ETATS-UNIS - Après la fusillade d'Orlando, qui a fait 50 morts, le président américain Barack Obama a dénoncé un acte de "terreur". Il en a profité pour relancer le débat sur les armes à feu.
Le président Barack Obama a condamné ce dimanche 12 juin la pire fusillade de l'histoire des Etats-Unis, qui a fait 50 morts dans un club gay d'Orlando (Floride). Lors d'une très brève allocution en direct de la Maison Blanche, Obama a déclaré : "Aucun acte de terreur et de haine ne peut changer qui nous sommes".
Le candidat du parti républicain, Donald Trump, qui a attisé les ressentiments pendant toutes les primaires, s'est félicité sur Twitter d'avoir eu raison sur le terrorisme islamique radical". Il a exigé la démission du président s'il refusait d'employer cette expression, chère à la droite mais que le président Obama se refuse à utiliser pour ne pas stigmatiser toute une communauté.
L'éternel débat sur les armes
"Nous devons décider si c'est le genre de pays que nous voulons être", a demandé Barack Obama, faisant référence aux armes à feu, dont il aimerait réguler la circulation. Le président américain a ajouté ; "Rappelez-vous à quel point il est facile de mettre de telles armes dans leurs mains."
Obama a également ordonné que les drapeaux sur tous les bâtiments fédéraux soient mis en berne en hommage aux victimes.
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