EN DIRECT - L'Ukraine a repris plusieurs localités aux Russes près de Kharkiv, annonce Zelensky

Publié le 7 septembre 2022 à 6h45, mis à jour le 7 septembre 2022 à 22h36

Dans sa traditionnelle allocution de soirée, Volodymyr Zelensky a affirmé que l'armée ukrainienne avait repris plusieurs villes aux Russes près de Kharkiv.
"Cette semaine, nous avons de bonnes nouvelles de la région de Kharkiv", a déclaré le président ukrainien. Refusant de les nommer, il a évoqué des "localités où le drapeau ukrainien est revenu".
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UNION EUROPÉENNE 


Bruxelles a présenté ses pistes pour alléger les facteurs énergétiques des Européens. Parmi elles, le plafonnement du prix du gaz russe et la réduction de la consommation aux heures de pointes.


Ces propositions seront examinées vendredi par les ministres de l'Énergie des pays membres.

WASHINGTON


Les États-Unis ont accusé mercredi le Kremlin de coordonner de vastes opérations de "triage" en Ukraine dans le but de faciliter à terme l'annexion de territoires sous son contrôle. "Nous avons des informations selon lesquelles des responsables de l'administration présidentielle russe supervisent et coordonnent ces opérations de triage" de centaines de milliers de personnes, a déclaré le porte-parole adjoint de la diplomatie américaine, Vedant Patel. 


Ces responsables au plus haut niveau "fournissent des listes d'Ukrainiens à cibler", a-t-il ajouté lors d'un point de presse, en accusant "la Russie de mener ces opérations dans le cadre de ses efforts visant à annexer des parties de territoires de l'Ukraine sous son contrôle".

ENFANTS TRANSFÉRÉS DE FORCE EN RUSSIE


Il existe des "accusations crédibles" d'enfants seuls transférés de force d'Ukraine vers la Russie, a déclaré mercredi la sous-secrétaire générale des Nations unies pour les droits de l'Homme, s'inquiétant de leur possible adoption par des familles russes.


"Il y a des accusations crédibles de transferts forcés d'enfants non accompagnés vers le territoire occupé par la Russie ou vers la Fédération de Russie elle-même", a déclaré Ilze Brands Kehris lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU sur les déplacements forcés en Ukraine.

CÉRÉALES 


L'Ukraine a réfuté mercredi les accusations du président russe Vladimir Poutine, qui a assuré que les exportations de céréales de Kiev allaient majoritairement vers les pays de l'UE, lui rétorquant que deux tiers des livraisons partaient vers des pays d'Afrique et d'Asie.


"Au total, les deux tiers des navires envoyés sont dirigés vers l'Asie, l'Afrique et le Moyen-Orient", a assuré le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba, cité dans un communiqué, insistant sur le fait que ces exportations de Kiev avaient "eu un effet positif sur la réduction des prix" alimentaires. "Les mensonges des Russes sur l'envoi des céréales ukrainiennes uniquement en Europe ne correspondent tout simplement pas à la réalité", a-t-il affirmé.

ZAPORIJIA


Zaporijia, la plus grande centrale nucléaire d'Europe, est occupée par les troupes russes depuis le début de l'invasion. L'opérateur nucléaire ukrainien est favorable à l'envoi de casques bleus de l'ONU, alors que le site et la région font régulièrement l'objet de frappes.

CONTRE-OFFENSIVE


Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé ce mercredi soir que l'Ukraine avait repris plusieurs localités aux Russes près de Kharkiv, dans le nord-est de l'Ukraine, sans toutefois donner aucun détail. 


"Cette semaine, nous avons de bonnes nouvelles de la région de Kharkiv", a déclaré le président dans son discours vidéo du soir diffusé sur les réseaux sociaux. Refusant de les nommer, il a évoqué des "localités où le drapeau ukrainien est revenu".

FRONTIÈRE POLONAISE


Des files d'attente géantes de camions se sont formées en Ukraine à la frontière polonaise, les routiers mettant en cause la lenteur des contrôles, en pleine invasion russe de ce pays, ont constaté des journalistes de l'AFP.


Selon les routiers interrogés par l'AFP sur ce segment de route, cette file d'attente longue de 18 kilomètres s'est formée il y a trois jours et n'a avancé que d'un kilomètre et demi ces dernières 24 heures. Les autorités ukrainiennes ont de leur côté signalé une queue de 54 kilomètres sur un autre segment. 


Les camions coincés transportent des marchandises en direction de la Pologne ou bien arrivent à vide pour en emmener au retour vers l'Ukraine, où le transport maritime est quasiment à l'arrêt du fait de la guerre contre la Russie, hormis pour le transport crucial de céréales. 

UKRAINIENS EN RUSSIE


L'ambassadrice américaine aux Nations unies Linda Thomas-Greenfield a assuré sur Twitter que la Russie avait expulsé des "centaines de milliers d'Ukrainiens vers des régions reculées de la Russie".


"Ils sont interrogés, ils sont détenus, ils sont expulsés de force. Certains sont envoyés aux confins de l'est de la Russie, près de la frontière nord-coréenne",  a-t-elle affirmé, ajoutant que la Russie devait "autoriser des observateurs indépendants à vérifier leur bien-être".

RÉFÉRENDUMS


Le parti du président russe, Russie Unie, propose d'organiser ces référendums le 4 novembre prochain. "Donetsk, Lougansk et de nombreuses autres villes russes vont enfin retrouver leur port d'attache", a déclaré le secrétaire du Conseil général du parti. Moscou a reconnu l'indépendance de ces régions juste avant le début de son offensive, en février dernier.

CRIMÉE


Le commandant en chef de l'armée ukrainienne, Valery Zaloujny, a pour la première fois reconnu mercredi avoir mené des frappes de missiles ayant visé en août des bases russes en Crimée annexée, menaçant de poursuivre ce type d'opérations. L'Ukraine a "effectué avec succès des frappes de missiles sur des bases militaires de l'ennemi, notamment sur l'aérodrome de Saki", a-t-il écrit dans un article publié par l'agence de presse publique Ukrinform.


Des explosions avaient retenti début août sur cet aérodrome russe situé en Crimée et avaient fait un mort et plusieurs blessés et détruit notamment des munitions destinées à l'aviation militaire. Kiev n'avait jusque là pas reconnu officiellement de responsabilité dans cette attaque, ni dans une autre qui avait touché quelques jours plus tard un dépôt de munitions dans le nord de la Crimée.

Urgent

RÉFÉRENDUM D'ANNEXION


Le parti de Vladimir Poutine, Russie Unie, a proposé mercredi d'organiser le 4 novembre des référendums dans les territoires ukrainiens occupés par les forces russes pour les rattacher à la Russie.


"Donetsk, Lougansk et de nombreuses autres villes russes vont enfin retrouver leur port d'attache. Et le monde russe, aujourd'hui divisé par des frontières formelles, retrouvera son intégrité", a déclaré, selon le parti, le secrétaire du Conseil général de Russie Unie, Andreï Tourtchak, alors que la Russie célèbre le 4 novembre la Journée de l'Unité nationale. 


La Russie avait annoncé lundi suspendre les préparatifs de ce référendum, qui concernait la région de Kherson, dans le sud de l'Ukraine et cible d'une importante contre-offensive ukrainienne.

RÉCESSION


"Le risque de récession augmente" dans l'Union européenne, a averti le commissaire à l'Économie Paolo Gentiloni ce mercredi, en raison notamment de la flambée des prix de l'énergie sur fond de guerre en Ukraine.


"Nous pourrions bien nous diriger vers l'un des hivers les plus difficiles depuis des générations", a-t-il averti, dans un discours à Bruxelles. "Un certain nombre de signaux d'alarme clignotent au rouge: les prix de l'énergie ont battu de nouveaux records, l'inflation a continué à grimper, le climat économique se détériore. Et la guerre russe continue", a-t-il dit.

PÉTROLE


Lesté par les craintes de récession économique en pleine crise mondiale du coût de la vie, le Brent, référence du pétrole brut en Europe, est passé mercredi sous 90 dollars, une première depuis début février, avant l'invasion russe de l'Ukraine.


Vers 13h20 GMT (15h20 à Paris), le Brent de la mer du Nord perdait 3,18% à 89,88 dollars le baril, quand son homologue, le WTI américain, dévissait de 3,48% à 83,86 dollars, tombant sous 85 dollars pour la première fois depuis janvier.

PROPAGANDE RUSSE


Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a appelé à la "vigilance collective" face à la propagande russe sur la guerre en Ukraine qui trouve selon lui des "relais d'opinion" en France, via notamment "des interventions, parfois de responsables politiques, parfois d''experts'". 


"On voit émerger notamment sur des plateaux télés des interventions, parfois de responsables politiques, parfois d''experts' qui commencent à porter sur notre territoire la parole russe comme une parole crédible et parfois même peuvent remettre en question la réalité des faits sordides qui se déroulent en Ukraine", a déclaré Olivier Véran dans son compte-rendu du conseil des ministres.


"Ne nous faisons pas (...) les porte-voix de ce qui s'apparente clairement à la surexploitation de la liberté d'expression qui est bien vivante en France contrairement à la Russie, pour servir la propagande russe", a-t-il encore plaidé, rejetant "l'exercice qui consisterait à commenter ou démentir en permanence les paroles de quelqu'un qui n'attend que cela de nous". "Il saura pouvoir compter sur des relais d'opinion et notamment via les réseaux sociaux", a-t-il fait valoir.

MÉDIAS


Le président russe Vladimir Poutine a critiqué Dmitri Mouratov, co-lauréat du prix Nobel de la Paix 2021 et rédacteur en chef de Novaïa Gazeta, l'un des derniers médias indépendants en Russie, désormais menacé de disparition. "A mon avis, le comité Nobel a en grande partie dévoyé et dévalorisé la signification des prix Nobel dans le domaine humanitaire", a affirmé le chef d'État pendant un forum économique à Vladivostok (Extrême-Orient russe).


"Nous connaissons beaucoup de ces cas, quand les décisions (d'attribuer un prix Nobel) sont prises exclusivement sous l'influence de la conjoncture politique actuelle. Cela ne fait pas honneur à ceux qui prennent de telles décisions", a estimé Vladimir Poutine, citant l'exemple du prix Nobel de la paix 2009 décerné à l'ex-président américain Barack Obama (2009-2017).

CHINE ET RUSSIE


Les présidents russe et chinois se rencontreront les 15 et 16 septembre en marge d'un sommet régional. Vladimir Poutine et Xi Jinping se verront pour la première fois depuis le début de la guerre en Ukraine.

TURQUIE


Les pays occidentaux se rendent coupables de "provocation" envers la Russie, estime le président turc Recep Tayyip Erdogan. "Je peux dire très ouvertement que je ne trouve pas que l'attitude actuelle de l'Occident [...] soit la bonne. L'Occident mène une politique basée sur la provocation."

AIDE EUROPÉENNE


L'Union européenne prépare une nouvelle aide financière à l'Ukraine de cinq milliards d'euros, annonce Ursula von der Leyen. Il s'agit de la deuxième tranche d'un paquet maximum de neuf milliards pour 2022, proposé le 18 mai.

SANCTIONS


Vladimir Poutine estime que le "pic" des difficultés économiques causées en Russie par les sanctions occidentales était "passé", malgré des "problèmes" logistiques dans certains secteurs.


"Nous pensons que le pic de la situation est passé. La situation se normalise", s'est félicité le président russe. Selon lui, "cela se traduit par (une amélioration) des indicateurs macroéconomiques", avec notamment "un taux de chômage au plus bas, à 3,9%" et "une inflation en baisse".

NUCLÉAIRE


Un accident nucléaire à la centrale de Zaporijia, occupée par les Russes, risque d'affecter non seulement l'Ukraine, mais aussi des pays voisins, avertit l'agence d'inspection chargée de la sécurité nucléaire en Ukraine. 


En cas de dommages au cœur du réacteur, "il y aura des conséquences non seulement pour l'Ukraine, mais aussi, clairement, au-delà des frontières", prévient Oleg Korikov, le chef par intérim de cette structure.

ZAPORIJIA


La Russie n'a pas déployé d'équipement militaire à la centrale de Zaporijia en Ukraine, affirme Vladimir Poutine après l'appel de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) à y créer une zone démilitarisée.


Dans un rapport dévoilé mardi, "l'AIEA écrit qu'il est nécessaire de retirer le matériel militaire du territoire de la centrale. Mais il n'y a aucun équipement militaire sur le territoire de cette centrale" contrôlée par les forces russes dans le sud de l'Ukraine, assure le président russe.

PRIX DU GAZ RUSSE


La Russie ne livrera plus de pétrole ou de gaz aux pays qui plafonneraient les prix des hydrocarbures vendus par Moscou, a prévenu ce mercredi le président Vladimir Poutine, au moment où les Occidentaux travaillent à une telle mesure.


Plafonner les prix "serait une décision absolument stupide", a lancé le président russe. "Nous ne livrerons rien du tout si c'est contraire à nos intérêts, en l'occurrence économiques. Ni gaz, ni pétrole, ni charbon [...]. Rien."

CASQUES BLEUS


L'Ukraine est favorable à l'envoi de casques bleus de l'ONU à sa centrale nucléaire de Zaporijia, la plus grande d'Europe et occupée par les troupes russes, a déclaré ce mercredi le chef de l'opérateur public Energoatom.


"Déployer le contingent du maintien de la paix et sortir les militaires russes peut être un des moyens pour créer la zone de sécurité à la centrale nucléaire de Zaporijia", a déclaré à la télévision Petro Kotine cité par l'agence Interfax-Ukraine, au lendemain de l'appel par l'Agence internationale de l'énergie atomique à la création d'une "zone de sécurité" autour du site.

ÉNERGIE


Vladimir Poutine dément utiliser l'énergie comme une "arme" contre l'Europe. Les Occidentaux "disent que la Russie utilise l'énergie comme une arme. Encore un non-sens ! Quelle arme utilisons-nous ?", demande le président russe. "Nous fournissons autant que nécessaire selon les demandes faites" par les pays importateurs.

F. BAYROU APPELLE À "RÉSISTER" AUX "MENACES" DE V. POUTINE


"Si les sanctions [contre la Russie] étaient inefficaces comme l'opposition le dit, est-ce-que Vladimir Poutine chercherait des mesures de rétorsion, comme couper le gaz ?", a lancé sur LCI le président du MoDem François Bayrou, invité de l'Interview Politique. "La vérité est qu'évidemment ces sanctions sont dures, parce que ce qu'a fait Vladimir Poutine est inacceptable. (...) Il va faire peser des menaces sur le monde entier et il faut y résister avec suffisamment d'imagination pour partager la charge avec nos voisins et améliorer la situation relative de la France dans ces circonstances historiques", a développé le maire de Pau.

VLADIMIR POUTINE


"Il est impossible d'isoler la Russie", lance Vladimir Poutine, qui assure que les sanctions contre son pays "menacent le monde entier." "Peu importe combien certains voudraient isoler la Russie, il est impossible de le faire", insiste-t-il. La pandémie de Covid-19 "a été remplacée par de nouveaux défis d'ordre global, qui menacent le monde entier. Je veux parler de la fièvre de sanctions de l'Occident."


Le président russe accuse également les pays de l'UE de bénéficier des céréales ukrainiennes, et non les pays en développement. "Presque toutes les céréales exportées d'Ukraine sont envoyées non pas aux pays en développement et aux pays les plus pauvres, mais aux pays de l'Union européenne", déplore-t-il.

LE POINT SUR LA SITUATION


Rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique, bombardements dans la ville de la centrale nucléaire... Le point sur la situation en Ukraine.

ZAPORIJIA


La Russie a demandé des "clarifications" à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur son rapport sur la situation à la centrale nucléaire de Zaporijia, indique ce mercredi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. "Il y a un besoin d'obtenir des clarifications supplémentaires, parce que le rapport contient un certain nombre de points d'interrogation", déclare-t-il à l'agence russe Interfax.


La veille, l'ambassadeur russe à l'ONU avait notamment déploré que l'AIEA ne désigne pas les forces de Kiev comme étant celles qui bombardent la centrale de Zaporijia.

VOLODYMYR ZELENSKY 


Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué mardi le rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) mentionnant la présence de matériel militaire russe dans la centrale nucléaire de Zaporijia.


"Le rapport mentionne la présence de matériel militaire russe dans l'enceinte de la centrale nucléaire, la pression qui y est exercée sur nos employés, et fait clairement allusion à l'occupation militaire russe. C'est une bonne chose", a déclaré le président ukrainien lors de son message quotidien.

AIEA


L'ambassadeur russe à l'ONU a regretté mardi lors d'une réunion du Conseil de sécurité que le rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ne pointe pas la responsabilité de l'Ukraine, que Moscou accuse d'avoir bombardé la centrale nucléaire de Zaporijia.


"Nous regrettons que dans votre rapport (...) la source de ces bombardements ne soit pas nommée directement", a déclaré Vassili Nebenzia, estimant que ce rapport présenté à distance par le patron de l'AIEA devant le Conseil était une "confirmation" que la "seule menace" contre le site venait des "bombardements et des sabotages par les forces armées ukrainiennes".

C'est non. L'administration américaine a estimé mardi qu'il serait contre-productif en l'état actuel de qualifier la Russie comme un "État sponsorisant le terrorisme", rejetant ainsi les appels en ce sens en provenance de Kiev et de parlementaires américains. Interrogé lundi à ce sujet, le président américain Joe Biden avait lâché un "non" laconique, rompant des mois de tergiversations américaines au moins publiquement. 

Mardi, la porte-parole de la Maison Blanche Karine Jean-Pierre, à qui il était demandé d'expliciter la réponse du président Biden, a affirmé qu'une telle qualification "n'était pas le moyen le plus efficace ni le plus fort pour exiger que la Russie rende des comptes" pour son invasion de l'Ukraine. 

La responsable a notamment précisé que cela pourrait nuire aux efforts pour faire parvenir l'aide humanitaire à l'Ukraine. Une telle qualification pourrait aussi "saper la (coalition) multilatérale sans précédent qui a été si efficace pour exiger des comptes (au président russe Vladimir) Poutine et notre capacité à soutenir l'Ukraine" dans les négociations, a-t-elle ajouté. 

Venant de la première économie mondiale, qualifier un État comme "soutenant le terrorisme" a de vastes conséquences, exposant notamment les banques et entreprises américaines à des poursuites devant les tribunaux. 

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait exigé fin juin que la Russie soit reconnue comme "État parrain du terrorisme", au lendemain d'une frappe russe sur un centre commercial ayant fait au moins 18 morts. 


La rédaction de TF1info

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