Achat immobilier ou travaux : les aides pour les propriétaires

VIDÉO - "Les prix des maisons sont inatteignables" : l'accès à la propriété de plus en plus difficile

par V. F Reportage TF1 : Manon Monnier, Chloé Ebrel et Fanny Bourdillon
Publié le 6 juin 2023 à 18h21, mis à jour le 7 juin 2023 à 9h49
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Source : JT 20h Semaine

Avec la hausse des taux d'intérêt des crédits immobiliers, il est presque devenu impossible d'acheter un logement dans certaines régions.
TF1 a rencontré des Français confrontés à cette galère.

Le regard plein d’espoir, Mélanie et Thomas cherchent tous les jours depuis deux ans la maison de leur rêve. Ce jeune couple souhaite devenir propriétaire près de la côte nord du Finistère, avec un budget de 230.000 euros. Hélas, à chaque fois, c’est la même réponse : aucune maison n’est disponible à ce prix dans le secteur. "C'est de la frustration parce qu'au final, on travaille tous les deux, on a de bons salaires, donc c'est compliqué", se désespère Mélanie dans le reportage de TF1 ci-dessus. Son compagnon renchérit : "Les prix des maisons sont inatteignables. Ce sont des budgets de maisons à 400.000 euros, voire plus". 

Faire des concessions

Yves Cloarec, agent immobilier à Lannilis (Finistère), n'a malheureusement aucune solution à leur apporter. "C'est très compliqué effectivement. On retrouve le même problème qu'on a eu en 2007, après la première augmentation immobilière entre 2002 et 2007, où les jeunes primo-accédants ne pouvaient plus se loger parce que les prix avaient explosé. C'est d'autant plus regrettable que ces primo-accédants font vivre les communes", reconnait-il. 

D’autres trouvent, mais en faisant des concessions. À Rennes, Luna et Dhionis viennent de signer un compromis après plus d’un an de recherche. "Ouf, et en même temps, ça fait bizarre de se dire qu'on a enfin trouvé quelque chose", lance la jeune fille. L'année dernière, la banque leur garantissait un prêt à 200.000 euros. Aujourd’hui, avec la hausse des taux d'intérêt, ils ne peuvent emprunter que 175.000 euros, en faisant des sacrifices. "Du coup, on a dû se décaler un peu du centre-ville. Sans compter les travaux, ce qui est un budget qu’on n'avait pas forcément compté dans notre premier achat", explique son compagnon. 

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Ces derniers mois, de nombreux primo-accédants abandonnent leur projet, car les exigences d’achats sont de plus en plus importantes.


V. F Reportage TF1 : Manon Monnier, Chloé Ebrel et Fanny Bourdillon

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