Dominique Curis, chargée de la campagne "Stop surveillance de masse" pour Amnesty International France, revient sur la décision de son entité d'épingler la France sur la question des libertés. Beaucoup de dysfonctionnements constatés notamment chez les personnes assignées à résidence. Elle dénonce les accusations infondées sur certaines personnes qui ne peuvent pas se défendre et les dégâts provoqués par les perquisitions.
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