de leur formation politique respective", l'eurodéputée frontiste Sophie Montel a en effet alerté la justice française et donné les noms de 19 eurodéputés. Dont celui de Marielle de Sarnez, donc, qui dément tout délit et assure avoir "toujours respecté le règlement du Parlement européen".

#MÉLENCHON


Quelques heures après la réception du président russe à Versailles, Jean-Luc Mélenchon a dénoncé "les côtés poutiniens" d'Emmanuel Macron. "Le système Macron il a des côtés poutiniens, parce que ce sont les oligarques qui sont au pouvoir en France aussi", a-t-il estimé en marge de son meeting à Evry (Essonne). 


Parmi les "oligarques" dans son viseur, le chef du gouvernement Edouard Philippe, ancien cadre d'Areva qu'il désigne comme "l'ancien représentant du lobby du nucléaire". Mais aussi le directeur de cabinet du ministère du Travail, Antoine Foucher, ancien directeur adjoint du Medef, et Audrey Bourolleau,  conseillère agriculture à l'Elysée après avoir occupé un poste de lobbyiste pour l'industrie du vin.

#MÉLENCHON

Après la rencontre entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine, Jean-Luc Mélenchon a dénoncé les "côtés poutiniens" du "système Macron", en dénonçant certaines nominations "d'oligarches" par le président français dans certains ministères ou cabinets. Il a placé au premier rang des "oligarches" dénoncés le Premier ministre Edouard Philippe, ancien cadre d'Areva qu'il désigne comme "l'ancien représentant du lobby nucléaire".

#MÉLENCHON

Jean-Luc Mélenchon est très actif sur le terrain depuis le début de la campagne des législatives. Ce soir, il est allé soutenir la candidate qui se présente face à Manuel Valls dans la 1ère circonscription de l'Essonne.

#LE PEN

Marine Le Pen a accusé dans un communiqué le parti LR d'être un "strapontin" pour La République en marche après les propos de François Baroin prônant un désistement en cas de victoire possible du FN. "En abandonnant ainsi le 'ni ni' pour une stratégie visant à faire élire le maximum de députés du parti En Marche, M. Baroin apporte une énième confirmation de ce que nous répétons depuis des semaines : LR n'est pas un parti d'opposition à Macron, c'est un strapontin à la majorité présidentielle."

#BAROIN

Le chef de file LR pour les législatives François Baroin a déclaré lundi qu'il était favorable aux désistements en cas de victoire possible du FN. "La position du mouvement elle est connue depuis toujours. Les gaullistes sont les adversaires historiques du FN et de l'extrême-droite" a expliqué le maire de Troyes. François Baroin a dit souhaiter qu'En marche et le Parti socialiste prennent les mêmes engagements. "Les désistements devront faire partie de l'entre-deux-tours des législatives."

#LR

Louis Cosyns, candidat Les Républicains aux législatives dans la 3e circonscription du Cher et impliqué dans un accident de la route mortel a annoncé sa décision de retirer sa candidature par "respect" pour la "famille endeuillée". 

#PS

Le Parti socialiste a dévoilé une liste de six porte-parole qui participeront à l'animation de la campagne des législatives. Il s'agit du conseiller régional d'Ile-de-France Julien Dray, du sénateur Luc Carvounas, de la présidente de la délégation socialiste française au Parlement européen Christine Revault-d'Allonnes-Bonnefoy, de l'adjointe au maire de Strasbourg Anne-Pernelle Richardot, de la secrétaire nationale Isabelle This Saint-Jean et du premier fédéral du Val d'Oise Rachid Temal.

#MACRON #POUTINE

Une journaliste russe a demandé aux deux présidents s'ils avaient évoqué entre eux les accusations souvent faites à la Russie de s'ingérer dans les élections présidentielles : "Ce n'est pas une question que nous avons abordé. Le président français n'a marqué aucun intérêt, et moi encore moins" a répondu le président russe. Emmanuel Macron a lui répondu : "Je suis un pragmatique. On a évoqué les choses sur ce sujet-là lors de notre premier échange après ma victoire, il a dit ce qu'il avait à me dire. Ce qui compte c'est qu'on avance."

#MACRON #POUTINE

"J'ai rappelé l'importance pour la France du respect de toutes les personnes,  de toutes les sensibilités" a déclaré le président français. "Nous avons abordé le cas des personnes LGBT en Tchétchénie et des associations en Russie. Nous avons convenu d'avoir un suivi régulier sur ces sujets" a ajouté Emmanuel Macron. 

#MACRON #POUTINE

Emmanuel Macron explique qu'il a abordé tous les dossiers importants avec le président russe, notamment la Syrie : "Sur la Syrie, j'ai rappelé quelles étaient nos priorités. Je crois que sur ce dossier nous pourrons travailler ensemble dans les prochaines semaines." "La lutte contre Daech est le fil directeur de nos échanges" a ajouté le président français, qui a expliqué qu'il souhaitait encourager en Syrie "une transition démocratique en conservant l'Etat syrien". Il a aussi affirmé que la ligne rouge de la France était "l'utilisation d'armes chimiques par qui que ce soit". Il promet dans ce cas-là une "riposte immédiate de la part des Français".

#MACRON #POUTINE

Emmanuel Macron et Vladimir Poutine donnent une conférence de presse commune depuis la galerie des glaces du château de Versailles. Suivez-là en direct sur LCI.

#CAZENEUVE

L'ancien Premier ministre socialiste Bernard Cazeneuve est à Villeurbanne ce lundi, auprès de Najat Vallaud-Belkacem qui y est candidate pour les législatives.

#SONDAGE

Selon un sondage Harris Interactive, La République en marche arriverait en tête au premier tour des élections législatives avec 31% des intentions de vote.

#MACRON #POUTINE

Après que ses échanges de poignet avec Donald Trump ont retenu l'attention du monde, celle avec Vladimir Poutine était attendue (ou pas) : voici la poignée de mains entre Emmanuel Macron et son homologue russe.

La première poignée de main entre Emmanuel Macron et Vladimir PoutineSource : Sujet JT LCI
Cette vidéo n'est plus disponible

#POUTINE #MACRON

Vous pouvez revivre, si le coeur vous en dit, l'arrivée du président russe à Versailles.

L'arrivée de Vladimir Poutine au Château de VersaillesSource : Sujet JT LCI
Cette vidéo n'est plus disponible

#POUTINE #MACRON

Vladimir Poutine est sorti de sa voiture et part à la rencontre d'Emmanuel Macron. Les deux hommes se serrent la main quelques secondes, sourire aux lèvres, adressent un petit geste aux journalistes et se dirigent vers le château. Un dernier regard aux observateurs et les deux hommes s'engouffrent.

#POUTINE #MACRON

La délégation russe fait son apparition dans le cadre somptueux du château de Versailles. 

#POUTINE #MACRON

Emmanuel Macron est arrivé au château de Versailles.

#THÉVENOUD

En août 2014, il avait été nommé secrétaire d'Etat dans le gouvernement Valls, avant d'en démissionner neuf jours plus tard, après que Mediapart a révélé qu'il ne déclarait ni ne payait ses impôts depuis des années. A quoi l'intéressé avait répondu qu'il souffrait de "phobie administrative", un concept qui fera date dans l'histoire du quinquennat de François Hollande.

#FISC

L'ancien secrétaire d'Etat Thomas Thévenoud, membre d'un gouvernement le plus éphémère de la Ve République, a été condamné à trois mois de prison avec sursis et un an d'inéligibilité.

#LÉGISLATIVES

Le Monde fait état d'une difficile campagne pour Marielle de Sarnez, ministre des Affaires européennes imposée par le Modem dans la 11e circonscription de Paris. Si bien qu'une candidature dissidente est née du côté de la République en marche et que la ministre voit s'approcher le risque d'une défaite aux législatives.

#POUTINE #MACRON

Le président russe doit arriver d'une minute à l'autre au château de Versailles. Au menu des discussions entre l'homme fort du Kremlin et Emmanuel Macron : les relations franco-russes, l'avenir de l'UE, la lutte antiterroriste et les crises internatinoales, de la Corée du Nord à l'Ukraine en passant par la Syrie.

#FERRAND 

Parmi les acteurs du dossier interrogés par le quotidien breton, l'actuelle directrice générale, qui témoigne d'un point soulevé par Me Castel, l'ex-bâtonnier de Brest. Dans le cas d'un possible conflit d'intérêts dans le cadre d'une convention signée par la mutuelle, doit être rédigé un "rapport spécial" nécessairement remis à l'assemblée générale de la mutuelle qui doit décider d'approuver ou non la décision. 


Dans le cas présent, pas de rapport spécial, mais là encore, tout est prévu, puisqu'il est possible de s'en passer, à deux conditions : que le prix de vente ne soit pas supérieur à celui du marché ; que la personne sous le coup d'un conflit d'intérêt n'ait pas de lien juridique avec le tiers. Or, Richard Ferrand et Sandrine Doucen, bien qu'en couple, ne sont ni mariés, ni pacsés...

#POUTINE ET LES FRANÇAIS 

Difficiles, difficiles relations.

#FERRAND

Le Télégramme, quotidien régional breton, a enquêté sur les zones d'ombre de l'affaire immobilière révélée par Le Canard enchaîné, mercredi 24 mai. Interviewée à l'occasion, la notaire des Mutuelles de Bretagne, qui se trouve également être conseillère de Sandrine Doucen, la compagne de Richard Ferrand, juge que la transparence de la transaction ne fait aucun doute : "On veut nuire à Richard Ferrand !"

#FILLON


L'ancien candidat à la présidentielle s'est rendu chez les juges ce matin, dans le cadre des soupçons d'emploi fictif. Toutes les explications ici : 

#PS #CAMBADÉLIS


Thierry Mandon, l'ancien secrétaire d'État à la Recherche et à l'Enseignement supérieur, a invité Jean-Christophe Cambadélis à quitter la direction du PS, dans une interview à L'Opinion.

#FRONT NATIONAL

"Nous avons une cinquantaine de circonscriptions où elle a obtenu plus de 50% des suffrages (45, en réalité), donc il y a de vraies perspectives."

#NICOLAS BAY

Le débat a-t-il essoufflé la dynamique frontiste ? "Marine Le Pen a fait preuve d'humilité en reconnaissant que ce débat n'était pas une réussite."

#FRONT NATIONAL

Interrogé par LCI, Nicolas Bay (FN) prétend que "les Français ne veulent pas donner un chèque en blanc à Emmanuel Macron". Et le secrétaire général du parti d'extrême droite de fustiger les positions de François Baroin, chef de file des Républicains, qui a appelé "au partage des tâches avec le président".

#FRONT NATIONAL

Interrogé par LCI, Nicolas Bay (FN) prétend que "les Français ne veulent pas donner un chèque en blanc à Emmanuel Macron". Et le secrétaire général du parti d'extrême droite de fustiger les positions de François Baroin, chef de file des Républicains, qui a appelé "au partage des tâches avec le président".

#FILLON

Plus d'un mois après son élimination au premier tour de l'élection présidentielle, François Fillon refait donc face aux accusations qui ont pollué sa campagne. Pour mémoire, l'ancien Premier ministre est accusé d'avoir détourné de l'argent public pour rémunérer son épouse et ses enfants pour des travaux dont l'existence est sérieusement mise en doute par les enquêteurs.

#FILLON

L'audition de François Fillon a duré environ deux heures. Elle devait avoir lieu ce mardi.

#NDA #GUILLON

Menacé d'une plainte par Nicolas Dupont-Aignan pour une blague très douteuse sur sa mère décédée, l'humoriste de Canal + a répondu à l'ex-candidat.

#FILLON

Ce que nous vous annoncions tout à l'heure est confirmé. François Fillon s'est bien rendu chez les juges ce lundi, dans le cadre de l'enquête sur les emplois présumés fictifs de sa famille.

#MUSELIER

Le même Castaner qui, on s'en souvient, avait retiré sa liste socialiste aux régionales pour faire battre le Front national, a eu droit à l'hommage du nouveau président : 

#MUSELIER

Le petit tir du nouveau président de la région Paca (LR) à l'endroit de Jean-Luc Mélenchon, très apprécié par le local Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement.

#PHILIPPOT

Après les révélations du Parisien, le vice-président du Front national Florian Philoppot réitère son appel à la démission pour le ministre Richard Ferrand.

#FRONT NATIONAL

Questionnée sur France Info quant au futur nom du parti (s'il doit y avoir un changement), Marine Le Pen a écarté l'hypothèse des "Patriotes". "Non. Si les adhérents du Front national décident de changer de nom, ce ne sera pas celui-là", a-t-elle expliqué à RTL. A noter que "Les Patriotes" est le nom que Florian Philippot a donné à son association interne au Front national.

#POUTINE

Le président russe et ses homologues français, une relation pas toujours simple.

#RÉGION

Après l'annonce de la démission de Christian Estrosi, à la tête de la région depuis 2015 et retourné depuis à la tête de la mairie de Nice, le conseil régional de Provence-Alpes-Côte-d'Azur a élu Renaud Muselier pour le remplacer.

#FRONT SOCIAL

Pour en savoir plus, notre article sur le sujet.

#FRONT SOCIAL

... et Caroline de Haas, candidate du rassemblement citoyen, soutenue notamment par le PCF, Benoît Hamon et EELV, sont de la partie, alors que les salariés sont réunis à Bobigny à l'occasion d'une audience au tribunal commercial.

#FRONT SOCIAL

Dans le 18e arrondissement, les candidats de gauche se bousculent en soutien aux salariés de Tati, le grand magasin de Barbès menacé de fermeture. Paul Vannier, candidat de la France insoumise...

#FILLON

Selon nos informations, l'ancien candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle serait arrivé au pôle financier du tribunal de grande instance.

#MÉLENCHON

L'accusation formulée par le candidat de la France insoumise aux législatives contre Bernard Cazeneuve continue de faire causer. Le porte-parole de la République en marche a appelé à sa condamnation pour diffamation, sur France 2 ce matin, tandis que le Premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis lui a demandé de retirer ses propos, sur France Info, cette fois.

#POUTINE

Interrogé à ce sujet, l'ambassadeur russe en France Alexandre Orlov a parlé sur Europe 1 d'"une information complètement fausse", expliquant même que le pouvoir russe avait mené une enquête après la publication de l'information dans un journal d'opposition.

#POUTINE

A l'occasion de la venue du président russe en France, des militants d'Amnesty International veulent attirer l'attention sur le sort des homosexuels en Tchétchénie, province russe dont le dirigeant Kadyrov est ostensiblement soutenu par le Kremlin.

#POPULARITÉ

A l'inverse, le choix de Nicolas Hulot de rejoindre le gouvernement booste sa popularité, puisqu'il arrive en tête de ce baromètre, avec 57% d'adhésion. Emmanuel Macron, lui, bénéficie d'une adhésion mesurée, avec 58% de soutien. Certes plus que François Hollande au départ de ce dernier, mais moins que son prédécesseur à sa troisième semaine d'exercice du pouvoir.

#LÉGISLATIVES

Selon un sondage Odoxa pour L'Express et France Inter, Manuel Valls et devance Marine Le Pen au palmarès des personnalités les plus rejetées par les Français. Avec 54%, de ressentiment, il devance d'un point Marine Le Pen et son éphémère allié Nicolas Dupont-Aignan.

#GOUVERNEMENT

En charge de la moralisation de la vie publique, François Bayrou a-t-il un avis sur les révélations qui touchent Richard Ferrand ? 

#LE PEN

Invitée à réagir aux accusations formulées contre le FN par une ancienne attachée de presse du groupe au Parlement européen, Marine Le Pen les a jugées "infondées", ce lundi sur RTL. La présidente du FN a rappelé que la jeune femme était "prestataire extérieure" et n'avait, à ce titre, pas besoin de "contrat de travail", comme le dénonce la plaignante, Marie-Sophie Bournard. Et Marine Le Pen de conclure sur une pique : "Elle a été payée pour cela et trop, je vais vous dire franchement, à mon goût, pour le travail qu'elle a effectué."

#DUPONT-AIGNAN

Le patron de Debout la France a la dent dure contre le président et ceux qui s'occupent de sxon traitement médiatique.

#EN MARCHE SUSPENDUE

Un candidat de Haute-Garonne, condamné à un an d'inéligibilité, s'est vu retirer l'investiture.

#CAMBADÉLIS

"La dimension du pouvoir personnelle d'Emmanuel Macron, quand il dit qu'il veut exercer une présidence jupitérienne, lui reviendra comme un boomerang."

#CAMBADÉLIS

Sur France Info, le Premier secrétaire du PS porte un regard ironique sur la façon dont sont perçus les premiers pas du président sur la scène internationale. "Je suis fasciné par l'attraction suscitée par les premiers pas d'Emmanuel Macron sur la scène internationale : il n'y avait pas quand même pas grand chose de difficile. Il a réussi une poignée de mains avec Donald Trump, bon... Si Emmanuel Macron continue à se regarder dans glace pédaler, il ne va pas aller loin. La diplomatie à coups de poignée de mains, je n'y crois pas trop. Depuis le Premier ministre japonais, chacun se prépare."

#DUPONT-AIGNAN

"Je ne peux pas entendre les propos de Stéphane Guillon une nouvelle fois. Je vais porter plainte contre lui. L'entendre une première fois, déjà, mais là, vous me le faites entendre une seconde fois. C'aurait été un humoriste de droite face à un homme de gauche, tout le monde l'aurait attaqué. Vous auriez pu m'épargner ça."

#DUPONT-AIGNAN

A-t-il regretté d'avoir quitté le plateau de TF1 pour marquer son désaccord avec son absence lors du débat présidentiel du 20 mars ? "Non, mon seul regret est de l'avoir fait devant vous."

#DUPONT-AIGNAN

"Je pense que les Français n'ont pas voté pour le programme d'Emmanuel Macron. Ils ont voté contre et parce qu'il y a eu une propagande. Et je leur dis : 'Méfiez-vous'."

#DUPONT-AIGNAN

"La loi travail qui veut que dans les entreprises, on ne travaille pas pareil, c'est l'exploitation de l'homme par l'homme, une logique financière, qui est dangereuse. Je souhaite qu'Emmanuel Macron n'ait pas les pleins-pouvoirs. Il ne faut surtout pas voter  pour les députés En Marche."

#DUPONT-AIGNAN

"On est en pleine propagande. Emmanuel Macron ne s'en sort pas bien. Il a fait un sommet, il a dit du bien de Trump. Je ne dis pas qu'il a fait des erreurs, mais on est dans une partialité incroyable. La presse veut lui donner une majorité."

#DUPONT-AIGNAN

"Il y a des millions d'électeurs de droite qui comprennent très bien ma démarche et qui veulent s'opposer à la folie sociale du programme de monsieur Macron."

#DUPONT-AIGNAN

Nicolas Dupont-Aignan reprend une intox bien connue de la droite anti-Macron en évoquant "la taxe sur les propriétaires qui se prépare".

#DEBOUT LA FRANCE

"Les électeurs comprennent très bien qu'il y a deux partis indépendants. Ce n'est pas parce que j'ai fait un choix au second tour que je perds mon âme, que je deviens Front national. Quand on vote Debout la France, on ne vient pas à la soupe comme Les Républicains auprès de monsieur Macron. Quand ils votent DLF, les électeurs savent pour qui ils votent."

#DUPONT-AIGNAN

Redoute-t-il un vote sanction, lui qui est le député le mieux élu depuis 1997 ? "On verra", élude-t-il. "Je lève un tabou. J'ai eu le courage de soutenir madame Le Pen et j'ai eu le courage de tirer les leçons de son échec."

#DUPONT-AIGNAN

"Quand François Mitterrand a fait l'union de la gauche, tout le monde l'a salué. Moi je veux faire l'union des droites.

#DUPONT-AIGNAN

"Est-ce qu'on pourrait un jour donner le témoignage des gens qui approuvent mon choix ?"

#DUPONT-AIGNAN

"Mon parti va très bien. C'est pas parce qu'il y a trois cadres qui sont partis qu'on va mal."

#DUPONT-AIGNAN

"Les cadres ne sont pas partis. Sur les 100 secrétaires départementaux, il y en a 5 qui sont partis. Il y a Dominique Jamet, qui a parlé d'erreur morale ? Mais il vit dans le passé..."

#DUPONT-AIGNAN

Interrogé à nouveau sur son alliance avec Marine Le Pen, le président de DLF assure "ne pas avoir fait l'erreur de sa vie". "Je ne regrette pas ce choix, à regarder le programme d'Emmanuel Macron et celui de Marine Le Pen".

#LE PEN

A noter que la présidente du Front national s'est réjouie de la visite de Vladimir Poutine en France : "Il faut normaliser les relations avec la Russie", a-t-elle assuré sur RTL.

#SALUT C'EST VLADIMIR

C'est l'événement de la journée : Emmanuel Macron rencontre Vladimir Poutine au château de Versailles. On vous explique le choix de ce lieu pour présider à la rencontre entre les deux hommes, pas nécessairement évident au premier abord...

#LE PEN

Grosse ambiance entre le chef du file du PS et celui de la France insoumise.

#LE PEN

"Florian Philippot a toute sa place au Front national. On n'est pas obligé d'être d'accord avec tout le monde sur tout, c'est même plutôt sain !"

#LE PEN

"Il n'y a pas de divergences au Front national", répond la présidente du FN au sujet de la situation difficile de Florian Philippot.

#LE PEN

Marine Le Pen tient à son clivage mondialistes/patriotes : "Je tendrai la main à tous les élus qui sont opposés à Emmanuel Macron. De droite ou de gauche. Il est là, l'enjeu de la recomposition politique."

#FERRAND

Rebondissement ?

#LE PEN

Et si les Républicains ont plus de députés que le FN ?

"Qu'est-ce que ça change puisqu'ils sont d'accord avec quasiment tout le programme d'Emmanuel Macron ?"

#LE PEN

La présidente du Front national explique que son parti est "à la tête de l'opposition à Emmanuel Macron", après le deuxième tour de l'électioin présidentielle, en grossissant le trait : "Nous avons réuni un Français sur trois".

#BONJOUR

Bonjour à toutes et tous et bienvenue pour cette nouvelle journée politique. On commence fort avec l'interview de Marine Le Pen sur RTL.

La semaine commence fort pour le Président et le Premier minsitre. Ils ont chacun des dossiers sensibles et importants à l'ordre du jour. Emmanuel Macron reçoit Vladimir Poutine à Versailles et tâchera d'asseoir sa stature internationale en abordant avec lui des sujets aussi brûlants que la Syrie et l'Ukraine. Du côté de Matignon, ce sont les négociations sur la réforme du Code du travail qui se poursuivent. Les représentants syndicaux (CGT, CFDT, CPME, CFTC...) défileront chacun leur tour devant Edouard Philippe. 

Pendant ce temps-là, la campagne pour les législatives se poursuivent. A moins de deux semaines du premier tour, les marcheurs vont tenter de confirmer l'avance que leur donnent les sondages. Leurs concurrents feront tout pour renverser la tendance.

Découvrez tous les candidats de votre circonscription sur notre carte interactive.


La rédaction de TF1info

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