Ukraine : "Jamais, jamais, jamais" les États-Unis ne reconnaîtront les référendums d'annexion, assure Biden

Publié le 29 septembre 2022 à 6h15, mis à jour le 1 octobre 2022 à 14h33

Le président américain Joe Biden promet de ne "jamais, jamais, jamais" reconnaître les résultats des référendums "orchestrés par la Russie" en Ukraine.
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L'ONU VA VOTER UNE RÉSOLUTION CONDAMNANT LES RÉFÉRENDUMS


Le Conseil de sécurité de l'ONU vote vendredi une résolution condamnant les "référendums" d'annexion de plusieurs régions ukrainiennes, un texte qui n'a aucune chance d'être adopté en raison du droit de véto russe. Cette réunion précèdera une autre discussion prévue sur les fuites découvertes sur les gazoducs Nord Stream en mer Baltique, a précisé la présidence française du Conseil. 

RECONNAISSANCE D'INDÉPENDANCE


Vladimir Poutine a signé des décrets sur la reconnaissance par la Russie de l'indépendance des régions de Kherson et de Zaporijia, selon l'agence russe RIA.

MOBILISATION


Le président russe a imposé à son Conseil de sécurité de rectifier le tir concernant l'appel des réservistes. "Cette mobilisation suscite beaucoup d'interrogations", a reconnu Vladimir Poutine.

"JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS"


Joe Biden affirme que les États-Unis ne reconnaîtront "jamais, jamais, jamais" le résultat des référendums d'annexion organisés dans quatre régions ukrainiennes, que Vladimir Poutine devrait officialiser demain au cours d'une cérémonie à Moscou. 


"Je veux être très clair à ce sujet: les États-Unis ne reconnaîtront jamais, jamais, jamais les revendications de la Russie sur le territoire souverain de l'Ukraine", a ainsi affirmé le président américain lors d'un sommet à Washington. "Les soi disant référendums ont été une parodie, une absolue parodie. Les résultats ont été orchestrés à Moscou", a-t-il souligné.

APPELS DE SOLDATS RUSSES


Le New York Times a publié des enregistrements de conversations téléphoniques de soldats russes avec leurs proches, lors des premières semaines du conflit. Les extraits choisis sur LCI par Magali Lunel rendent compte des exactions des militaires envers les civils, ainsi que du désespoir des soldats russes.

Soldats russes : conversations interceptéesSource : TF1 Info

SABOTAGES "IRRESPONSABLES"


Une quatrième fuite a été révélée sur les gazoducs Nord Stream en mer Baltique, visés selon l'Otan par des actes de sabotage "irresponsables", implicitement attribués à Moscou.


Les dégâts provoqués sur ces installations stratégiques doivent être au centre d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU vendredi à New York. Sans attendre, l'Otan a dénoncé des sabotages "délibérés et irresponsables", et laissé transparaître ses soupçons en faisant valoir sa volonté de se défendre contre toute attaque "hybride" utilisant le "levier de l'énergie". 

NOUVELLE AIDE AMÉRICAINE


Le Sénat américain a voté une nouvelle enveloppe de plus de 12 milliards de dollars pour l'Ukraine lors de l'adoption d'une rallonge au budget fédéral des États-Unis jusqu'en décembre. 


Le texte, approuvé dans l'après-midi par des sénateurs des deux camps, comprend un large volet militaire pour Kiev. Quelque 3 milliards de dollars ont ainsi été débloqués pour former, équiper et rémunérer les troupes ukrainiennes. Le paquet comprend également plus de 4,5 milliards de dollars afin d'assurer "la continuité du gouvernement" ukrainien et de répondre aux besoins macroéconomiques de Kiev. 

TERRAIN


Les forces ukrainiennes ont repris le contrôle de la totalité de la ville de Koupiansk, dans le nord-est, chassant les troupes russes de leurs positions sur la rive orientale de la rivière Oskil, selon des journalistes de l'AFP sur place. 


Une bonne partie de ce nœud ferroviaire avait été repris aux Russes début septembre à la faveur de la contre-offensive ukrainienne. Mais les troupes de Moscou tenaient encore bon de l'autre côté de la rive, prenant part à des duels d'artillerie tandis que des civils fuyaient les combats en tentant de passer du côté ukrainien. 

MOBILISATION : POUTINE VEUT "CORRIGER LES ERREURS"


Vladimir Poutine a demandé que soient "corrigées les erreurs" dans la mobilisation en cours en Russie, alors que le mécontentement grandit face à la convocation souvent chaotique des appelés.

 

Les médias et les Russes sur les réseaux sociaux ont rapporté des cas de mobilisation de personnes âgées, d'étudiants, de malades ou d'appelés sans expérience militaire. La mobilisation a aussi déclenché des manifestations et la fuite de milliers d'hommes à l'étranger. 


"Cette mobilisation suscite beaucoup d'interrogations. Il faut corriger toutes les erreurs et faire en sorte qu'elles ne se reproduisent plus", a réprimandé le président russe lors d'une visioconférence avec son Conseil de sécurité, diffusée à la télévision.

LES VÉRIFICATEURS


Sur les réseaux sociaux, plusieurs vidéos donnent le sentiment d'une résistance farouche à la mobilisation générale décrétée par le Kremlin. Les Vérificateurs les ont analysées.

GAZODUCS


Le président russe a dénoncé auprès de son homologue turc les attaques présumées ayant visé les gazoducs Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique, qui représentent selon lui un "acte de terrorisme international". 


Lors d'un entretien téléphonique avec Recep Tayyip Erdogan, Vladimir Poutine "a donné son point de vue sur cet acte de sabotage sans précédent, en réalité un acte de terrorisme international, contre Nord Stream 1 et Nord Stream 2", a indiqué le Kremlin dans un communiqué.

"SAISIES DE TERRES"


Le secrétaire d'État américain Antony Blinken a condamné les référendums d'annexion dans les régions en Ukraine sous contrôle de la Russie, qui ne sont "ni plus ni moins que des saisies de terres", selon lui. 


"Cette parodie de référendums organisés par le Kremlin ne sont qu'une tentative futile pour masquer ce qui revient ni plus ni moins à une autre tentative visant à se saisir de terres en Ukraine", a affirmé le chef de la diplomatie américaine dans un communiqué. "Pour être clair, les résultats ont été orchestrés par la Russie et ne reflètent pas la volonté du peuple ukrainien". 

"LE RÉSULTAT DE L'EFFONDREMENT DE L'UNION SOVIÉTIQUE"


"Il suffit de regarder ce qui se passe en ce moment entre la Russie et l'Ukraine, ce qui se passe aux frontières de certains pays de la CEI. Tout cela, bien sûr, ce sont des résultats de l'effondrement de l'Union soviétique", a déclaré Vladimir Poutine, lors d'une réunion en visioconférence avec des responsables de pays membres de la Communauté des Etats indépendants (CEI), qui rassemble neuf anciennes républiques soviétiques.

Discours de Vladimir PoutineSource : TF1 Info

IOULIA TIMOCHENKO SUR LCI


L'ancienne Première ministre ukrainienne était l'invitée de Bénédicte Le Chatelier sur le plateau de LCI. Ioulia Timochenko croit à une victoire ukrainienne, et estime que l'annexion de territoires annoncée par Vladimir Poutine trahit en fait son échec militaire sur le terrain.

L'ONU CONTRE LES ANNEXIONS


L'annexion de régions ukrainiennes par la Russie n'a "pas de place dans le monde moderne", a déclaré le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres devant la presse. "Toute décision de procéder à l'annexion des régions ukrainiennes de Donetsk, Lougansk, Kherson et Zaporijjia n'aurait aucune valeur légale et mérite d'être condamnée", a-t-il dit. 


"Cela s'oppose à tout ce que la communauté internationale est supposée représenter. Cela bafoue les buts et les principes des Nations unies. C'est une dangereuse escalade. Cela n'a pas de place dans le monde moderne. Cela ne doit pas être accepté", a martelé le secrétaire général. 

TERRITOIRES LIBÉRÉS


Envoyée spéciale de LCI en Ukraine, Claire Cambier s'est rendu dans les territoires récemment repris par les forces ukrainiennes, à l'est de Kharkiv.

"POUTINE N'EST PAS DEVENU FOU"


"Poutine a toute sa santé, il n'est pas devenu fou", estime Ioulia Tymochenko sur le plateau de LCI, même si elle lui attribue des objectifs "maladifs", mais "rationnels", à savoir renverser l'hégémonie occidentale. "Il faut arrêter Poutine et sa bande", selon l'ancienne Première ministre ukrainienne, rappelant que le Kremlin agite de plus en plus souvent la menace nucléaire.

GAGNER LA GUERRE


"Quand la guerre peut-elle s'arrêter ?, cette question est très importante", a souligné Ioulia Tymochenko, qui pense que l'Ukraine peut retrouver son intégrité administrative d'ici au printemps prochain, en incluant la Crimée. 

"NOUS VOULONS LA PAIX"


"La voie proposée par Poutine n'est pas la paix", a expliqué Ioulia Tymochenko sur le plateau de LCI. "Nous voulons la paix", a insisté l'ancienne Première ministre ukrainienne, mais pas aux "conditions inacceptables" posées par le président russe, qui selon elle reviendraient à une capitulation.

"C'EST DE L'HYSTÉRIE"


Pour l'ancienne Première ministre ukrainienne, il ne reste plus à Poutine que "l'hystérie", qui se manifesterait par les référendums et l'annexion de quatre provinces ukrainiennes, après les revers enregistrés par son armée sur le terrain. "Ce sont les dernières tentatives de Poutine pour faire passer sa défaite pour une illusion de victoire", a-t-elle martelé.

IOULIA TYMOCHENKO, INVITÉE DE LCI


Députée, et ancienne Première ministre ukrainienne, Ioulia Tymochenko réagit sur le plateau de LCI aux dernières évolutions de la situation en Ukraine. "Poutine ne comprend pas l'idée de liberté", a-t-elle fustigé après les dernières déclarations du président russe. "Nous avons toujours lutté pour notre liberté", rappelle l'élue, inscrivant la guerre actuelle comme une continuité de la progression de l'Ukraine vers sa liberté.

"LE RÉSULTAT DE L'EFFONDREMENT DE L'UNION SOVIÉTIQUE"


"Il suffit de regarder ce qui se passe en ce moment entre la Russie et l'Ukraine, ce qui se passe aux frontières de certains pays de la CEI. Tout cela, bien sûr, ce sont des résultats de l'effondrement de l'Union soviétique", a déclaré Vladimir Poutine, lors d'une réunion en visioconférence avec des responsables de pays membres de la Communauté des Etats indépendants (CEI), qui rassemble neuf anciennes républiques soviétiques. 

POUTINE PARLE


Le président russe a fustigé le camp occidental, l'accusant de tentatives de "déstabilisation". Son discours était adressé aux chefs du renseignement des membres de la CEI, soit neuf pays de l'ancien bloc soviétique, réunis pour un sommet en visioconférence.

RENFORCEMENT DES GAZODUCS


La Finlande, voisine de la Russie, a ordonné le renforcement de la sécurité autour de ses infrastructures stratégiques à la suite du sabotage présumé des gazoducs Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique, tandis que des centrales nucléaires suédoises ont relevé leur niveau de vigilance. 

FUITES SUR LES GAZODUCS NORD STREAM


Un total de quatre fuites ont été détectées sur les gazoducs Nord Stream 1 et 2, les mettant hors service durablement- voire définitivement pour le premier. Cinq questions pour mesurer les enjeux impliqués par le vraisemblable sabotage de ces structures sous-marines.

COMPTE À REBOURS


La télévision d'État Russia 24 affiche en permanence un compte à rebours jusqu'à la cérémonie officielle d'annexion des territoires ukrainiens, que Vladimir Poutine va présider demain à Moscou.

ANNEXIONS


Vladimir Poutine devrait formaliser ce vendredi l'annexion par la Russie de territoires ukrainiens, lors d'une cérémonie à Moscou.

DISSONANCE DANS L'UNITÉ EUROPÉENNE


Les gouvernements européens ont proposé mercredi une nouvelle vague de sanctions, incluant un plafonnement des prix du pétrole russe et de nouvelles restrictions sur le commerce des produits de haute technologie. Un 8e paquet de sanctions que la Hongrie a annoncé qu'elle ne signerait pas si des sanctions énergétiques étaient incluses. 


"La Hongrie a déjà fait beaucoup pour maintenir l'unité européenne, mais si le paquet contient des sanctions énergétiques, nous ne pouvons pas et ne voulons pas le soutenir. Nous attendons une liste complète et définitive des sanctions et nous pourrons alors négocier à ce sujet. La Hongrie ne peut pas soutenir les sanctions énergétiques", a déclaré Gergely Gulyas, cheffe de cabinet du Premier ministre hongrois Viktor Orbán.

"UNE GUERRE DE L'ÉNERGIE, POUR LA PROSPÉRITÉ ET LA LIBERTÉ"


L'Allemagne se trouve au cœur d'une "guerre de l'énergie pour la prospérité et la liberté", a déclaré jeudi le ministre des Finances Christian Lindner, présentant l'introduction d'un plafonnement du prix de l'énergie comme "une réponse claire à Poutine".


"Cette guerre de l'énergie a pour but de détruire une grande partie de ce que les gens ont personnellement construit pendant des décennies, de ce qui a été construit pendant des décennies dans la classe moyenne, l'artisanat et l'industrie", a déclaré le ministre. "Nous ne pouvons pas accepter cela et nous nous défendons", a-t-il ajouté.

LE PAPE, MÉDIATEUR DANS LA LIBÉRATION DE 300 PRISONNIERS UKRAINIENS


Le pape François a affirmé dans une revue jésuite avoir joué un rôle médiateur avec la Russie pour accélérer la libération de quelque 300 prisonniers ukrainiens. Il aurait reçu des "émissaires ukrainiens" au Vatican et à leur demande, a appelé l'ambassadeur russe "pour voir si quelque chose pouvait être fait, si un échange de prisonniers pouvait être accéléré", selon ses propos.


La publication de ces déclarations à des religieux travaillant notamment en Russie et au Belarus intervient une semaine après l'annonce du plus important échange de prisonniers militaires entre l'Ukraine et la Russie depuis le début de la guerre.

ACCORD DE COOPÉRATION ENTRE LES PARLEMENTS FRANÇAIS ET UKRAINIEN


La présidente de l'Assemblée nationale française Yaël Braun-Pivet, en visite officielle à Kiev depuis mercredi, a signé jeudi en Ukraine un "protocole d'accord" avec le président du Parlement Rouslan Stefantchouk, pour développer des échanges "dans la durée" entre parlementaires, notamment dans le cadre de la candidature de l'Ukraine à l'UE.

NORD STREAM : LA RUSSIE SUSPECTE "L'IMPLICATION" D'UN ÉTAT ÉTRANGER


Le Kremlin a dit suspecter "l'implication" d'un État étranger dans les quatre fuites détectées sur les gazoducs Nord Stream 1 et 2 en mer Baltique, sans toutefois nommer un pays en particulier. "Il est très difficile d'imaginer qu'un tel acte terroriste puisse avoir lieu sans l'implication d'un État", a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, appelant de nouveau à "une enquête urgente". 

CONVERSATION TÉLÉPHONIQUE ENTRE M. DRAGHI ET V. ZELENSKY


Au cours d'une conversation téléphonique, le Premier ministre italien Mario Draghi a assuré au président ukrainien Volodymyr Zelensky que l'Italie "ne reconnaîtra(it) pas le résultat des référendums" organisés par Moscou dans des territoires occupés en Ukraine.


Mario Draghi a également "confirmé le soutien continu du gouvernement italien aux autorités et à la population ukrainienne dans tous les domaines", ont indiqué ses services dans un communiqué.


Alors que des questions se posaient sur un éventuel changement d'attitude de l'Italie après la victoire dimanche aux législatives d'une coalition dominée par l'extrême droite, Giorgia Meloni, qui devrait devenir Première ministre, a assuré mardi Kiev de son soutien.

LES RUSSES AVEC UN VISA TOURISME EUROPÉEN PRIVÉS D'ENTRER EN FINLANDE


La Finlande a annoncé qu'elle allait interdire l'entrée de son pays aux Russes qui se présentent avec un visa tourisme européen. Depuis l'annonce de la mobilisation militaire par Vladimir Poutine, nombre d'entre eux se sont précipités pour fuir le pays, rejoignant la frontière finlandaise, mais aussi des pays du Caucase. 

ANNEXION DES TERRITOIRES UKRAINIENS


Le Kremlin a annoncé que la Russie allait entériner les résultats des "référendums" en intégrant les territoires ukrainiens au pays dès demain. Cela sera fait au cours d'une cérémonie durant laquelle Vladimir Poutine fera un discours.

DES SABOTAGES "DÉLIBÉRÉS, IRRESPONSABLES", SELON L'OTAN


Suite aux fuites constatées du côté des gazoducs Nord Stream en Mer Baltique, l'Alliance atlantique a dénoncé des actes de sabotages "délibérés, irresponsables".


"Nous sommes engagés à assurer la dissuasion, à nous prémunir et à nous défendre face à l'utilisation, à des fins coercitives, du levier de l'énergie ou de tout autre procédé hybride par des acteurs étatiques ou non étatiques", ont affirmé les 30 membres de l'Otan dans une déclaration.

POINT SUR LA SITUATION

NOUVELLE FUITE DE GAZ EN MER BALTIQUE


Les gardes-côtes suédois ont annoncé qu'une quatrième fuite avait été identifiée en mer Baltique, au-dessus des gazoducs Nord Stream visés par un sabotage présumé. Il y a désormais deux fuites côté suédois et deux fuites côté danois.


Trois autres fuites avaient été observées en début de semaine, deux concernaient Nord Stream 1 et l'autre Nord Stream 2. L'autorité n'était pas en mesure de confirmer des informations de médias suédois selon laquelle cette nouvelle fuite est située au-dessus du gazoduc Nord Stream 2.

AIDE FRANÇAISE


C'est l'acheminement humanitaire le plus important apporté par la France depuis le début de l'invasion russe. Hier, un bateau a appareillé du port de Marseille.

À l'intérieur, du matériel de sécurité civile dont quinze véhicules d'incendie et de secours, huit embarcations nautiques, du matériel de sauvetage et de déblaiement, des ponts en pièces détachées, cinq groupes électrogènes et un véhicule médical équipé d'un appareil de radiologie.

Selon le ministère français des Affaires étrangères, il transporte également du matériel de déminage, 25 tonnes de matériel médical et 60.000 rations alimentaires.

GAZODUCS


Objet de tous les soupçons après le sabotage présumé des gazoducs Nord Stream en mer Baltique, la Russie a contre-attaqué hier, pointant les États-Unis et obtenant une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, Washington dénonçant en retour une nouvelle opération de "désinformation".

ANNEXION 


Hier, les dirigeants prorusses de régions ukrainiennes occupées totalement ou partiellement par Moscou ont réclamé l'annexion à la Russie, au lendemain de référendums qualifiés d'"illégaux" par Kiev et ses alliés occidentaux, qui ont promis des sanctions.

Bonjour à tous et bienvenue dans ce live consacré à la guerre en Ukraine. 

Objet de tous les soupçons après le sabotage présumé des gazoducs Nord Stream en mer Baltique, la Russie a contre-attaqué mercredi, pointant les États-Unis et obtenant une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, Washington dénonçant en retour une nouvelle opération de "désinformation".

 Objet de tous les soupçons après le sabotage présumé des gazoducs Nord Stream en mer Baltique, la Russie a contre-attaqué mercredi, pointant les États-Unis et obtenant une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, Washington dénonçant en retour une nouvelle opération de "désinformation".

Concernant ces fuites de gaz, le Parquet général russe a annoncé que les services de sécurité (FSB) avaient ouvert une enquête pour "acte de terrorisme international". "La Fédération de Russie a subi un grave préjudice économique du fait de ces actes", a ajouté le Parquet. 

Par ailleurs, les référendums organisés dans quatre régions contrôlées par la Russie totalement ou partiellement en Ukraine ont été qualifiés d'"illégaux" par Kiev et ses alliés occidentaux. "Nous ne reconnaîtrons jamais ces tentatives illégales et illégitimes d'annexion", a dit mercredi la porte-parole de la Maison Blanche. Karine Jean-Pierre a assuré que les États-Unis et leurs alliés préparaient des sanctions économiques "supplémentaires" contre Moscou, qui a affirmé que ces quatre régions avaient fait "un choix libre en faveur de la Russie".

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La rédaction de TF1info

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