De nouvelles frappes de missiles ont touché des immeubles résidentiels ainsi qu'une usine d'armement à Kiev, dimanche matin.Le bilan provisoire fait état d'un mort et de quatre blessés, selon le maire.Suivez les dernières informations sur ce conflit.
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G7 EN ALLEMAGNE
Les dirigeants des 7 plus grandes puissances mondiales ont promis ce lundi "de continuer à fournir un soutien financier, humanitaire, militaire et diplomatique" à l'Ukraine "aussi longtemps qu'il le faudra", dans une déclaration commune publiée lors de leur sommet dans le sud de l'Allemagne. Ils exigent, notamment, le retour "immédiat" des Ukrainiens emmenés "par la force" en Russie et à permettre les exportations de céréales depuis l'Ukraine pour éviter d'exacerber la crise alimentaire mondiale
"Nous appelons de toute urgence la Russie à cesser, sans condition, ses attaques contre les infrastructures agricoles et de transport et à permettre le libre passage des marchandises agricoles depuis les ports ukrainiens de la mer Noire", ont déclaré les dirigeants des sept pays. Les dirigeants, réunis jusqu'à mardi à Elmau en Allemagne, ont également manifesté leur "vive inquiétude" concernant l'annonce par la Russie d'un possible transfert de missiles à capacité nucléaire au Bélarus.
ARSENAL MILITAIRE
Ce système de défense anti-aérienne, l'un des plus perfectionnés au monde, est capable de toucher une cible à une distance d’environ 150 kilomètres.
VLADIMIR POUTINE
Le président russe, Vladimir Poutine, va effectuer ce mardi son tout premier déplacement depuis l'offensive lancée contre l'Ukraine, le 24 février dernier. "Une visite de travail du président Poutine est prévue demain au Tadjikistan", a indiqué le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. Le maître du Kremlin est ensuite attendu mercredi à un sommet des pays riverains de la mer Caspienne au Turkménistan, autre ex-république soviétique autoritaire d'Asie centrale.
OLAF SCHOLZ AU G7
"En tant que G7, nous sommes unis aux côtés de l'Ukraine et nous continuerons à la soutenir. Pour cela, nous devons tous prendre des décisions difficiles mais nécessaires. (...) Nous continuerons à accroître la pression sur Poutine. Cette guerre doit prendre fin", a écrit ce lundi sur Twitter le chancelier allemand, Olaf Scholz. Plus tôt dans la matinée, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s'est exprimé par visioconférence devant les dirigeants des sept puissances, en demandant plus d'armes et de sanctions contre Moscou.
SANCTIONS CONTRE LA RUSSIE
Les dirigeants du G7 sont réunis à Elmau, en Allemagne, depuis ce dimanche. Au menu des délibérations ce lundi : un nouveau paquet de sanctions contre la Russie.
LIVRAISONS D'ARMES
Les États-Unis envisagent de fournir à l'Ukraine un système sophistiqué de missiles sol-air de "moyenne et longue portée", a indiqué lundi une source proche du dossier, soulignant que c'était "une priorité" du président Joe Biden.
"Il est possible que les États-Unis annoncent cette semaine l'achat pour l'Ukraine d'un système NASAMS" (National Advanced Surface-to-Air Missile System), a fait savoir cette source, précisant que Washington devrait aussi rendre publique la livraison aux forces ukrainiennes d'autres équipements, notamment des munitions pour l'artillerie et des radars.
News: The US plans to announce as soon as this week that it has a purchased a NASAMS—an advanced surface-to-air missile defense system— for Ukraine, a source familiar with the announcement tells CNN. with @kaitlancollins @Phil_Mattingly — Natasha Bertrand (@NatashaBertrand) June 26, 2022
ZELENSKY AU G7
Le président ukrainien devrait réclamer lundi plus d'armes pour son pays en guerre et un nouveau renforcement des sanctions occidentales contre Moscou aux dirigeants du G7 unis face à la Russie lors de leur sommet annuel en Allemagne.
Volodymyr Zelensky doit s'exprimer par visioconférence en milieu de matinée lors de cette réunion des sept puissances industrielles entamée dimanche dans le cadre bucolique du château d'Elmau, au pied des Alpes bavaroises.
Le dirigeant ukrainien, qui participera également au sommet de l'Otan à Madrid à partir de mardi, veut faire pression sur les sept dirigeants pour un soutien accru de leur part, au lendemain de frappes russes sur Kiev, dénoncées comme des actes de "barbarie" par le président américain, Joe Biden.
"LA RUSSIE DÉCIDE QUE TOUT LUI EST HOSTILE", DÉNONCE ZELENSKY
"Un homme a été tué, il n’avait que 37 ans. Il y a des blessés, dont une fille appelée Genya, elle a sept ans et elle est la fille du défunt (...) Sa mère a également été blessée. Elle est citoyenne russe. Rien ne la menaçait dans notre Etat, elle était en toute sécurité jusqu’à ce que la Russie décide que tout lui est hostile" en Ukraine, a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans son message vidéo du soir.
Plusieurs explosions ont retenti dimanche à l'aube dans la capitale ukrainienne, épargnée par les bombardements russes depuis début juin. Dans un quartier principalement résidentiel, mais qui compte aussi une usine d'armement.
LA GUERRE, UN TERREAU POUR LES DROGUES
La fabrication illicite de drogues pourrait tirer profit de la guerre en Ukraine pour prospérer, a averti l'ONU lundi, à la lumière de l'expérience des conflits dans d'autres zones.
"Les informations du Moyen-Orient et de l'Asie du sud-est tendent à indiquer que les situations de conflit peuvent agir comme un aimant pour la fabrication de drogues synthétiques, qui peuvent de fait être produites n'importe où", souligne l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (UNODC) dans son rapport annuel.
"Cet effet peut être encore plus important quand la zone de conflit se trouve près de vastes marchés de consommateurs", ajoute-t-il. Avant l'invasion russe, l'Ukraine disposait d'un nombre croissant de laboratoires d'amphétamines, précise l'experte Angela Me, interrogée par l'AFP. Près de 80 avaient été démantelés en 2020, contre 17 en 2019.
OTTAWA ENVOIE DEUX NAVIRES DE GUERRE EN EUROPE DU NORD
Le Canada a déployé dimanche deux navires de guerre dans la mer Baltique et dans l'Atlantique nord, qui ont rejoint deux frégates déjà présentes dans la région, pour renforcer le flanc oriental de l'Otan en réponse à l'invasion russe de l'Ukraine.
Les NSCM Kingston et Summerside seront déployés durant quatre mois dans le cadre de "mesures de dissuasion en Europe centrale et orientale", lancées après l'annexion en 2014 de la Crimée par la Russie, a annoncé la marine canadienne dans un communiqué.
En octobre, les navires participeront à des exercices de balayage de mines sous-marinez et maintiendront un "haut niveau de préparation" qui leur permettra de "répondre rapidement et efficacement à l'appui de toute opération de l'Otan", ajoute-t-elle.
Les NSCM Halifax et Montreal doivent rentrer en juillet de l'opération "Reassurance", qui vise à dissuader la Russie de toute intervention dans les pays d'Europe centrale et de l'Est, et qui est la plus grande en termes d'effectifs menée par le Canada en Europe depuis une décennie.
REPORTAGE
Dans le Donbass, la ville de Marioupol ne connaît plus de combats depuis plusieurs jours, mais renaîtra-t-elle un jour ? Jusqu'à 80% de la population aurait quitté la ville. La vie des habitants qui ont survécu semble toujours hors du temps.
SANCTION
Soucieux d'envoyer un signal fort de soutien à Kiev, le président américain Joe Biden et le Premier ministre britannique Boris Johnson ont annoncé ce dimanche un embargo sur les importations d'or russe, avant même que la décision ne soit formalisée par l'ensemble du G7.
Cette interdiction, qui porte sur l'or nouvellement extrait en Russie, sans viser celui déjà vendu, frappera "directement les oligarques russes et s'attaquera au cœur de la machine de guerre de Poutine", a assuré Boris Johnson.
CHARBON
La centrale à charbon de Saint-Avold (Moselle) devrait bien redémarrer l'hiver prochain "à titre conservatoire, compte tenu de la situation ukrainienne" et des tensions sur le marché de l'énergie, a confirmé dimanche le ministère de la Transition énergétique.
"Nous nous gardons la possibilité de pouvoir faire fonctionner la centrale de Saint-Avold quelques heures de plus si nous en avons besoin l'hiver prochain", a déclaré le ministère, confirmant une information de RTL.
La décision n'est pas une surprise totale: le gouvernement n'avait pas exclu, lors de la fermeture de la centrale le 31 mars dernier, de la redémarrer ponctuellement pour sécuriser l'approvisionnement du pays en électricité compte tenu du conflit en Ukraine et des déboires rencontrés par le parc nucléaire d'EDF.
REPORTAGE
Dans le Donbass, les forces ukrainiennes sont en grande difficulté face à la progression de l'armée russe. Les secouristes ont désormais beaucoup de mal à ravitailler les villages proches du front.
FRAPPES SUR KIEV
C'est la troisième fois depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine que ce quartier est visé par des missiles. Il avait d'abord été touché mi-mars, puis le 28 avril, lors de la visite à Kiev du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres. Une journaliste ukrainienne de Radio Liberty avait été tué.
Le quartier abrite une usine d'armement, dénommée Artem. Fondée à la fin du XIXe siècle, elle produit notamment des roquettes air-air et anti-char et des missiles de gros calibre, selon un site militaire spécialisé ukrainien.
Le ministère russe de la Défense a confirmé en fin de journée que cette usine "était la cible" et qu'un missile russe avait "précisément touché (ses) ateliers". Il a affirmé que les dégâts causés à l'immeuble résidentiel voisin étaient dus à un missile ukrainien de défense antiaérienne.
FRAPPES SUR KIEV
La Russie a affirmé avoir frappé dimanche une usine de production de missiles à Kiev, qualifiant de "fake" les affirmations selon lesquelles elle avait touché une zone résidentielle de la capitale ukrainienne.
C'est l'usine d'armement Artiom qui, "en tant qu'infrastructure militaire, était la cible", a déclaré le ministère russe de la Défense dans un communiqué, affirmant que les dégâts causés à un immeuble résidentiel voisin étaient dus à un missile ukrainien de défense antiaérienne.
FRAPPES SUR KIEV
Une personne a été retrouvée morte et quatre autres ont dû être hospitalisées après les frappes russes dimanche à l'aube sur un quartier proche du centre de Kiev, a indiqué le maire de la capitale ukrainienne, Vitaly Klitschko, dans un message sur son compte Telegram.
"Un corps a été retrouvé, six habitants ont été blessés dont quatre ont été hospitalisés parmi lesquels une fille de sept ans", a déclaré le maire qui s'était rendu sur place dès l'aube. Il n'a pas donné immédiatement d'informations sur la personne décédée.
"SÉRIES ANORMALES DE FRAPPES RUSSES SUR LES ZONES DE L'ARRIÈRE"
L'Institut américain pour l'étude de la guerre observe "des séries anormales de frappes russes sur des zones de l'arrière". Il cite le commandement de l'armée de l'Air ukrainienne selon lequel quelque 50 frappes ont été enregistrées samedi près de Kiev, Khmelnytskyï, Lviv (ouest), Chernihiv (nord), Mykolaïv (sud), Kharkiv (nord-est) et dans la région de Dniepropetrovsk (centre).
La Russie rappelle ainsi sa capacité à atteindre n'importe quel point de l'Ukraine, même si l'essentiel des opérations se déroulent dans l'est et le sud.
PÉTROLE
La France est favorable à la fixation d'un "prix maximum du pétrole" au niveau des "pays producteurs" afin de contrer l'envolée des prix provoquée par la guerre en Ukraine, a déclaré dimanche la présidence française en marge du sommet du G7 en Allemagne.
Paris n'est pas "opposé par principe" à la proposition américaine de plafonnement des prix mais "ce qui serait pour nous beaucoup plus puissant c'est qu'on mette un prix maximum au pétrole qui vienne de tous les pays producteurs", a souligné l'Elysée.
"BARBARIE"
Le président américain Joe Biden a jugé dimanche en Allemagne que les nouveaux bombardements sur un quartier de Kiev, proche d'une usine d'armement déjà touché ces dernières semaines, relevaient de la "barbarie".
"C'est encore leur barbarie", a-t-il dit, en faisant référence aux Russes, alors qu'il participe jusqu'à mardi au sommet du G7 à Elmau, dans les Alpes bavaroises.
FRAPPES
La Russie a déclaré dimanche avoir frappé trois centres d'entraînement militaires dans le nord et l'ouest de l'Ukraine, dont un situé à proximité de la frontière polonaise, quelques jours avant un sommet de l'Otan dont Varsovie est membre.
Ces bombardements ont été effectués avec des "armes de haute précision des forces aérospatiales russes et des missiles (de croisière) Kalibr", a indiqué le ministère russe de la Défense dans un communiqué. Parmi les cibles visées figure un centre d'entraînement militaire des forces ukrain
"RENVERSER LE COURS" DE LA GUERRE EST POSSIBLE
Le Premier ministre britannique Boris Johnson et le président de la République Emmanuel Macron voient une possibilité de "renverser le cours" de la guerre, assure Downing Street.
LA MISE EN GARDE DE BORIS JOHNSON À EMMANUEL MACRON
Le Premier ministre britannique Boris Johnson met en garde le président de la République Emmanuel Macron contre "toute tentative" d'une solution négociée "maintenant" en Ukraine au risque de prolonger "l'instabilité mondiale".
De son côté, la présidence française assure que Boris Johnson montre "beaucoup d'enthousiasme" à la proposition d'Emmanuel Macron de créer une communauté politique européenne.
EXPLOSIONS À KIEV : L'UKRAINE SOUHAITE UNE RÉACTION DU G7
L'Ukraine réclame plus d'armes et de sanctions contre Moscou aux pays du G7 à la suite d'une frappe russe plus tôt dans la matinée sur un complexe résidentiel proche du centre de Kiev. "Le sommet du G7 doit répondre par plus de sanctions contre la Russie et plus d'armes lourdes pour l'Ukraine", exhorte Dmytro Kouleba, le chef de la diplomatie ukrainienne, appelant à "vaincre l'impérialisme malade" russe.
BIDEN APPELLE LE G7 ET L'OTAN À "RESTER ENSEMBLE"
Le G7, réuni en sommet ce dimanche en Bavière, et l'Otan doivent "rester ensemble" contre l'agression russe de l'Ukraine, a déclaré Joe Biden avant un entretien avec le chancelier allemand Olaf Scholz. Le président russe Vladimir Poutine espérait "que, d'une manière ou d'une autre, l'Otan et le G7 se divisent", a poursuivi le président américain. "Mais nous ne l'avons pas fait et nous ne le ferons pas."
EXPLOSIONS À KIEV : AU MOINS QUATRE BLESSÉS
Le bilan grimpe après les explosions ayant touché Kiev tôt ce dimanche matin. Quatre blessés, dont une fillette de 7 ans et sa mère, ont été hospitalisés, a indiqué sur la messagerie Telegram le maire de la capitale, Vitaly Klitschko, précisant que les travaux de sauvetage se poursuivaient.
"LES CIVILS CLAIREMENT VISÉS", SELON L'AMBASSADEUR DE FRANCE
L'ambassadeur de France en Ukraine, Étienne de Poncins, assure que les civils étaient "clairement visés" par les frappes tôt ce dimanche matin sur Kiev. "Une des habitantes sauvées des décombres avait la nationalité et un passeport russes."
Frappes 🇷🇺 tôt ce matin sur des bâtiments résidentiels à #Kyiv à proximité de la gare centrale. Des civils clairement visés. Une des habitantes sauvées des décombres avait la nationalité et un passeport 🇷🇺... #WeStandWithUkraine solidarité 🇫🇷🇺🇦🇪🇺 pic.twitter.com/qktSswyJ6Q — Etienne de Poncins (@EdePoncins) June 26, 2022
EXPLOSIONS À KIEV : "UN RAPPEL POUR LA POPULATION UKRAINIENNE"
Les explosions à Kiev tôt ce dimanche matin sont "un rappel pour la population ukrainienne", estime sur LCI le général François Chauvancy, consultant en géopolitique. "La guerre n'est pas terminée", la Russie "peut encore frapper Kiev."
EXPLOSIONS À KIEV : AU MOINS DEUX BLESSÉS
Au moins deux blessés ont été hospitalisés après les explosions qui ont touché Kiev tôt ce dimanche, a indiqué sur la messagerie Telegram le maire de la capitale, Vitaly Klitschko, précisant que des gens restaient "sous les décombres", le bilan pouvant s'alourdir.
OR RUSSE
Le Royaume-Uni, les États-Unis, le Canada et le Japon vont interdire les importations d'or russe dans de nouvelles sanctions imposées en réponse à l'invasion de l'Ukraine, a annoncé ce dimanche Downing Street au premier jour d'un sommet du G7.
"Ces mesures frapperont directement les oligarques russes et s'attaqueront au cœur de la machine de guerre de Poutine", a déclaré le Premier ministre britannique Boris Johnson, qui retrouve pour trois jours les dirigeants des grandes puissances industrialisées en Allemagne.
EXPLOSIONS À KIEV : LA RUSSIE VEUT "INTIMIDER LES UKRAINIENS"
La frappe russe tôt ce dimanche matin sur Kiev avait pour objectif d'"intimider les Ukrainiens" à l'approche du sommet de l'Otan du 28 au 30 juin à Madrid, a estimé le maire de la capitale ukrainienne, Vitaly Klitschko, qui s'est rendu sur le lieu de l'explosion.
EXPLOSIONS À KIEV : AU MOINS UN BLESSÉ
Au moins une personne a été blessée par les explosions ce matin à Kiev. "À la suite d'un bombardement ennemi, un incendie s'est déclaré dans un immeuble de neuf étages", a indiqué sur la messagerie Telegram le service d'État pour les situations d'urgence.
"Selon les données préliminaires, une personne a été blessée", a-t-il précisé. Arrivée dans le centre de Kiev, une équipe de l'AFP a vu les trois derniers étages de l'immeuble en feu et sa cage d'escalier complètement détruite, alors que la police a bouclé le quartier.
G7
La guerre en Ukraine va être au coeur du sommet du G7 qui s'ouvre ce dimanche en Allemagne. Les leaders des grandes puissances, dont le président américain Joe Biden, ont rendez-vous à partir de 10H00 GMT dans les Alpes bavaroises, pour le sommet annuel du club des sept pays industrialisés (G7) comprenant Allemagne, Canada, France, Italie, Japon, Royaume-Uni et États-Unis.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui interviendra lundi en visioconférence, devrait de nouveau demander l’envoi d'armes lourdes, après que les Russes viennent de prendre le contrôle de Severodonetsk (est).
EXPLOSIONS
Quatre explosions ont été entendues à Kiev tôt dimanche matin, un complexe résidentiel proche du centre-ville a été touché provoquant un incendie et le dégagement d'un important nuage de fumée grise, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Les déflagrations se sont produites vers 06H30 (03H30 GMT), une demi-heure après le déclenchement de sirènes anti-aériennes dans la capitale, qui n'a pas été touchée par des bombardements russes depuis près de trois semaines.
Aucune information sur d'éventuelles victimes n'était disponible dans l'immédiat.
Bonjour et bienvenue dans ce nouveau direct consacré à la guerre en Ukraine. Suivez ici les dernières informations sur le conflit.
La Russie a de nouveau brandi samedi la menace suprême en affirmant vouloir livrer "dans les prochains mois" à son allié biélorusse des missiles capables de transporter des charges nucléaires. Dans le même temps, les combats se poursuivent dans plusieurs régions de l'Ukraine, quatre mois après le déclenchement de la guerre par la Russie le 24 février.
Les forces russes et prorusses sont entrées samedi dans Lyssytchansk, selon les séparatistes, et des "combats de rue" se déroulent dans cette ville jumelle de Severodonetsk, un verrou stratégique d'où les forces ukrainiennes ont reçu la veille l'ordre de se retirer. Celle localité est "entièrement occupée par les Russes", a reconnu son maire Oleksandre Striouk. Les séparatistes ont de leur côté déclaré y avoir "pris le contrôle total de la zone industrielle de l'usine Azot".
La conquête des deux villes constitue pour la Russie une étape cruciale dans sa volonté de s'emparer de l'intégralité du bassin industriel du Donbass, déjà en partie aux mains des séparatistes prorusses depuis 2014.
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