François Hollande souhaitait que la commémoration de la journée nationale de la déportation au camp de soit une cérémonie européenne. Il s’est entouré pour cela des présidents du Parlement européen Martin Schulz et de la Commission européenne Donald Tusk. "Il a fallu l’horreur, l’abomination pour que tout le monde comprenne qu’on ne pouvait rien créer dans l’avenir s’il n’y avait pas une Europe unie", souligne l’historien Yves Ternon.
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