EN DIRECT - Guerre en Ukraine : Zelensky se félicite des "bons résultats" obtenus à Kherson

Publié le 21 octobre 2022 à 6h45, mis à jour le 21 octobre 2022 à 21h17

Le président ukrainien a annoncé vendredi la capture de plus de 30 blindés et de trois pièces d'artillerie.
Il accuse la Russie de retarder délibérément le passage des navires chargé
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V. ZELENSKY SE FÉLICITE DES "BONS RÉSULTATS" À KHERSON


Le président ukrainien s'est félicité vendredi des "bons résultats" de son armée face aux troupes russes dans la région de Kherson, dans le Sud du pays, où Kiev revendique avoir repris des dizaines de localités et récupéré des armes russes.


"Merci également aux soldats de la 60e brigade d'infanterie séparée, dont les unités affichent de bons résultats dans la région de Kherson", a indiqué le chef d'État ukrainien dans une vidéo sur les réseaux sociaux, annonçant la capture de plus de 30 blindés, d'un millier de projectiles pour chars et de trois pièces d'artillerie. 

MOSCOU RETARDE "DÉLIBÉREMENT" LES EXPORTATIONS DE CÉRÉALES


Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé vendredi la Russie de retarder "délibérément" le passage des navires chargés de céréales ukrainiennes, un approvisionnement vital pour de nombreux pays d'Afrique et d'Asie. "Plus de 150 navires sont dans une file d'attente pour remplir les obligations contractuelles d'approvisionnement de nos produits agricoles. Il s'agit d'une file d'attente artificielle, apparue uniquement parce que la Russie retarde délibérément le passage des navires", a-t-il déclaré dans une vidéo, sans préciser de quoi il accusait Moscou. 

KIEV RÉCLAME UNE MISSION D'OBSERVATION AU BARRAGE DE KAKHOVKA


L'Ukraine a demandé vendredi une mission d'observation internationale au barrage de Kakhovka, dans la région de Kherson occupée par les forces russes, que Kiev accuse Moscou d'avoir miné. "Nous appelons l'ONU, l'UE et d'autres organisations à organiser une mission d'observation internationale de Kakhovka. Des experts internationaux doivent arriver immédiatement (sur le site), ainsi que le personnel ukrainien", a exhorté le Premier ministre Denys Chmygal, lors d'une réunion du gouvernement. 

WASHINGTON VEUT "MAINTENIR" LA COMMUNICATION AVEC MOSCOU


Le chef du Pentagone Lloyd Austin a souligné vendredi "l'importance du maintien de canaux de communication" dans le contexte de la guerre en Ukraine lors d'un appel téléphonique avec son homologue russe Sergueï Choïgou, selon le ministère américain de la Défense. Il n'a pas donné d'autres détails sur leur conversation.

UN JOURNALISTE TUÉ ET DIX AUTRES BLESSÉS DANS UNE FRAPPE À KHERSON


Un responsable russe a affirmé vendredi qu'un journaliste avait été tué et dix autres blessés lors d'une frappe nocturne sur un pont de la ville de Kherson, dans le sud de l'Ukraine, où des évacuations sont en cours face à l'avancée des troupes ukrainiennes. 


"Parmi les journalistes, il y a dix blessés et un tué", a déclaré sur la chaîne russe Rossiya-24 Alexandre Malkevitch, un responsable russe de la Chambre civique russe, une institution consultative. Plus tôt vendredi, les autorités d'occupation russe ont accusé Kiev, qui a aussitôt démenti, d'avoir tué quatre personnes lors d'un bombardement sur le pont Antonovski sur le fleuve Dniepr. 

KIEV A REPRIS 88 LOCALITÉS DANS LA RÉGION DE KHERSON


L'Ukraine a affirmé vendredi avoir repris 88 localités aux forces russes dans la région de Kherson, dans le sud de l'Ukraine, au moment où l'administration d'occupation prorusse évacue des milliers de civils. "Région de Kherson : 88 localités reprises", a indiqué sur Telegram un conseiller de la présidence ukrainienne Kyrylo Timochenko. Un précédent bilan, le 13 octobre, faisait état de 75 villes et villages repris.

L'UE VA FOURNIR UNE AIDE D'1,5 MILLIARD D'EUROS PAR MOIS


L'Union européenne projette de fournir une aide de 1,5 milliard d'euros par mois à l'Ukraine en 2023 pour soutenir ce pays en guerre, a annoncé vendredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen à l'issue d'un sommet des 27.


"Cela donnera donc un chiffre global de 18 milliards pour l'année prochaine (...), un flux de revenus prévisibles, stables et fiables", a déclaré la dirigeante européenne lors d'une conférence de presse depuis Bruxelles. "Nous avons chargé les ministres des finances de développer le mécanisme approprié", a-t-elle précisé. 

MACRON A BRUXELLES : "BAISSE DE LA DÉPENDANCE DU GAZ RUSSE"


"Nous irons vers l'hiver prochain sans gaz russe du tout", a déclaré Emmanuel Macron ce vendredi lors de sa conférence de presse à l'issue du sommet européen sur l'énergie. 


Le gaz russe représentait 40% des importations européennes avant le début de la guerre, contre "moins de 7%" aujourd'hui, a-t-il assuré.

L'UKRAINE  AU COEUR DES ÉCHANGES ENTRE RUSSES ET AMÉRICAINS


Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou s'est entretenu au téléphone vendredi avec son homologue américain, Lloyd Austin, a annoncé Moscou, la deuxième conversation entre les deux hommes depuis le début du conflit. "Plusieurs questions d'actualité de sécurité internationale, dont la situation en Ukraine, ont été abordées" lors de cet échange, a indiqué le ministère russe de la Défense dans un communiqué. 

ESPIONNAGE


Des agents du SVR, le service russe d'espionnage, passent par des plateformes comme Leboncoin pour attirer de nouvelles recrues. Les jeunes profils, susceptibles d'occuper à l'avenir des postes stratégiques, sont privilégiés.

NORD STREAM


Le Kremlin a assuré vendredi que les Européens seraient "surpris" de savoir la "vérité" sur les explosions à l'origine le mois dernier des fuites sur les gazoducs Nord Stream 1 et 2, construits pour acheminer le gaz russe en Europe.


"Un travail est mené via les canaux diplomatiques. Mais jusqu'à présent, il se heurte à un mur de réticence à faire ensemble la lumière sur la vérité, qui ne manquera pas d'en surprendre plus d'un dans les pays européens si elle devait être rendue publique", a affirmé vendredi Dmitri Peskov. "Ni les Allemands, ni les Suédois, ni les Danois ne partagent d'informations avec nous", se désole le porte-parole du Kremlin. 

HIVER 


En raison de la férocité des combats et des bombardements russes successifs, les Ukrainiens se préparent à passer l'hiver dans des conditions très difficiles. 

En Ukraine, un hiver sans électricité ni chauffage ?Source : JT 20h Semaine

TRIBUNAL 


Les pays baltes ont réclamé, vendredi au second jour d'un sommet des Vingt-Sept à Bruxelles, la mise en place d'un tribunal spécial pour juger les "crimes d'agression" contre l'Ukraine commis par la Russie.


"Nous devons absolument discuter de la réponse légale aux crimes d'agression qui ont été commis, et de la mise en place d'un tribunal spécial pour les poursuivre", a déclaré la Première ministre estonienne Kaja Kallas. "Les crimes de guerre sont du ressort de la Cour pénale internationale, mais les crimes d'agression ne peuvent être jugés que par un tribunal spécial, et je pense que l'Union européenne pourrait être un leader pour aller dans ce sens", a-t-elle ajouté.

BARRAGE 


L'Ukraine a accusé la Russie d'avoir miné un barrage hydro-électrique près de Kherson, dans le sud du pays. En cas d’explosion, "plus de 80 localités se retrouveront dans la zone d'inondation rapide", a mis en garde Volodymyr Zelensky.

ARRESTATIONS


La Russie a dénoncé vendredi l'arrestation de deux ressortissants russes en Italie et en Allemagne, à la demande de Washington qui les accuse d'avoir vendu illégalement des technologies américaines à des entreprises d'armements en Russie. "Nous condamnons de telles arrestations de citoyens russes", s'est insurgé le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov. Le Kremlin a promis de "tout faire" pour défendre les intéressés.

ROYAUME-UNI 


Le Kremlin ne s'attend à "aucune sagesse politique" après la démission de Truss, a-t-il indiqué vendredi dans un communiqué. "Il n'est pas nécessaire d'attendre une quelconque perspicacité ou sagesse politique de quiconque au sein de l'Occident collectif, y compris de la part de Grande-Bretagne", a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov; 

INTERVIEW


"L'hiver va ralentir les opérations russes, mais ne va pas les arrêter", estime le colonel Peer de Jong sur LCI. Pour le spécialiste en géopolitique, Moscou "ira jusqu'au bout du processus". Quant à une issue diplomatique, il juge que "Zelensky et Poutine ont raté le coche sur toute négociation".

OTAN


Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a accepté vendredi de recevoir le Premier ministre suédois, Ulf Kristersson, pour discuter des conditions d'une adhésion du pays scandinave à l'OTAN. 


"Le nouveau Premier ministre suédois a demandé à être reçu. J'ai dit à nos amis : 'Donnez-lui rendez-vous afin qu'il vienne'", a déclaré le chef de l'État turc. 


Pour rappel, le dirigeant menace de bloquer l'adhésion de la Suède et de la Finlande à l'Otan tant que les demandes  - concernant des combattants kurdes du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK) et des Unités de protection du peuple (YPG) que la Suède et la Finlande protégeraient - d'extradition formulées par Ankara ne seront pas honorées. "Ces terroristes (...) doivent être appréhendés et nous être livrés", martèle-t-il. 

ZAPORIJIA


Le gouverneur ukrainien de l'oblast de Zaporijia, Oleksandr Starukh, a indiqué ce vendredi que trois personnes avaient été blessées lors de frappes sur la ville, tôt dans la matinée. 


"L'ennemi a attaqué la ville avec des missiles S-300. Un bâtiment résidentiel et des installations d'infrastructure ont été détruits", a-t-il fustigé. "L'occupant a également visé une école dans l'un des districts de Zaporizhzhia. Le toit de l'école a été endommagé et les fenêtres ont été brisées. Des installations d'infrastructure et des zones ouvertes ont aussi été touchées", a-t-il ajouté. 


"Selon les informations préliminaires, il y a trois blessés", précise-t-il. 

BILAN 


Dans son dernier bilan, l'armée ukrainienne a affirmé avoir tué 166.750 soldats russes depuis le 24 février dernier. 2573 tanks, 1648 pièces d'artillerie ou encore 243 hélicoptères ennemis auraient également été mis hors d'état de nuire. En outre, plus de 1000 drones auraient été abattus. 

RÉSISTANCE 


 "La ville de Kherson, comme une forteresse, prépare sa défense", a affirmé vendredi Kirill Stremooussov, le chef adjoint de l’occupation russe à Kherson.

ACCUSATIONS DE BOMBARDEMENT 


Les autorités pro-russes ont accusé vendredi l'Ukraine d'avoir bombardé le pont Antonovski reliant les rives Nord et Sud du fleuve Dniepr, utilisé pour des évacuations de civils de Kherson. "Quatre personnes ont été tuées", a indiqué sur Telegram Kirill Stremooussov, le chef adjoint de l’occupation russe dans cette ville. 

"LE PROBLÈME C'EST L'ARMEMENT IRANIEN"


"Le fait qu'il y a des militaires iraniens dans le conflit en Ukraine, ça en change pas grand-chose au problème ; et le fait que l'Iran rentre dans le système, ça dégrade l'Iran plutôt que ça déstabilise le système, analyse Peer de Jong, en référence aux drones kamikazes iraniens utilisés en Ukraine. "Le problème, c'est l'armement iranien, extrêmement performant, qui ne coûte rien, dont les dégâts sont incroyables dans les villes ukrainiennes. Aujourd'hui c'est le missile du pauvre, qui a fait entrer l'Iran dans le conflit".  

KHARKIV


Le gouverneur régional, Oleh Sinegubov, a affirmé ce vendredi que six personnes avaient été blessées dans une frappe des forces russes sur un site industriel de Kharkiv. 

"PAS DE RISQUE NUCLÉAIRE À COURT TERME"


"Il y a un changement politique, c'est la Chine : les Chinois et les Indiens ont spécifiquement dit à Poutine que l'option nucléaire était interdite", rappelle Peer de Jong. 


"Aujourd'hui Poutine a menacé avec le nucléaire, mais à court terme, il ne va pas l'utiliser", selon l'ex-militaire. Selon le spécialiste, en vidant Kherson, Poutine "fait la même chose qu'à Alep, en Syrie, et qu'en Tchétchénie, où il a totalement rasé ces deux villes ; Dans le court terme, il y aura probablement sur Kheron une répression sauvage". 

"ON NE CONNAIT PAS LES OBJECTIFS REELS DE POUTINE"


"Une offensive à partir de la Biélorussie n'est pas à négliger, si on voit les mouvements des troupes depuis Kherson. Si la Biélorussie rentre dans le jeu, cela est compliqué au vu de sa proximité des grandes villes ukrainiennes. Ensuite, la Biélorussie est aussi proche de l'Europe, de la Lituanie, des Pays-Bas, et de Kaliningrad. On pourrait considérer que les Russes sont tentés dans une grande offensive pour relier Kaliningrad. Il est aussi que Moscou s'en prenne aux pays Baltes, auquel cas on entrerait dans une toute nouvelle dimension du conflit, avec une guerre en europe", égrène Peer de Jong. 


"La meilleure défense c'est l'attaque. Poutine a montré qu'il était capable de déclencher la guerre, et aujourd'hui on ne connait pas le sobjectifs réels de Poutine", avance-t-il

"LES RUSSES NE LÂCHERONT JAMAIS"


"L'objectif au long terme, c'est que les Russes ne lâcheront jamais, ils iront au bout du processus. Dès lors, les Russes mettent en place un système pour tenir le tenir, avec une ligne défensive sur la partie est, le creusement de tranchées... L'hiver va ralentir les opérations seulement", prévoit Peer de Jong.


"Zelensky et les Russes ont raté le coche sur toute négociation. Aujourd'hui les ponts sont coupés. C'est pour cela qu'on peut espérer que l'hiver amène la mise en place d'une forme de diplomatie", espère le spécialiste, évoquant le rôle de la Turquie ou de la Chine. 


Dans les 6 prochains mois, "on pourrait arriver à un accord, similaire à celui de Minsk, et on fossilise la situation. Or Zelensky n'a pas intérêt aujourd'hui à annoncer sa population qu'il est en négociation, sinon cela va accélérer les processus de destructions, pour prendre des parts de terrain avant les négociations". 


"Je pense que Poutine est totalement indifférent à ce qui arrive aux Ukrainiens. Il peut les réduire en cendres, cela ne le dérangera pas. Il peut aller jusqu'au nucléaire, il l'a intégré, ainsi que les destructions des infrastructures énergétiques, de communication... Le côté humain a totalement disparu", analyse Peer De Jong.  

"DANGER" SUR KHERSON


Aujourd'hui, les déclarations du général russe en charge des opérations sont assez pessimistes à Kherson. Le fait qu'ils vident la ville indique un danger. Il y a un point d'interrogation sur la réaction réelle des Russes", avance Peer de Jong, ex-Colonel des troupes de Marine sur le plateau de LCI. 


"Dans les opérations russes depuis 6 mois, on voit une gradation de la violence", ajoute le spécialiste en sciences politiques. "Cette montée en violence tend vers l'extrême. La fin de ce processus est l'engagement nucléaire".

BIÉLORUSSIE


"Le 14 octobre, le président bélarussien Alexandre Loukachenko a déclaré que 70 000 soldats biélorusses et jusqu'à 15.000 Russes participeraient à un nouveau groupe militaire commun. [...] Toutefois, à ce jour, il est peu probable que la Russie ait effectivement déployé un nombre significatif de troupes supplémentaires en Biélorussie", affirme le ministre britannique de la Défense. 


"Il est peu probable que la Russie soit en mesure de générer des formations prêtes au combat de la taille annoncée : ses forces sont engagées en Ukraine. Il est aussi fort probable que l'armée biélorusse conserve une capacité minimale pour entreprendre des opérations complexes", ajoute-t-il. 


"Cette annonce est probablement une tentative de démontrer la solidarité russo-biélorusse et de convaincre l'Ukraine de détourner des forces pour garder la frontière nord", concluent les autorités britanniques. 

AVERTISSEMENT


Volodymyr Zelensky a accusé jeudi la Russie de vouloir détruire un barrage hydroélectrique dans la région orientale de Kherson. "La Russie se prépare [à attaquer] la centrale hydroélectrique de Kakhovka. Selon nos informations, les agrégats et le barrage de la HPP de Kakhovka ont été minés par des terroristes russes", affirme le président ukrainien. 


"Si le barrage est détruit [...], le canal de Crimée du Nord disparaîtra tout simplement", ce qui serait "une catastrophe à grande échelle", a ajouté le dirigeant.

LE POINT SUR LA SITUATION 


Une nouvelle offensive russe depuis la Biélorussie est redoutée par le camp ukrainien. L'aide militaire présumée de Téhéran à Moscou continue à être dénoncée. Les faits marquants des dernières 24 heures.

IRAN


Des militaires iraniens se trouvent "sur le terrain en Crimée" pour aider les forces russes, a affirmé ce jeudi la Maison Blanche. Ils sont accusés de mener des attaques à l'aide de drones de fabrication iranienne en Ukraine.

Bonjour à tous et bienvenue dans ce live consacré à la guerre en Ukraine. 

Le président ukrainien Volodymyr  Zelensky a accusé jeudi dans la soirée les Russes d'avoir miné un barrage d'une centrale hydroélectrique située dans la région de Kherson, dans le Sud de l'Ukraine, et sous contrôle des forces de Moscou. "Selon nos informations, les agrégats et le barrage de la centrale hydroélectrique de Kakhovka ont été minés par des terroristes russes", a affirmé le président ukrainien dans son allocution quotidienne publiée sur les réseaux sociaux.

"En cas de destruction du barrage (...) le canal de Crimée du Nord disparaîtra tout simplement", et ce serait "une catastrophe à grande échelle", a ajouté Volodymyr Zelensky, qui avait déjà évoqué cette éventualité lors d'une intervention peu avant, devant le Conseil de l'Union européenne. 

Le barrage de la centrale hydroélectrique de Kakhovka est aménagé sur le fleuve Dniepr, dans une zone actuellement sous contrôle de l'armée russe et non loin de la ligne de contact avec les forces ukrainiennes.


La rédaction de TF1info

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