ANALYSE - La démission du chef d'état-major des armées, le général De Villiers, sur fond de désaccord budgétaire avec le Président, est-elle une crise grave ? Pour Jean-Pierre Maulny, spécialiste des questions de défense à l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), ces désaccords sont très fréquents, même si celui-ci était "mal engagé depuis le début".
ANALYSE - La démission du chef d'état-major des armées, le général De Villiers, sur fond de désaccord budgétaire avec le Président, est-elle une crise grave ? Pour Jean-Pierre Maulny, spécialiste des questions de défense à l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), ces désaccords sont très fréquents, même si celui-ci était "mal engagé depuis le début".
Pour la première fois sous la Cinquième République, le chef d'état-major des armées a démissionné. Le départ du général Pierre de Villiers, remplacé dans la foulée par le général François Lecointre, a interprété par de nombreux commentateurs comme une crise grave entre l'armée et l'exécutif. Contacté par LCI, le spécialiste des questions de défense Jean-Pierre Maulny estime pour sa part que "tout devrait rentrer dans l'ordre" assez vite, et "qu'il ne faut pas dramatiser" cette récente montée de tensions, pas si exceptionnelle.
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Matthieu JUBLIN
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