REPORTAGE - À Valflaunès (Hérault), les sangliers dont le nombre augmente considérablement sèment le trouble. La population organise alors de plus en plus de battues.
Samedi soir, en plein centre-ville de Nîmes, les sangliers sont de plus en plus curieux et de plus en plus nombreux. Ils seraient cinq fois plus qu'il y a dix ans et cela se voit. La seule solution pour protéger les vignobles au pied du pic Saint-Loup, c'est de se résoudre à clôturer. Des clôtures électriques, mobiles au début, n'étaient pas suffisantes. Il a fallu investir dans du plus solide. Plus esthétiques également, elles s'élèvent à plusieurs dizaines de milliers d'euros.
Trois fois par semaine, c'est la battue aux sangliers. On en dénombre deux millions et demi dans le pays. De ce fait, en tuer un n'est plus un événement pour les chasseurs. Dans l'Hérault, il y en a 300 en moins chaque année. Mais ce lundi matin, des points orange guettent. Les piqueurs s'engouffrent avec les chiens.
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