En janvier, une jeune fille racontait comment elle avait été endoctrinée par Internet pour faire le jihad. Les gendarmes et la police traquent les sites jihadistes ou ceux qui font leur apologie. Depuis l'état d'urgence et la loi relative à la lutte contre le terrorisme, ils peuvent maintenant bloquer directement les sites jugées dangereux. Les internautes peuvent également signaler les sites en question sur les réseaux sociaux.
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