VIDÉO - Guerre en Ukraine : de nouvelles images au cœur des combats dans l'aciérie d'Azovstal

Publié le 13 mai 2022 à 10h32, mis à jour le 13 mai 2022 à 10h38
JT Perso
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Source : TF1 Info

De violents combats sont toujours en cours dans l'usine Azovstal, dernière poche de résistance ukrainienne.
Des soldats du régiment Azov, coincés dans l'aciérie, ont filmé la dureté de la bataille en caméra embarquée.
"Il y a de plus en plus de blessés", assure sur LCI une épouse d'un sergent du bataillon.

Des tirs nourris et des détonations ininterrompues. Au cœur de l'usine Azovstal, d'où "toutes les femmes, tous les enfants et toutes les personnes âgées ont été évacués", le 7 mai dernier, la bataille redouble d'intensité. Les derniers combattants du sulfureux régiment Azov demeurent retranchés dans les entrailles du complexe industriel de 12 km², situé en bordure de Marioupol, ultime poche de résistance dans ce port stratégique sur la mer d'Azov, désormais contrôlé par les troupes russes. Acculés par l'armée de Vladimir Poutine, les résistants enregistrent, heure après heure, de lourdes pertes. 

"Les nouvelles ne sont pas bonnes. D'une heure à une autre, il y a des mauvaises nouvelles. Il y a de plus en plus de blessés, des blessés extrêmement graves, qui peuvent décéder d'une minute à l'autre", témoigne auprès de LCI Yulia, l'épouse du sergent Arseniy Fedosiuk, membre du bataillon Azov. "Ce sont des militaires professionnels, aguerris, mais lorsqu'ils font face à des situations dans lesquelles leurs compagnons d'armes souffrent et meurent, ces êtres humains sont déprimés. Ils sont mobilisés fortement pour pouvoir mettre en place l'évacuation des civils, malgré toutes les difficultés et tous les dangers."

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Après des semaines de bataille féroce, les soldats coincés dans l'aciérie ont multiplié les appels à l'aide désespérés. "L'ennemi est dix fois plus nombreux que nous", a affirmé l'un des commandants, Sergiy Volyna, qui a décrit les conditions de vie "inhumaines" à l'intérieur de l'usine, de taille d'un arrondissement de Paris. "Chaque minute, une nouvelle vie est perdue."


La rédaction de TF1info

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