LA QUESTION OFF - Invitée politique lundi matin sur LCI, Nadine Morano a réglé ses comptes avec Nicolas Canteloup, qui l'avait comparée à Donald Trump, et avec les humoristes en général , "vassaux" de la pensée unique selon la député européenne LR.
Habituée aux dérapages en tous genres à propos de l'islam ou de la France qu'elle considère comme "un pays de race blanche", Nadine Morano est devenue une cible privilégiée pour les humoristes. Fréquemment brocardée sur les ondes et à la télévision pour ses saillies provocatrices, la députée européenne (LR) a répondu lundi sur LCI à Nicolas Canteloup, qui l'avait comparée à Donald Trump, le "Nadine Morano en santiags".
Un trait d'humour qui n'a visiblement pas plu à Nadine Morano qui a déploré "une forme de pensée unique politico-médiatique", qui serait selon elle "servie par des petits vassaux que sont les humoristes qui essayent de faire passer dans l’opinion publique des idées militantes". Elle a ensuite réaffirmé qu'elle n'avait "rien à voir avec Donald Trump" que ce soit sur ses propositions, sur son parcours ou sur ce qu'elle est.