Guerre en Ukraine : TF1 et LCI sur le terrain
En Direct

EN DIRECT - Guerre en Ukraine : le président américain Joe Biden est arrivé en Pologne

Publié le 20 février 2023 à 6h30, mis à jour le 20 février 2023 à 21h52
JT Perso

Le président américain Joe Biden est arrivé lundi soir en Pologne en train ce lundi soir.
Il arrive d'Ukraine, après sa visite surprise à Kiev.
Suivez les dernières informations.

Ce live est à présent terminé. 

Suivez notre dernier direct dans l'article ci-dessous.

BIDEN A VARSOVIE


Le président américain est arrivé dans la capitale polonaise en début de soirée, après une visite surprise de quelques heures à Kiev.

RETOUR DE L'ÉCLAIRAGE PUBLIC


Plusieurs sources rapportent que l'éclairage public nocturne est de retour, à Kiev ou ici à Boutcha, au nord de la capitale. Certains secteurs étaient privés de lumière la nuit depuis plus de trois mois, à la suite de frappes russes sur les infrastructures.

VISITE DE BIDEN : RÉACTIONS A KIEV


Les envoyés spéciaux de LCI à Kiev ont enregistré les réactions d'habitants de la capitale ukrainienne, alors que la visite-surprise du président américain venait d'être annoncée.

Visite de Biden : réactions dans les rues de KievSource : TF1 Info

UNE FILE DE CAMIONS DE 40 KM


En Pologne, une file de camions s'étend sur plus de 40 km en direction du seul passage disponible pour le transport des marchandises en Biélorussie, après la récente fermeture par Varsovie d'un autre poste important et des mesures de rétorsion appliquées par Minsk. 


"Environ 1.900 camions forment cette queue, ce qui correspond à quelque 63 heures d'attente" sur les bas-côtés de la route qui mène au passage de Koroszczyn, a déclaré à l'AFP le porte-parole des douanes locales, Michal Drus. 


La Pologne a soudainement fermé, le 10 février, l'un de ses deux points de passage frontaliers avec le Bélarus pour les marchandises, à Bobrowniki. Varsovie a expliqué cette mesure par la défense de la "sécurité de l'État" en raison des "tensions croissantes" avec ce pays allié de la Russie. 

LA TOUR EIFFEL EN BLEU ET JAUNE

LA GUERRE SUR GRAND ÉCRAN


Le documentaire de Bernard-Henri Lévy sort en salles, tandis que celui de Sean Penn est présenté à la Berlinale. Regards croisés sur le conflit en Ukraine.

Culture, médias et divertissement
Avec Bernard-Henri Lévy et Sean Penn, la guerre en Ukraine s’invite sur grand écran

PROPAGANDE RUSSE


Sur le plateau de LCI, Samira El Gadir décrypte la propagande de la télévision d'État russe.

CONTRACTION DU PIB RUSSE


Le Produit intérieur brut (PIB) de la Russie s'est contracté de 2,1% en 2022, résistant mieux que prévu à l'impact des lourdes sanctions occidentales après l'offensive de Moscou en Ukraine, selon les statistiques officielles publiées
ce lundi. 

CHARLES III AFFICHE SON SOUTIEN

ROYAUME-UNI


Le roi Charles III s'est rendu dans le camp d'entraînement militaire de Wiltshire, dans le sud-ouest de l'Angleterre, où il a rencontré des recrues ukrainiennes en cours de formation par l'armée britannique.

Chris Jackson / POOL / AFP

LIVRE D'OR


Joe Biden signe le livre d'or au palais Mariinsky de Kiev, sous les yeux de Volodymyr Zelensky, au cours de sa visite-surprise dans la capitale ukrainienne.

EVAN VUCCI / POOL / AFP

FRANCE : MANIFS DE SOUTIEN


Des manifestations auront lieu à Paris et dans plusieurs villes de France samedi 25 février en soutien à l'Ukraine, au lendemain du premier anniversaire de l'invasion russe, ont annoncé plusieurs associations. 


À Paris, le rendez-vous est donné à 14H place de la République, ont indiqué les associations organisatrices : Pour l'Ukraine, pour leur liberté et la nôtre !, le Réseau français de solidarité avec l'Ukraine et l'Union des Ukrainiens de France. La Ligue des droits de l'Homme appelle également à manifester. 

COMPTE À REBOURS


La télévision d'Etat Rossiya 24 affiche en permanence un compte à rebours jusqu'au discours de Vladimir Poutine prévu demain, presque un an après le déclenchement de l'invasion de l'Ukraine.


Dans son tweet, la correspondante du New York Times rapporte que le discours devrait être encore plus offensif que prévu, à la suite de la visite-surprise de Joe Biden à Kiev.

BIDEN : LES DESSOUS D'UNE VISITE-SURPRISE

DÉPLACEMENT DE JOE BIDEN


Les États-Unis avaient averti la Russie de la visite du président Joe Biden en Ukraine en amont de son départ, afin d'éviter tout conflit, a affirmé à la presse le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan. 


"Nous avons bien prévenu les Russes que le président Biden voyagerait à Kiev. Nous l'avons fait quelques heures avant son départ", a déclaré Jake Sullivan, précisant : "en raison de la nature sensible de ces échanges, je ne rentrerai pas dans la manière dont ils ont répondu ou quelle était la nature exacte de notre message". 

RETOUR SUR LA VISITE DE JOE BIDEN


Joe Biden s'est rendu à Kiev ce lundi matin pour une visite surprise, sa première depuis le début de la guerre. "L'Ukraine est toujours debout, la démocratie est toujours debout", a martelé le président américain. Volodymyr Zelensky a salué un "signe de soutien extrêmement important".

OLIGARQUES MOLDAVES


La Moldavie a demandé lundi à l'UE d'imposer des sanctions aux oligarques moldaves accusés d'aider la Russie à déstabiliser le pays, après des allégations selon lesquelles Moscou complotait pour renverser le gouvernement pro-occidental en place à Chisinau.


"Ce n'est pas la première fois que la Moldavie est confrontée à de telles situations depuis l'année dernière", a souligné lundi le ministre des Affaires étrangères moldave Nicu Popescu, lors d'une rencontre à Bruxelles avec les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne.


Il a appelé ses homologues à placer "les oligarques et les politiciens corrompus qui, avec la Russie, tentent de déstabiliser la Moldavie" sur une liste noire des personnes interdites de voyager dans l'UE et dont les avoirs sont gelés par les Vingt-Sept.

MANIFESTATIONS EN SOUTIEN À L'UKRAINE


Des manifestations auront lieu à Paris et dans plusieurs villes de France samedi 25 février en soutien à l'Ukraine, au lendemain du premier anniversaire de l'invasion russe, ont annoncé lundi plusieurs associations.


À Paris, le rendez-vous est donné à 14h place de la République en direction de la place de la Bastille, ont indiqué les associations organisatrices : Pour l'Ukraine, pour leur liberté et la nôtre!, le Réseau français de solidarité avec l'Ukraine et l'Union des Ukrainiens de France. La Ligue des droits de l'Homme appelle également à manifester.


Des rassemblements sont également prévus dans une quinzaine de villes dont Tours, Dijon, Marseille, Lyon ou Clermont-Ferrand. "Nous attendons plusieurs milliers d'Ukrainiens et, nous l'espérons, plusieurs milliers de Français", a déclaré le président de l'Union des Ukrainiens de France, Jean-Pierre Pasternak, lors d'une conférence de presse. Selon cette association, quelque 110.000 Ukrainiens sont arrivés en France depuis février 2022, dont 90% de femmes et d'enfants. 

UNE DÉFAITE RUSSE "INÉVITABLE"


L'opposant russe Alexeï Navalny, emprisonné depuis plus de deux ans, a estimé qu'une défaite militaire du Kremlin était "inévitable" en Ukraine, près d'un an après l'offensive massive de l'armée russe contre Kiev.


"Une défaite militaire définitive (en Ukraine) peut encore être retardée au prix de la vie de centaines de milliers de mobilisés (les réservistes russes récemment enrôlés par Moscou, NDLR), mais, au final, elle est inévitable", a-t-il indiqué dans un message publié lundi par son équipe sur les réseaux sociaux.

J. BIDEN À KIEV : QUELLE RÉACTION À MOSCOU ?


L'information de la venue de Joe Biden à Kiev a été diffusée par les agences de presse et les journaux russes en Russie. Aucune réaction politique ne s'est pour l'heure fait entendre, selon l'envoyé spécial de LCI à Moscou.

BAKHMOUT


La Russie a affirmé lundi avoir "complètement" pris le contrôle d'une localité située à proximité immédiate de Bakhmout. "Les volontaires de détachements d'assaut, avec la coopération d'unités aéroportées et l'appui d'unités d'artillerie (...) ont complètement libéré la localité de Paraskoviïvka", a ainsi déclaré le ministère russe de la Défense.


La prise de ce village, qui se trouve à la jonction de deux importantes routes, avait déjà était revendiquée, vendredi dernier, par le groupe paramilitaire russe Wagner. 

KIEV


Le président américain Joe Biden a quitté Kiev, la capitale ukrainienne, ont indiqué lundi des sources proches de la Maison Blanche. "Le président Biden a quitté Kiev", a indiqué à la mi-journée le pool de journalistes couvrant celle-ci. 

MOLDAVIE


Le Kremlin a accusé lundi la Moldavie d'"hystérie antirusse" après des déclarations du Premier ministre appelant à démilitariser la région séparatiste prorusse de Transdniestrie. "La zone transdniestrienne doit être démilitarisée", a affirmé Dorin Recean. Ce processus est "fondamental" pour assurer une "réintégration pacifique" du pays, assure Daniel Voda, nouveau porte-parole du gouvernement moldave.


Moscou n'a pas du tout goûté à cette sortie médiatique. "Le gouvernement moldave, d'une certaine manière, insiste sur tout ce qui est antirusse et tombe aussi dans une hystérie antirusse", dénonce le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, qualifiant les relations russo-moldaves de "très, très tendues". "Évidemment, je recommanderais à nos homologues moldaves d'être extrêmement prudents", a-t-il mis en garde. 

FMI 


Le ministre français de l'Economie Bruno Le Maire a plaidé lundi en faveur d'une aide du FMI de 15 milliards d'euros à l'Ukraine. "Nous travaillions sur un programme FMI pour l'Ukraine qui pourrait être de l'ordre de 15 milliards d'euros sur quatre ans. Au-delà du soutien apporté par l'Europe, au-delà du soutien apporté par les pays du G7, il est important que le FMI se mobilise pour l'Ukraine", explique le ministre de l'Économie. 


En parallèle, Paris travaille à un nouveau renforcement des sanctions contre la Russie. "Dans le cadre du G7, par ailleurs, nous plaiderons pour un renforcement des sanctions économiques contre la Russie", a-t-il indiqué. 

BIDEN


Lors de sa conférence de presse, ce lundi, Joe Biden a rappelé qu'il était déjà venu à six reprises en Ukraine, lors de son mandat de vice-président de Barack Obama. Son dernier déplacement dans le pays remonte au mois de janvier 2017, peu avant de quitter sa fonction. 

VISITE SURPRISE 


Le président américain Joe Biden effectue une visite surprise à Kiev ce lundi 20 février. Une façon de marquer son soutien "indéfectible" à l'Ukraine. Volodymyr Zelensky salue un "signe extrêmement important de soutien".

"TOUT FAIRE POUR QUE 2023 SOIT L'ANNÉE DE LA VICTOIRE"


"Nous devons tout faire pour que 2023 soit l'année de la victoire", a lancé Volodymyr Zelensky. "C'est en Ukraine que le sort de l'ordre mondial se décide, et ensemble avec le président Joe Biden et nos alliés, nous devrons tout faire pour que le monde démocratique gagne dans cette bataille historique", a appuyé le président ukrainien, saluant le "soutien inébranlable" de son homologue américain envers Kiev.

RÉUNION ENTRE LE G7 ET VOLODYMYR ZELENSKY


Le G7 tiendra une réunion en ligne avec Volodymyr Zelensky le 24 février, a indiqué le Premier ministre japonais Fumio Kishida. "Afin que les dirigeants des pays du G7 puissent rester unis dans le traitement de l'invasion de l'Ukraine, j'ai décidé d'organiser cette semaine, le 24, une réunion en ligne des dirigeants des pays du G7 avec le Président Zelensky pour invité", a-t-il déclaré. 

AIDE JAPONAISE


Le Premier ministre japonais promet 5,5 milliards de dollars d'aide en plus pour l'Ukraine. "Il est encore nécessaire d’aider les personnes dont les moyens de subsistance ont été détruits par la guerre et de restaurer les infrastructures détruites. Nous avons décidé de fournir un soutien financier supplémentaire de 5,5 milliards de dollars", a déclaré  Fumio Kishida. 

LIVRAISON D'ARMEMENTS SUPPLÉMENTAIRES


Joe Biden est revenu sur l'aide militaire livrée par les États-Unis à l'Ukraine. Il a évoqué 500 millions de dollars d'assistance supplémentaire dont les détails seront annoncés dans les jours à venir.


"Je vais annoncer la livraison d'autres équipements essentiels, notamment des munitions d'artillerie, des systèmes anti-blindage et des radars de surveillance aérienne, et un peu plus tard cette semaine nous allons annoncer des sanctions supplémentaires contre les sociétés qui essaient d'éviter les sanctions et qui soutiennent la Russie", a-t-il fait savoir. "Nous allons offrir des milliards en soutien budgétaire indirect, pour que le gouvernement puisse les utiliser immédiatement pour les services de base pour les citoyens", a-t-il aussi annoncé.

"L'UKRAINE EST TOUJOURS DEBOUT"


Revenant sur les premières heures de la guerre, il y a près d'un an, le président américain Joe Biden a déclaré que "le monde était sur le point de changer, je m'en souviens comme si c'était hier", se remémorant son appel avec Volodymyr Zelensky à ce moment-là. "Le monde attendait la chute de Kiev, (...) peut-être la fin de l'Ukraine. Un an plus tard, Kiev est toujours debout, l'Ukraine est toujours debout, la démocratie est toujours debout, les Américains sont à vos côtés, le monde est à vos côtés", a-t-il déclaré. "Nous serons de votre côté aussi longtemps que nécessaire", a-t-il aussi lancé.


"Kiev est chère à mon cœur", a poursuivi le président américain, citant six visites en tant que vice-président. Se disant "honoré" de cette visite surprise ce lundi, il s'est réjoui du fait que "tout le monde a lutté" en Ukraine. "Nous sommes confiants, nous savons que vous allez continuer en ce sens", a-t-il appuyé. "Vous rappelez au monde chaque jour ce que signifie le mot courage."


"Poutine pensait que l'Ukraine était faible et l'Occident était divisé, il comptait sur le fait que nous ne puissions pas maintenir l'union dans l'OTAN et que nous ne puissions pas nous rallier à l'Ukraine. Je ne pense pas qu'il puisse penser cela maintenant, il s'est trompé, il a mal jugé", a-t-il souligné.

LA RUSSIE "N'A AUCUNE CHANCE DE GAGNER"


Lors d'une allocution au palais présidentiel de Kiev à l'occasion de la visite surprise de Joe Biden, Volodymyr Zelensky a affirmé avoir échangé avec le président américain, "une conversation qui appuie notre victoire commune". "Aujourd'hui, les négociations furent constructives et importantes", a-t-il insisté, remerciant son homologue et le peuple américain. "Nous allons renforcer notre défense antiaérienne, nous avons parlé des armes de longue portée et nous allons aborder les questions des armements à fournir à l'avenir. Nous nous attendons à un large apport de soutien militaire à l'Ukraine." "Nous travaillons pour renforcer les sanctions" contre la Russie, a-t-il aussi annoncé.


Il a estimé que la Russie n'avait  "aucune chance de gagner" la guerre. Les nouvelles livraisons d'armes promises par Joe Biden à cette occasion constituent un "signal sans équivoque que les tentatives russes de gagner n'auront aucune chance". Répétant que cette visite est "historique", il a assuré que "c'est symbolique de sceller notre résistance et notre résilience par ces deux visites, la mienne en décembre aux États-Unis et celle de Joe Biden à Kiev", a-t-il ajouté.

"SOUTENIR LA DÉMOCRATIE, LA DÉFENDRE"


"C'est très important que le président des États-Unis soit là aujourd'hui, (...) je pense qu'il était important qu'il n'y ait pas de doutes quant au soutien des États-Unis à l'Ukraine, face à l'attaque brutale de la Russie", a déclaré Joe Biden, en visite à Kiev. "Nous sommes là pour soutenir l'Ukraine, et pour soutenir la notion de la démocratie et la défendre, nous allons en discuter et voir ce que l'on pourra offrir à votre population", a-t-il poursuivi, assis face à Volodymyr Zelensky au palais présidentiel ukrainien, à Kiev. "Cela va au-delà de l'Ukraine, cela concerne la liberté de la démocratie", a-t-il insisté.


"Les obus lancés contre les écoles, les orphelinats, c'est barbare. Nous sommes là pour défendre l'indépendance et la souveraineté de votre nation et votre intégrité territoriale", a ajouté Joe Biden, promettant de "défendre votre cause efficacement pour que le monde soit avec vous". Il a dit vouloir "répéter toute mon admiration pour la population ukrainienne". 

"UN MOMENT RÉELLEMENT HISTORIQUE"


"C'est un signal tellement important pour nous, nous en sommes fiers. Merci beaucoup d'être venu", a salué Volodymyr Zelensky, assis face à Joe Biden au palais présidentiel ukrainien, à Kiev. Il a remercié son homologue pour le "soutien important de la Maison Blanche à l'Ukraine". "Je pense que c'est un moment réellement historique pour notre pays", a-t-il ajouté. "Nous devons gagner la guerre, rendre l'Ukraine plus forte", a-t-il insisté.

"SIGNE EXTRÊMEMENT IMPORTANT DE SOUTIEN"


Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué lundi la visite surprise de son homologue américain Joe Biden à Kiev comme un "signe extrêmement important de soutien", à quelques jours du premier anniversaire de l'invasion russe. "Joseph Biden, bienvenue à Kiev ! Votre visite est un signe de soutien extrêmement important pour tous les Ukrainiens", s'est-il réjoui sur Twitter.

"UN ÉVÉNEMENT TOP SECRET"


La visite de Joe Biden à Kiev était "une surprise pour moi, pour tout le monde", a indiqué sur LCI la députée ukrainienne Lesia Vasylenko. "C'était un évènement top secret. Hier, je rentrais en train en Ukraine et notre train a été stoppé pendant une heure environ, parce qu'un train spécial était en direction de Kiev. Je m'attendais à un invité très spécial", a-t-elle expliqué. 

ALERTES ANTIAÉRIENNES


Les alertes antiaériennes ont retenti lundi lors de la visite surprise du président américain Joe Biden à Kiev en Ukraine, ont constaté des journalistes de l'AFP. Joe Biden était aux côtés du président ukrainien Volodymyr Zelensky, sortant d'une église où ils étaient restés quelques minutes, lorsque les sirènes ont retenti, sans provoquer de panique.

DÉAMBULATION DANS KIEV


Les images de la visite surprise du président américain Joe Biden à Kiev commencent à affluer sur les réseaux sociaux. On le voit ici aux côtés de Volodymyr Zelensky avancer dans les rues de la capitale, tandis qu'une alerte antiaérienne retentit.

"RÉAFFIRMER NOTRE ENGAGEMENT INDÉFECTIBLE"


"À l'approche de l'anniversaire de l'invasion brutale de l'Ukraine par la Russie, je suis à Kiev aujourd'hui pour rencontrer le président Zelensky et réaffirmer notre engagement indéfectible envers la démocratie, la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'Ukraine", a déclaré sur Twitter le président américain Joe Biden, actuellement à Kiev.


"Lorsque Poutine a lancé son invasion il y a près d'un an, il pensait que l'Ukraine était faible et que l'Occident était divisé.  Il pensait qu'il pouvait nous dépasser. Mais il avait tout faux", a-t-il ajouté. "Au cours de l'année écoulée, les États-Unis ont mis en place une coalition de nations de l'Atlantique au Pacifique pour aider à défendre l'Ukraine avec un soutien militaire, économique et humanitaire sans précédent - et ce soutien va durer", a poursuivi le dirigeant américain.

LES PREMIÈRES IMAGES DE LA VISITE DE JOE BIDEN


Pour la première fois, le président américain Joe Biden est en visite à Kiev. Une venue surprise, encadrée par un important dispositif de sécurité, comme l'on peut le constater sur les images ci-dessous.

Les premières images de Joe Biden arrivé à Kiev, en UkraineSource : TF1 Info

JOE BIDEN EN UKRAINE


Le président américain Joe Biden est arrivé en Ukraine, à Kiev, une visite surprise. C'est la première fois que le président américain se rend dans le pays depuis le début du conflit. Il a rencontré le président Volodymyr Zelensky dans la capitale ukrainienne, à quelques jours du premier anniversaire de l'invasion russe. Le dirigeant était attendu mardi et mercredi en Pologne avec un "message" ferme à adresser à Vladimir Poutine.

"LIGNE ROUGE"


La livraison d'armes par la Chine à la Russie pour appuyer son offensive en Ukraine serait une "ligne rouge" pour l'Union européenne, a averti lundi à Bruxelles le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.


Il a expliqué avoir indiqué au chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi, que "ce serait une ligne rouge". "Il m'a dit qu'ils n'allaient pas le faire, qu'ils n'avaient pas l'intention de le faire, mais nous resterons vigilants", a-t-il déclaré à son arrivée pour une réunion avec les ministres des Affaires étrangères de l'UE.

UN MILLION D'OBUS BIENTÔT FOURNIS PAR BRUXELLES ?


L'Estonie, pays balte en pointe dans le soutien à l'Ukraine, a présenté à ses partenaires européen une proposition de dotation commune de 4 milliards d'euros pour acheter un million d'obus de 155 mm. Le sujet sera à l'agenda de la réunion ce lundi à Bruxelles des ministres des Affaires étrangères de l'UE. 


Sur Twitter, le ministre des Affaires étrangères ukrainien Dmytro Kuleba a remercié l'Estonie "pour sa proposition d'achat direct conjoint d'armes et de munitions, qui pourrait commencer par la fourniture par les membres de l'UE d'un million de cartouches de 155 mm à l'Ukraine". Bien qu'il ne puisse pas se rendre à la réunion européenne ce lundi, "nous soutenons fermement cette initiative et nous demandons instamment qu'elle soit mise en œuvre", a-t-il poursuivi.

LA CHINE NIE VOULOIR LIVRER DES ARMES À MOSCOU


Le gouvernement chinois a nié lundi envisager de fournir des armes à la Russie pour appuyer son offensive en Ukraine, comme l'a affirmé le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken.


"Nous n'acceptons pas que les États-Unis pointent du doigt les relations entre la Chine et la Russie, et encore moins qu'ils exercent des pressions et des contraintes", a déclaré Wang Wenbin, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, accusant les États-Unis de "propager de fausses informations".

"POUTINE ATTEND LA SUITE"


Si les Occidentaux venaient à livrer des avions à l'Ukraine, quelle serait la réaction de la Russie "Il y a de fortes chances qu'on voie sauter cette ligne rouge. Manifestement, Poutine attend la suite, il se dit que le temps lui permet de tenir", a déclaré sur LCI Hélène Carrère d’Encausse, historienne spécialiste de la Russie. "Dans sa mentalité, il a du temps. Il joue sur le temps", a-t-elle insisté. "Cette notion du temps désarme souvent celui qui est en face, cela permet de tirer les choses en longueur et de voir venir."

LA STRATÉGIE GÉOPOLITIQUE D'E. MACRON


"Volodymyr Zelensky ne comprend pas très bien Emmanuel Macron, ou en tout cas n'a pas envie de le comprendre", a estimé sur LCI Hélène Carrère d’Encausse, historienne spécialiste de la Russie. "La politique étrangère d'Emmanuel Macron est très conséquente, (...) très continue", puisqu'il "tient compte de la position historique de la France, (...) il sait qu'il a hérité une tradition, (...) une sorte d'autorité morale" qui découle du passé de "grande puissance de la France", a développé la spécialiste. "Ça ne tient pas à des changements d'humeur mais au fait qu'il est attaché à l'idée qu'il faut observer et s'adapter à chaque instant", en fonction des évolutions de terrain, a-t-elle poursuivi. "Il a une vision géopolitique, il est très conséquent", a-t-elle insisté.

RETOUR SUR LES DERNIÈRES 24 HEURES


Le président français a promis à de défendre le plan de paix de Volodymyr Zelensky "sur la scène internationale". La Chine prévoit de fournir des armes à la Russie selon Washington, qui a mis en garde contre les "implications et les conséquences" de ce geste. L'Union Européenne s'inquiète d'une pénurie de munitions qui touche l'armée ukrainienne.

"ILS NE POURRONT JAMAIS PRENDRE L'UKRAINE"


"Les Russes n'ont pas encore réalisé que nous sommes plus forts aujourd'hui qu'il y a un an et qu'ils ne pourront jamais prendre l'Ukraine comme ils l'espéraient", a assuré Volodymyr Zelensky auprès du journal italien Corriere della Sera. "Nous nous préparons à une guerre courte et à notre victoire. Plus elle sera rapide, moins nous aurons de victimes", a-t-il poursuivi.


Il est aussi revenu sur la situation de Bakhmout, dans l'est de l'Ukraine, une ville qui a gagné une grande importance symbolique, prisée par les Russes qui tentent de la capturer depuis plus de six mois. "Il est important pour nous de la défendre, mais pas à n'importe quel prix et pas pour que tout le monde meure. Nous nous battrons tant que ce sera raisonnable", a expliqué le président ukrainien. "Les Russes veulent ensuite continuer vers Kramatorsk et Sloviansk, jusqu'aux frontières du Donbass et jusqu'à Dnipro s'ils le peuvent. Nous résisterons et entre-temps nous préparerons la prochaine contre-attaque", a-t-il assuré.

"NOUS RISQUONS UNE TROISIÈME GUERRE MONDIALE"


Selon le secrétaire d'État américain Antony Blinken, la Chine envisage de fournir des "armes" à la Russie. "J'espère que Pékin gardera une attitude pragmatique, sinon nous risquons une troisième guerre mondiale, je pense qu'ils en sont bien conscients", a réagi Volodymyr Zelensky dans les colonnes du quotidien italien Corriere della Sera. Il a assuré n'avoir pour l'instant pas détecté la présence d'armes chinoises dans les rangs russes.


"Je ne crois plus qu'il soit possible de rester neutre, un choix doit être fait", a poursuivi le dirigeant ukrainien. Assurant que la relation de l'Ukraine avec Pékin "a toujours été très bonne", "il est dans l'intérêt de tous que cela ne change pas", a-t-il ajouté. "Le défi mondial est d'écarter tout risque de conflit nucléaire."

DIALOGUER AVEC MOSCOU ? "MACRON PERD SON TEMPS"


Interrogé par le quotidien italien Corriere della Sera, Volodymyr Zelensky a affirmé que les tentatives d'Emmanuel Macron de maintenir un dialogue avec la Russie étaient vaines. "Ce sera un dialogue inutile, en réalité Macron perd son temps. Je suis arrivé à la conclusion que nous ne sommes pas capables de changer l'attitude des Russes", a-t-il déclaré dans cet entretien. 


"S'ils ont décidé de s'isoler dans leur rêve de reconstruire l'ancien empire soviétique, nous ne pouvons rien y faire, c'est à eux de choisir ou non de coopérer avec la communauté des nations sur la base du respect mutuel", a argué le dirigeant ukrainien. "Lorsque les sanctions économiques ont été imposées, certains nous ont accusés d'isoler la Russie, mais ce n'était pas vrai : c'est plutôt la décision de lancer la guerre qui a marginalisé Poutine", a-t-il poursuivi.

PÉKIN VEUT LIVRER DES ARMES À MOSCOU, SELON WASHINGTON


Pékin envisage de fournir des "armes" à la Russie pour appuyer son offensive en Ukraine, a averti dimanche le secrétaire d'État américain Antony Blinken, à l'issue d'une rencontre avec son homologue chinois Wang Yi.


"Nous avons parlé de la guerre menée par la Russie et des inquiétudes que nous avons quant au fait que la Chine envisage de fournir un soutien létal à la Russie", a-t-il dit sur CBS. Interrogé sur ce que cela impliquerait concrètement, le chef de la diplomatie américaine a répondu : "Principalement des armes".

PLAN DE PAIX


Le président Emmanuel Macron a assuré dimanche à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky qu'il soutiendrait son plan de paix "sur la scène internationale", lors d'une conversation téléphonique entre les deux chefs d'État. Le président français a "réaffirmé son attachement au plan de paix en 10 points proposé par le président Zelensky et lui a assuré qu'il soutiendrait cette initiative sur la scène internationale lors des prochains événements diplomatiques", a indiqué l'Élysée.


Ils ont également "évoqué le rappel fait (vendredi à la conférence annuelle de Munich sur la sécurité) auprès des partenaires européens et de l'OTAN de la nécessité de renforcer et d'accélérer le soutien militaire à l'Ukraine et au peuple ukrainien".


Pour sa part. Volodymyr Zelensky a salué sur Twitter "la poursuite d'un dialogue amical" avec M. Macron et confirmé qu'ils avaient tous deux parlé de "la mise en place du plan de paix". "J'ai remercié le président pour sa compréhension de nos besoins, et pour ce sentiment partagé que nous devons nous défendre contre l'agression russe sans perdre la moindre occasion et sans perdre une semaine", a-t-il ajouté dans son message du soir.

SOMMET ÉTATS-UNIS - TURQUIE


Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken rencontre lundi à Ankara le président turc Recep Tayyip Erdogan, après s'être rendu sur les lieux du séisme et avoir annoncé cent millions de dollars d'aide supplémentaires. Il s'agit du premier déplacement du secrétaire d'État américain en Turquie depuis sa prise de fonction il y a deux ans.


Le conflit en Ukraine devrait figurer à l'ordre du jour. Les Etats-Unis reconnaissent à leur allié turc un rôle constructif: depuis le début du conflit le 24 février 2022, Ankara - qui maintient de bonnes relations avec les deux capitales - a offert sa médiation pour y mettre fin.

BIENVENUE


Bonjour et bienvenue sur ce live consacré à l'actualité de la guerre en Ukraine. Retrouvez ici toutes les dernières informations sur le conflit, des images fortes et des analyses. 

Le président Emmanuel Macron a assuré dimanche à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky qu'il soutiendrait son plan de paix "sur la scène internationale", lors d'une conversation téléphonique entre les deux chefs d'État. Macron a "réaffirmé son attachement au plan de paix en 10 points proposé par le président Zelensky et lui a assuré qu'il soutiendrait cette initiative sur la scène internationale lors des prochains événements diplomatiques", a indiqué l'Élysée.

Ils ont également "évoqué le rappel fait (vendredi à la conférence annuelle de Munich sur la sécurité) auprès des partenaires européens et de l'OTAN de la nécessité de renforcer et d'accélérer le soutien militaire à l'Ukraine et au peuple ukrainien". Pour sa part. Zelensky a salué sur Twitter "la poursuite d'un dialogue amical" avec M. Macron et confirmé qu'ils avaient tous deux parlé de "la mise en place du plan de paix".

La Chine envisage d'envoyer des "armes" à la Russie, avertit Blinken

Pékin envisage de fournir des "armes" à la Russie pour appuyer son offensive en Ukraine, a averti dimanche le secrétaire d'État américain Antony Blinken, à l'issue d'une rencontre avec son homologue chinois Wang Yi. "Nous avons parlé de la guerre menée par la Russie et des inquiétudes que nous avons quant au fait que la Chine envisage de fournir un soutien létal à la Russie", a-t-il dit sur CBS. Interrogé sur ce que cela impliquerait concrètement, le chef de la diplomatie américaine a répondu : "Principalement des armes".

Ces déclarations ont été faites alors même que le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a exhorté dimanche les Vingt-Sept à "accélérer notre soutien militaire à l'Ukraine", assurant que Kiev était dans une situation "critique" en termes de munitions.

Antony Blinken et Wang Yi se sont rencontrés samedi soir à Munich, en marge de la Conférence sur la sécurité, dans un échange que la diplomatie américaine a qualifié de "franc et direct". Le secrétaire d'État a mis en garde contre les "implications et les conséquences" pour la Chine s'il s'avérait qu'elle apporte un "soutien matériel" à la Russie dans sa guerre en Ukraine ou l'aidait à échapper aux sanctions occidentales, a indiqué le porte-parole du département d'État, Ned Price, en rendant compte de l'entretien.


La rédaction de TF1

Sur le
même thème

Tout
TF1 Info