Thierry Beuzeville veille à ses 300 bêtes. Mais deux jours par semaine, l’éleveur de Veauville-lès-Baons troque sa blouse contre celle du tablier de boucher. Sans intermédiaire, il est libre de fixer ses prix. De quoi se mettre à l’abri des crises et rembourser ses 200.000 euros d’emprunt en 2007. Quant aux clients, ils sont prêts à payer plus cher pour le soutenir, surtout quand la qualité est là.
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