Le ministère de l'Intérieur veut développer les équipes présentes au quotidien sur le terrain.Parmi elles, les Pelotons de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG).Ces équipes sont formées à l'action, mais aussi à la prévention.
Il est 22 heures à la caserne de Palaiseau (Essonne). Les gendarmes du PSIG commencent à s'équiper, pour une mission qui va se prolonger jusqu'à quatre heures du matin. C'est à l'armurerie que l'on mesure l'étendue des missions du peloton, dont le reportage de TF1 en tête de cet article donne une idée. Des armes individuelles, dans chaque véhicule, des types d'armes de calibre militaire.
Un peloton récemment attaqué dans l'Allier
C'est l'heure du premier brief de la nuit pour six des gendarmes du Peloton de surveillance et d'intervention de la Gendarmerie, dont une femme de 25 ans. Présente à l'esprit de chacun, l'attaque dont des collègues de l'Allier ont récemment été la cible. Le quotidien du peloton : des interpellations difficiles, comme celle que l'on voit répéter à l'entraînement. Cette fois, il ne s'agit que d'un exercice : un individu est retranché avec son fusil, tandis que le peloton se déploie pour boucler l'immeuble. La colonne s'engage à l'intérieur du bâtiment pour tenter de maîtriser l'homme armé.
Nous retrouvons les gendarmes pour leur nuit d'intervention. Deux équipages en véhicules banalisés, la surveillance de voies publiques parfois, mais aussi les délits routiers. Au loin, le vrombissement d'un moteur de voiture. L'intervention suivante se déroule dans un parking de grande surface et nous poursuivons cette expérience avec eux.
Sur le
même thème
Tout
TF1 Info
- Vos vidéos à la Une
- Police, justice et faits diversColère et émoi après le suicide de Lindsay, harcelée à l'école
- InternationalGuerre en Ukraine : les attaques en Russie se multiplient
- Police, justice et faits diversMeurtre d'Iris dans le Morbihan
- SportsMohamed Haouas, international français de rugby, dans la tourmente judiciaire