Le procès de l'attentat de Nice s'ouvre ce lundi 5 septembre devant la cour d'assises spéciale de Paris.Il doit durer jusqu'au 16 décembre prochain.Près de 900 personnes se sont constituées parties civiles.
Ce live est à présent terminé.
#attentatdeNice #14juillet2016 #procès La délicate question de la diffusion des images du massacre par @soren_seelow https://t.co/TqN0U8xTLW — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Wed Sep 07 06:14:06 +0000 2022
#attentatdeNice #14Juillet2016 #procès Il y avait à l'issue de l'information judiciaire plus de 850 parties civiles constituées.Elles sont aujourd'hui 1940 (source judiciaire). 298 d'entre elles souhaitent témoigner. Elles étaient 248 avant l'ouverture de l'audience criminelle. https://t.co/KeT2RMSq38 — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Tue Sep 06 14:32:49 +0000 2022
#attentatdeNice #14Juillet2016 Procès de l'attentat de Nice : les parties civiles entre "quête de vérité" et "espoir de se reconstruire" https://t.co/1PcqdVNb7p — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 16:15:26 +0000 2022
#attentatdeNice #14Juillet2016 Mathieu Bousfiha,27 ans, était allé avec sa sœur et ses parents voir le feu d’artifice. Il a sauvé sa sœur en la poussant, avant de voir le camion foncé sur son père qui était en fauteuil. Ses parents sont décédés. https://t.co/Aj4CuvhM5Z — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 15:41:03 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Le président Laurent Raviot "A ce jour, 240 parties civiles ont demandé à être entendues, on ne pourra pas entendre 500 ou 600." Ils demandent aux avocats de s'organiser et de faire des choix "Ce n'est pas à la cour de le faire". — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 13:26:40 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Le président, face aux nouvelles constitutions de parties civiles et à leur souhait pour certaines d'être entendues, s'inquiètent pour le planning. Le procès doit durer jusqu'au 16 décembre. "On ne pourra pas déborder en 2023". — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 13:26:39 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Le président Laurent Raviot: "Jusqu'à ce matin, nous avons reçu de nouvelles constitutions de parties civiles. Je rappelle que les constitutions peuvent se faire jusqu'aux réquisitions du parquet". — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 13:22:34 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Les avocats se succèdent à la barre à l'appel du président. Ils réitèrent les constitutions d'une ou plusieurs parties civiles, ou constituent certaines parties civiles pour la première fois. Ils sollicitent pour certains l'aide juridictionnelle. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 13:08:18 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 L'avocate générale précise que la recevabilité ou non de la constitution des proches des victimes décédées ou blessées pendant l'attentat sera étudiée "au cas pas cas". — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:59:18 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Avocate générale :"pourraient être déclarées recevables les constitutions de personnes qui ont été blessées pendant leur fuite". — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:59:17 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Le Pnat juge aussi irrecevable la constitution de parties civiles qui ne se trouvaient pas sur la promenade des Anglais au moment de l'attentat. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:59:17 +0000 2022
#AttentatdeNice L'avocate générale rappelle qu'il s'agit là des "témoins malheureux". https://t.co/mKlUtWE45z — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:59:16 +0000 2022
#AttentatdeNice Avocate générale sur les primo-intervenants : "On sait combien leur mission est importante, qu'il peut y avoir des répercussions après avoir vu l'horreur, mais n'ayant pas été exposés à l'attentat,ils ne peuvent être considérés comme victimes directes." — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:59:15 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Avocate générale : "A contrario il y a des situations qui relèvent d'une irrecevabilité ; les personnes intervenues après la neutralisation du terroriste, les primo-intervenants" — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:59:14 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Avocate générale : "Doivent également être admises les constitutions de parties civiles qui sont intervenues pour faire stopper l'action". "Cette intervention est indissociable des infractions." — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:59:14 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Avocate générale : "Il y a dans un premier temps des situations qui sont évidentes et pour lesquelles la recevabilité ne fait pas débat : ceux qui étaient dans le périmètre de la trajectoire du camion". — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:59:13 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Les deux avocates générales prennent la parole pour évoquer la recevabilité ou non de la constitution de parties civiles. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:44:45 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Le président va faire l'appel des parties civiles. "Ça va être long" prévient-il. Il va être question aussi de la recevabilité ou non de la constitution de parties civiles. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:44:44 +0000 2022
Le ministère public : « le procès qui débute a pour objet un attentat qui a fait 86 morts et des centaines de blessés ». La prise de parole est très technique et axée sur la recevabilité des parties civiles. #AttentatDeNice — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 12:31:11 +0000 2022
« Le planning d’audience est susceptible d’évoluer. Il n’y a pas de possibilité d’interaction entre les salles de retransmission ici et/ou à Nice », prévient le président. #AttentatDeNice — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 12:25:49 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Le président Laurent Raviot fait un point #Covid, et comme l'épidémie a reculé, le port du masque n'est pas obligatoire dans la salle. Il rappelle aussi que le procès sera filmé. Chokri Chafroud, accusé, avait fait un recours qui a été rejeté. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:24:48 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 A la barre, la seule femme poursuivie dans cette affaire: Enlekedja Zace, Albanaise née en 1974. Elle est poursuivie pour participation à une association de malfaiteurs et infractions à la législation sur les armes. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:24:48 +0000 2022
Ordonnance 9 mai 2022 : le procès sera intégralement enregistré. L’un des accusés a formé un recours contre cette ordonnance. Mais, le mois dernier, la Cour de cassation a rendu une décision d’irrecevabilité. #AttentatDeNice — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 12:24:42 +0000 2022
Enkeledja Zace, seule femme parmi les accusés. Elle est soupçonnée d’avoir été traductrice lors de la transaction d’armes. Après avoir été incarcérée, elle est sous contrôle judiciaire depuis décembre 2017. #AttentatDeNice — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 12:21:00 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Le président rappelle à Artan Hena qu'il a le droit au silence. Artan Henaj, accusé : "Oui je suis d'accord" Laurant Raviot: "D'accord sur quoi. D'accord pour moi ça ne veut pas dire grand chose". - "J'ai compris" reprend l'accusé. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:19:04 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Artan Henaj, accusé, se lève dans le box. Il est détenu mais pas dans le cadre de cette procédure. Il est né le 30 janvier 1978 en Albanie. Il porte un polo bleu et blanc à rayures, il a les cheveux courts, rasés de près. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:19:03 +0000 2022
Mohamed Ghraieb, 46 ans, né en Tunisie. Il s’est présenté de lui-même aux policiers le lendemain de l’attentat. Les enquêteurs ont établi un lien entre le terroriste et lui grâce à plusieurs échanges téléphoniques entre eux. #AttentatDeNice — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 12:18:47 +0000 2022
Artan Henaj, né en 1972 en Albanie. Il est soupçonné d’avoir fourni une arme au terroriste avec l’aide d’un tiers. Il est détenu pour « autre cause dans le cadre de cette affaire ». #AttentatDeNice — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 12:17:23 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Mohamed Ghraieb, accusé né en 1976 en Turquie, chemise bleue, jean, vient à la barre. "Je vais répondre à toutes les questions." — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:16:14 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Endri Elezi, accusé, est à la barre. Il décline aussi son identité. Il comparait libre. Le président lui rappelle qu'il peut répondre aux questions ou garder le silence. "C'est quoi le mieux" demande l'accusé. (rires dans la salle). — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:16:13 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Chokri Chafroud, Tunisien né en 1979, chemise à carreaux, se lève dans le box. Il est en détention provisoire dans cette procédure depuis le 21/07/16. Il est à détenu à Fresnes le temps du procès. "Je veux répondre à toutes vos questions." — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:16:12 +0000 2022
Chokri Chafroud, né en 1979 en Tunisie. Il est accusé d’avoir aidé le terroriste à se procurer des armes. Il a échangé des textos « à connotation djihadiste » avec le terroriste. Messages qui prouvent un « ressentiment contre la société ». #AttentatDeNice — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 12:10:50 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Laurent Raviot demande aux accusés de prendre la parole. Ramzi Arefa, veste blanche, t-shirt noir, se lève dans le box. Il est détenu dans cette procédure depuis le 21 juillet 2016. Il est poursuivi pour association de malfaiteurs terroriste — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:08:46 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Maksim Celaj, accusé albanais né en 1992, vient à la barre. Il est sous contrôle judiciaire (suspendu pendant le procès, il ne devra pas pointer) et comparait libre. T-shirt gris, cheveux ras, barbe courte. Il est électricien. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:08:46 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Laurent Raviot, président de la cour d'assises spéciale de Paris :"Brahim Tritrou est absent sans excuse valable (...) Il y a lieu de le juger par défaut dans cette procédure". — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:03:18 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Laurent Raviot : "J'ai appris par Me Pugliese qu'il (Brahim Tritrou accusé) était en Tunisie, détenu en Tunisie. J'en ai eu la confirmation". Le président va faire une demande d'entraide pénale". — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:02:20 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Laurent Raviot : "Nous avons 7 accusés présents et un absent". Brahim Tritrou est absent, il a fait l'objet d'un mandat d'arrêt en mars 2021. "La date l'audience lui a été régulièrement signifiée", précise le président. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:02:20 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès 7 interprètes sont appelés à la barre. Ils prêtent serment d'apporter leur concours à la justice en son honneur et en sa conscience."Je le jure" disent-ils à la barre. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 12:02:19 +0000 2022
« Brahim Tritou fait l’objet d’un mandat d’arrêt 10/03/21. J’ai appris qu’il se trouve en Tunisie et qu’il est, a priori, détenu là-bas. J’ai rédigé une demande d’entraide pénale internationale. Aucune réponse des autorités tunisiennes », annonce le président. #AttentatDeNice — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 12:02:03 +0000 2022
Les différents interprètes passent tout à tout à la barre « je jure d’apporter mon concours à la justice en mon honneur et conscience ». #AttentatDeNice — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 11:58:03 +0000 2022
13h53 : #AttentatDeNice : « L’audience criminelle est ouverte, vous pouvez vous asseoir. Excusez la Cour pour ce retard. Les accusés sont en place ? Oui. Les interprètes sont présents ? Approchez-vous svp », Laurent Raviot, président de la cour d’assises spéciale de Paris. — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 11:56:51 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Laurent Raviot, président : "L'audience criminelle est ouverte vous pouvez vous asseoir." — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 11:54:29 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès Deuxième fois que la sonnerie retentit dans la salle d'audience. Deuxième fois que tout le monde se lève. Deuxième faux départ. Tout le monde se rassoit. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 11:42:15 +0000 2022
ACCUSÉS DÉTENUS, LIBRES OU EN FUITE
Dans le box (du plus près au plus éloigné du président) : Ramzi Kevin Arefa, Chokri Chafroud et Artan Henaj (détenu dans le cadre d'une autre affaire).Ils discutent avec leurs avocats. Les 4 autres accusés sont sous contrôle judiciaire et comparaissent libres. Le huitième Brahim Tritrou, sera jugé en son absence après avoir rompu son contrôle judiciaire.
HUIT ACCUSÉS JUGÉS
La première journée d'audience sera consacrée à l'interrogatoire d'identité des accusés et à l'actualisation des constitutions de partie civile. Elles étaient d'ores et déjà 865 avant le procès. Les premières paroles des accusés sont attendues mardi. Trois d'entre eux - Ramzi Kevin Arefa, Chokri Chafroud et Artan Henaj - comparaissent détenus, dont un (Artan Henaj) dans le cadre d'une autre affaire.
Quatre autres - Maksim Celaj, Endri Elezi, Mohamed Ghraieb et Enkeledja Zace - ont été placés sous contrôle judiciaire et se présenteront libres devant la cour.
Le huitième, Brahim Tritrou, sera jugé en son absence après avoir rompu son contrôle judiciaire. Selon son avocate, il se trouve actuellement détenu en Tunisie. Un mandat d'arrêt a été émis à son encontre par la justice française.
Trois accusés seulement (Ramzi Kevin Arefa, Chokri Chafroud et Mohamed Ghraieb) sont poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste. En état de récidive légale, le premier encourt la réclusion criminelle à perpétuité, les deux autres une peine de vingt ans de prison.
#AttentatdeNice #14juillet2016 #procès La salle d'audience se remplit. Très peu de parties civiles sont présentes pour l'instant. Sur les bancs : des journalistes et des avocats essentiellement. Les 3 accusés détenus sont arrivés dans le box. — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 11:30:15 +0000 2022
#AttentatdeNice #14juillet2016 Laurence est venue au procès avec sa fille Juliette.Laurence était sur la promenade des Anglais: “Le camion est arrivé, je ne pensais pas du tout que c’était un attentat. Je pensais que c’était quelqu’un qui avait perdu le contrôle de son véhicule.” https://t.co/H1Zm0tc4Kr — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 11:15:00 +0000 2022
COMBAT
Alors que le procès de l'attentat de Nice s'ouvre ce lundi à 13h30 devant la cour d'assises spéciale de Paris, la Première ministre Elisabeth Borne a apporté son soutien, sur Twitter, son soutien aux victimes et à leurs proches.
"La justice et l'état de droit doivent toujours l'emporter sur le terrorisme islamiste. Nous continuerons à la combattre de toutes nos forces", a écrit la cheffe du gouvernement.
Alors que s’ouvre le procès de l’attentat de Nice, mes pensées vont aux victimes et à leurs proches. Nous sommes et resterons avec eux. La justice et l'état de droit doivent toujours l'emporter sur le terrorisme islamiste. Nous continuerons à le combattre de toutes nos forces. — Élisabeth BORNE (@Elisabeth_Borne) September 5, 2022
HÉROS
Le 14 juillet 2016, Mohamed Lahouaiej Bouhlel fonçait dans la foule à Nice à bord de son camion. Deux hommes, sans autre arme que leurs mains, ont tenté de le stopper dans sa course folle.
#procès #AttentatdeNice #14juillet2016 Me Éric Morain, avocat https://t.co/P9gQEHFI0C — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 10:50:49 +0000 2022
#procès #AttentatdeNice #14juillet2016 Anne Murris, présidente de l’association Mémorial des Anges et maman de Camille Murris, 27 ans, décédée avant l’ouverture du procès: “il y a beaucoup de désarroi, de tristesse, de souffrance et aussi un sentiment de peur.” https://t.co/68nyJFrB57 — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 10:44:02 +0000 2022
4 MINUTES ET 17 SECONDES
Le 14 juillet 2016, près de 25.000 personnes étaient réunies sur la promenade des Anglais pour assister au feu d'artifice. À 22h33, un camion fou conduit par Mohamed Lahouaiej-Bouhlel fonçait dans la foule.
#procès #AttentatdeNice #14juillet2016 entrée des parties civiles, avocats et journalistes rue Harlay: à gauche pour le procès de l’attentat de #Nice , à droite pour le procès en appel des #attentatsJanvier2015 https://t.co/wYyZkvGIjw — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 10:09:08 +0000 2022
#procès #AttentatdeNice #14juillet2016 La brigade cynophile est là pour les contrôles. Et aujourd’hui c’est Mac qui est là https://t.co/FBOxqwhCrM — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 10:05:13 +0000 2022
#procès #AttentatdeNice #14juillet2016 contrairement au procès des #attentats13novembre le boulevard du Palais sur l’île de la Cité reste ouvert à la circulation avec un filtrage pour les piétons sur le trottoir côté palais de justice https://t.co/NqPBklmUVT — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 10:03:15 +0000 2022
Jour 1 : procès #AttentatDeNice survenu le 14/07/2016. Ce jour-là, 86 personnes ont été tuées (dont 15 mineurs), + 450 blessés. 8 accusés comparaissent devant la cour d’assises spéciale de Paris. Un nouveau procès terroriste hors-normes qui se terminera le 16/12. @LCI / @TF1Info https://t.co/ykMKCwFe10 — Raphaël MAILLOCHON (@Raph_journalist) Mon Sep 05 10:00:21 +0000 2022
#procès #AttentatdeNice Le #14juillet2016 contrairement au procès des #attentats13novembre le boulevard du Palais sur l’île de la Cité reste ouvert à la circulation avec un filtrage pour les piétons sur le trottoir côté palais de justice https://t.co/wDdZrBjBuz — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) Mon Sep 05 09:57:25 +0000 2022
RAPPEL DES FAITS
#procès #AttentatdeNice Le #14juillet2016 , en 4 minutes et 17 secondes, la ville de Nice a basculé dans l'horreur après qu'un camion fou a foncé dans la foule. 86 personnes sont décédées dont 15 enfants. Près de 500 autres ont été blessées. https://t.co/Fl9n83qMXS — Aurélie Sarrot (@aureliesarrot) September 5, 2022
PORTRAIT
Le 14 juillet 2016, un poids-lourd fonçait sur la foule sur la promenade des Anglais à Nice. Au volant du camion fou : Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, Tunisien de 31 ans, tué par la police. Retour sur son parcours.
PROFIL
L'attentat de Nice a fait 86 morts et des centaines de blessés. L'assaillant a été abattu sur place par les forces de l'ordre. Mais huit personnes seront jugées, notamment pour des infractions de droit commun.
HORS NORME
Le procès de l'attentat commis à Nice le 14 juillet 2016 s'ouvre lundi 5 septembre à Paris et doit durer jusqu'au 16 décembre. Près de 1000 personnes se sont constituées parties civiles. Comme celui des attentats de janvier et du 13 novembre 2015, il sera filmé pour l'Histoire.
Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré au procès de l'attentat de Nice. Il doit s'ouvrir ce lundi à 13h30. Retrouvez ici toutes les informations sur ce procès hors norme.
Trois mois d'émotion, de larmes et de douleur, trois mois pendant lesquels la cour d'assises spéciale de Paris va tenter de comprendre pourquoi, le 14 juillet 2016, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel a foncé, à bord de son camion de 19 tonnes, dans la foule venue regarder le traditionnel feu d'artifice sur la promenade des Anglais à Nice.
Un procès sans le principal responsable des faits, abattu le soir des faits par la police après 4 minutes et 17 secondes d'horreur. Un attentat qui a fait 86 morts, dont 15 enfants et près de 500 blessés, et pour lequel huit personnes, soupçonnées d'avoir apporté une aide à Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, sont jugées à partir de ce lundi. L'audience doit débuter à 13h30.
Aucun accusé poursuivi pour complicité d'assassinats
La première journée sera consacrée à l'interrogatoire d'identité des accusés et à l'actualisation des constitutions de partie civile. Elles étaient d'ores et déjà 865 avant le procès. Les premières paroles des accusés sont attendues mardi.
Trois d'entre eux - Ramzi Kevin Arefa, Chokri Chafroud et Artan Henaj - comparaissent détenus, dont un (Artan Henaj) dans le cadre d'une autre affaire. Quatre autres - Maksim Celaj, Endri Elezi, Mohamed Ghraieb et Enkeledja Zace - ont été placés sous contrôle judiciaire et se présenteront libres devant la cour. Le huitième, Brahim Tritrou, sera jugé en son absence après avoir rompu son contrôle judiciaire. Selon son avocate, il se trouve actuellement détenu en Tunisie. Un mandat d'arrêt a été émis à son encontre par la justice française.
Trois accusés seulement (Ramzi Kevin Arefa, Chokri Chafroud et Mohamed Ghraieb) sont poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste. En état de récidive légale, le premier encourt la réclusion criminelle à perpétuité, les deux autres une peine de vingt ans de prison. Pour l'accusation, ils auraient "apporté leur concours à la préparation" de l'attentat commis par Mohamed Lahouaiej-Bouhlel. Ce Tunisien de 31 ans, chauffeur-livreur au caractère instable, était davantage connu avant les faits pour des actes de violence, notamment contre son épouse, que pour sa proximité avec la mouvance djihadiste.
Aucun des accusés n'est poursuivi pour complicité d'assassinats ou tentative d'assassinats en bande organisée. L'enquête n'a pas permis de déterminer s'ils étaient au courant du projet d'attentat.
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