LE WE 20H

VIDÉO - Le GIGN face aux forcenés : au cœur d’une intervention

par La rédaction de TF1info | Reportage Florian Litzler, Anaïs Lebranchu, Antoine Santos
Publié le 19 novembre 2022 à 12h08, mis à jour le 19 novembre 2022 à 18h12
JT Perso
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Source : JT 20h WE

On évoque souvent le GIGN à l'occasion de prise d'otage, mais cette unité assure en moyenne huit missions par jour.
Une présence quotidienne sur le terrain, avec une expertise essentielle quand il s'agit de maîtriser les individus armés et dangereux.
Les équipes du 20h de TF1 ont suivi ces hommes et ses femmes pendant 24h.

Les équipes de TF1 ont suivi le GIGN pendant 24h, l'objectif : faire découvrir le quotidien de ces gendarmes pas comme les autres. Le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) est une unité de contre-terrorisme et de gestion de crise. Le GIGN intervient dans des situations extrêmes (libération d’otage, grand banditisme, traque) requérant des savoir-faire spécifiques.

La négociation, phase la plus critique

Nous sommes alors dans un petit village normand, la situation est tendue, les 23 membres du GIGN font face à un forcené. Le suspect s'est barricadé dans une agence immobilière, en plein centre-ville. L'unité sécurise d'abord les alentours, déploie ensuite des observateurs et des tireurs d'élite en hauteur, pour couvrir tous les accès. 

Les hommes sont en place, la phase la plus critique commence : la négociation. La GIGN tente toujours de négocier, pour préserver le maximum de vie, y compris celles des tireurs. La première approche se fait en douceur, sur un ton rassurant. Toutefois, le tireur ne se montre pas, cela fait cinq heures que l'intervention a commencé, les militaires n'ont plus le choix, ils rentrent dans le bâtiment. 

L'assaut est donné. À l'intérieur, ils découvrent que le suspect s'est suicidé. Il n'y a pas d'autres victimes, l'opération se termine. "Le GIGN est intervenu sur de nombreuses prises d'otage et sur de nombreux forcenés au cours de ces 50 ans d'existence", commente le Général Ghislain Réty, commandant du GIGN, dans le reportage du 20h en tête de l'article. 

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Le GIGN est appelé en moyenne une fois par semaine, pour interpeller les forcenés. C'est l'intervention la plus fréquente et l'une des plus dangereuses. Dès le lendemain, l'unité est de nouveau intervenue, face à un forcené. C'était la 64e fois depuis le début de l'année 2022.


La rédaction de TF1info | Reportage Florian Litzler, Anaïs Lebranchu, Antoine Santos

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