ENQUÊTE - Un homme a été interpellé mardi 14 août après-midi, quatre jours après qu'une voiture a délibérément foncé sur les portes de la mosquée Al Wifaq de Mons-en-Baroeul samedi 11 août au soir. La police écarte tout motivation "raciste, xénophobe ou anti-islam". Le suspect, examiné par un médecin, va être hospitalisé en psychiatrie.
ENQUÊTE - Un homme a été interpellé mardi 14 août après-midi, quatre jours après qu'une voiture a délibérément foncé sur les portes de la mosquée Al Wifaq de Mons-en-Baroeul samedi 11 août au soir. La police écarte tout motivation "raciste, xénophobe ou anti-islam". Le suspect, examiné par un médecin, va être hospitalisé en psychiatrie.
"L’homme a été interpellé mardi après-midi alors qu'il circulait à vélo non loin de la mosquée à Mons-en-Baroeul", a indiqué une source policière à l'AFP. Il est suspecté d'avoir enfoncé les portes de l'édifice religieux au volant d'une voiture samedi 11 août autour de 23h45. Il tient des "propos incohérents" et "va être hospitalisé en psychiatrie", ajoute la source.
Exclusion de toute "motivation raciste, xénophobe ou anti-islam"
L'intrusion de la voiture a causé des dégâts matériels mais n'a pas fait de victimes -la mosquée était heureusement vide. Une enquête a été ouverte dès l'incident, et les policiers avaient identifié le suspect en fuite.
La source policière soutient que le motif du suspect n'était pas lié à une "motivation raciste, xénophobe ou anti-islam".