EN DIRECT - Présidentielle : Jean-Luc Mélenchon et Jean Lassalle invité du 20H de TF1

Publié le 7 avril 2022 à 7h50, mis à jour le 8 avril 2022 à 7h49

Interviews, instants de campagne sur le terrain avec nos journalistes politiques, sondages, analyses...
À trois jours du premier tour, suivez dans ce live toute l'actualité de ce jeudi 7 avril concernant l'élection présidentielle 2022.

Ce live est à présent terminé. 

Ce live est à présent terminé, vous pouvez retrouver les dernières informations du vendredi 8 avril sur l'élection présidentielle dans cet article.

"JE SERAI AU SECOND TOUR", RÉPÈTE ZEMMOUR


Eric Zemmour refuse de dire s'il appellerait à voter pour Marine Le Pen si elle se qualifiait au second tour face à Emmanuel Macron. "Moi, je serai au second tour", assure-t-il. "Je n’ai pas à me mettre dans un autre cas de figure. Mme Pécresse, elle, a déjà appelé à voter pour Emmanuel Macron au second tour en 2017, elle le refera."


"Si je suis au second tour, Eric Ciotti appellera à voter pour moi. Pareil pour François-Xavier Bellamy. Cela favorise des rapprochements aux législatives", argumente Eric Zemmour.

ZEMMOUR ASSURE QU'IL N'EST "PAS RADICAL"


"Moi, je ne suis pas radical", assure Eric Zemmour sur LCI, avant de brandir des chiffres. "67% des Français craignent le grand remplacement. Entre 55 et 65% des Français sont favorables à un ministère de la remigration. Les Français sont massivement d’accord avec moi."

ZEMMOUR NE CROIT PAS EN UNE VICTOIRE DE LE PEN


Interrogé sur la hausse de Marine Le Pen dans les sondages, Eric Zemmour juge le scénario d'une victoire de la candidate impossible. "Je le répète. En 2017, des sondages la donnaient gagnante au second tour. Nous sommes à nouveau dans une logique sondagière. Je suis au milieu, entre Marine Le Pen et Valérie Pécresse. Si je suis au second tour, des gens du RN, de LR appelleront à voter pour moi. Marine Le Pen, aucun LR n'appellera à voter pour elle. On ne fait pas une majorité entre nos deux électorats [celui de la candidate RN et celui d'Eric Zemmour, NDLR]. Il faut faire exploser LR pour avoir ce rassemblement."


"Je suis le seul à le vouloir et à le pouvoir. J'ai déjà commencé ce rassemblement", assure le candidat.


"Depuis le début, Marine Le Pen voulait adoucir son image. Elle a fait campagne non pas pour gagner, mais pour adoucir son image, pour faire des selfies avec des femmes voilées."

QUESTIONS RAPIDES 


Jean-Luc Mélenchon s'est dit contre la GPA et contre l'interdiction du voile à l'université. Face à sa photo de président dans la bibliothèque de l'Élysée, Jean-Luc Mélenchon a expliqué préférer une photo devant la mer, "parce que la mer, c'est l'avenir de l'humanité". 

LA POSITION NON-ALIGNÉE DE JEAN-LUC MÉLENCHON


Le leader de la France insoumise se distingue par une position à l'internationale particulière. Celui-ci défend effectivement une position non-alignée, "ce qui ne veut pas dire neutre". Jean-Luc Mélenchon a par ailleurs rappelé qu'il avait condamné la Russie dès le début de l'invasion et que face aux massacres de Boutcha et de Marioupol, il voyait mal Vladimir Poutine devenir un "interlocuteur crédible". 


Jean-Luc Mélenchon a par ailleurs rappelé que "la France est capable de se défendre toute seule", souhaitant avant tout être "autonome" et "construire de nouvelles alliances dans le monde".

UNE REFORME INSTITUTIONNELLE


Jean-Luc Mélenchon, sur le plateau de TF1, a expliqué ce qu'il souhaite mettre en place avec la VIe République, avec notamment la convocation d'une constituante. S'il souhaite une réforme du système politique en France, Jean-Luc Mélenchon n'est pas contre la fin de la fonction présidentielle. "C'est bien, ça incarne la Nation", reconnaît le candidat, tout en rappelant qu'il ne veut pas lui donner tous les pouvoirs afin que le peuple reste l'acteur principal en politique. De la même manière, il accepte de vivre au château de l'Élysée s'il est élu, même s'il assure que cela ne le "fait pas rêver".

JEAN LASSALLE SUR TF1


Le candidat Résistons! propose dans son programme de supprimer le découpage de la France en 13 régions administratives et de créer de nouveaux territoires, de nouvelles "provinces". "Aujourd'hui, une chatte ne retrouverait pas ses chatons. Je veux reconstruire une organisation du territoire qui permette à peu près de s'y retrouver. Je veux retrouver la commune, bien sûr elle ne fera pas tout, mais elle sera à nouveau empreinte de la clause de compétence générale et j'aurai ainsi les deux bouts de la chaîne historique de notre pays : l'État, la République et la commune."

JEAN-LUC MÉLENCHON, INVITE DE TF1


Pour sa première mesure symbolique, Jean-Luc Mélenchon rappelle que ce sera de célébrer le 77e anniversaire du droit de vote des femmes. "Une manière de donner une respiration", explique le candidat. 


Pour sa première mesure, il souhaite bloquer le prix des produits de nécessités, touché par l'inflation. Le candidat veut également lutter contre "la spéculation sur les céréales" qui mettrait en danger la sécurité alimentaire de toute la Méditerranée et notamment des pays du Maghreb. Le leader de la France insoumise souhaite négocier des prix sur les céréales pour ensuite se garantir des prix intéressants sur les hydrocarbures et "éviter la catastrophe".

PÉCRESSE RÉPOND A BORLOO


Valérie Pécresse répond à l'ancien ministre Jean-Louis Borloo, qui a annoncé hier son soutien à Emmanuel Macron. "C’est un paradoxe", juge la candidate LR. "Il est venu à la région Ile-de-France pour rédiger son Plan banlieues. Il confond 1er et 2nd tour. Je le dis aux Français : ne vous laissez pas voler le 1er tour. Au 1er tour on choisit, au second on élimine."


"Si je suis au second tour, je l'emporterai face à Emmanuel Macron, alors que Marine Le Pen perdra. Si je suis cette surprise du second tour, tout changera."


"Je dis aux Français de voter pour la droite de conviction, celle qui remettra le pays debout. Emmanuel Macron est un illusionniste qui ne fera pas ce qu’il dit", conclut la candidate. 

"J'ÉTAIS LA FEMME À ABATTRE", ASSURE PECRESSE SUR LCI


Valérie Pécresse est l'invitée de Ruth Elkrief sur LCI. "J’ai appris de cette campagne que j’étais la femme à abattre. Eric Zemmour et Marine Le Pen sont l’assurance réélection d’Emmanuel Macron. Il fallait m’abattre par tous les moyens. J’ai parlé avec mon cœur. Ce que je dis aux Français, c’est qu’il est important d’avoir une femme politique qui a le mental pour se redresser."


"Macron n’est pas à droite. Samedi dernier, il a cité Poutou, Hollande. Il dit à celui qu’il a en face ce qu’il veut entendre. La retraite à 65 ans ne sera pas sa priorité."


"Entre l’immobilisme et l’extrémisme, il y a un chemin", estime la candidate LR. "Je ne suis pas le père et la mère Noël", ajoute-t-elle, visant aussi les candidats d'extrême droite. "J’ai un programme bon pour la France, beaucoup plus puissant sur le régalien" que celui d'Emmanuel Macron, assure Valérie Pécresse. 


"On a un président du zigzag, cela mène à l’inaction."

UNE SOIRÉE, QUATRE CANDIDATS : MÉLENCHON, LASSALLE, PECRESSE, ZEMMOUR


À trois jours du premier tour, quatre candidats se succèdent ce soir sur TF1 et LCI pour défendre leurs propositions. 


"10 minutes pour convaincre", sur TF1, à 20h20 : Jean-Luc Mélenchon puis Jean Lassalle.


"Une semaine pour convaincre", sur LCI : 20h20 Valérie Pécresse ; 21h05 Eric Zemmour.


À suivre sur TF1, sur LCI (canal 26) et dans ce direct. 

L'EXTRÊME DROITE "AUX PORTES DU POUVOIR", SELON LA LICRA


Dans un communiqué, Mario Stasi, le président de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) estime qu'avec "plus de 33% des intentions de vote, l'extrême droite est aux portes du pouvoir". "Nous sommes confrontés depuis l'automne dernier au phénomène zemmourien dont le moins que l'on puisse dire est qu'il n'était pas une simple bulle médiatique ou sondagière", juge-t-il. 


Pour Mario Stasi, la "radicalité" d'Eric Zemmour "a permis à Marine Le Pen de policer son discours, sans modifier son logiciel. La convergence des formations de Zemmour et de Le Pen fait aujourd’hui craindre le pire, par le jeu du report des voix au second tour. Nous le savons, nous le redoutons. Mais si nous ne sursautons plus collectivement, d’où viendra le sursaut ?"


Le président de la Licra estime que "ce scénario devenu hautement probable, s'il devait advenir, ferait inexorablement vaciller la République", et appelle les électeurs à donner leur voix "à celles ou ceux qui défendent la République, sans équivoque, sans reniement ni renoncement". 

UNE CAMPAGNE LÉGISLATIVE EN PRÉPARATION 


Soutien d'Eric Zemmour, Marion Maréchal travaille déjà pour inscrire le parti Reconquête! aux législatives. Dans un entretien à Nice-matin, la petite-fille de Jean-Marie Le Pen et nièce de Marine Le Pen a appelé à une "grande coalition" de la droite, souhaitant rallier Eric Ciotti "et d'autres". 


Celui-ci, qui fait pour le moment campagne pour Valérie Pécresse au sein des Républicains, avait déjà dit qu'en cas de duel Emmanuel Macron-Eric Zemmour, il voterait pour le candidat d'extrême droite.


Cet appel à l'union des droites advient alors que la candidate du Rassemblement National est donnée par les sondages au second tour. Pour autant, Marion Maréchal ne regrette pas d'avoir choisi le camp d'Eric Zemmour, mettant en avant sa "capacité de construire un parti de gouvernement". 

LASSALLE SERA DE NOUVEAU CANDIDAT AUX LÉGISLATIVES


Jean Lassalle sera à nouveau candidat aux élections législatives des 12 et 19 juin, pour postuler à un cinquième mandat consécutif, a annoncé jeudi le député des Pyrénées-Atlantiques sur le plateau de Public Sénat. "Je vais vous dire les yeux dans les yeux : 'Je vais y aller'", a confié le candidat à la présidentielle, interrogé sur les prochaines échéances électorales.

LE GOUVERNEMENT S'ASSOCIE À SNAPCHAT POUR ENCOURAGER LES JEUNES À VOTER


Le gouvernement s'est associé au réseau social Snapchat pour "inciter les jeunes" à voter, à travers des applications fondées notamment sur la réalité augmentée, ont-ils annoncé ce jeudi dans un communiqué commun. Concrètement, des créateurs à forte audience feront "passer des messages" aux 24,2 millions d'utilisateurs actifs mensuels du réseau social en France pour encourager "les jeunes générations" à se déplacer aux urnes, et comprendre les enjeux du vote, alors que les sondeurs prédisent un niveau d'abstention élevé pour le scrutin.  


Outre la mise en place d'un "filtre" dédié à la procuration qui renvoie vers le site du gouvernement, Snapchat mettra ses autres fonctionnalités comme les "bitmojis" (petits personnages 3D, censés être à l'image de l'utilisateur, ndlr) aux couleurs de la France. Un compte à rebours, un message automatique de rappel ainsi qu'une urne électorale en réalité augmentée seront aussi déployés pour le second tour.

ROUSSEL VEUT SUPPRIMER LA CSG SUR LES RETRAITES DE MOINS DE 2000 EUROS


Ce matin sur BFMTV, le candidat communiste Fabien Roussel a dit vouloir supprimer la CSG pour "les retraites en dessous de 2 000 euros" net par mois. Ce sera "10 milliards d'euros que nous rendons aux retraités", a-t-il annoncé, financé par la lutte contre l'évasion fiscale puisque 10 milliards d'euros "c'est 10% de l'évasion fiscale", estime-t-il.

LE MAIRE ALERTE SUR LES CONSÉQUENCES D'UNE ÉLECTION DE LE PEN


"Je veux qu’on réalise une seconde ce que serait la vie en France sous Marine Le Pen", a alerté Bruno Le Maire sur franceinfo. "Ce serait d’abord moins de protection contre l’inflation, plus d’impôts, moins de production industrielle", a-t-il expliqué, listant la baisse de la TVA, l'achat des autoroutes, et le rétablissement d’un impôt sur le capital. Il estime également que Marine Le Pen au pouvoir ce serait "moins de souveraineté car nous serions les alliés de Vladimir Poutine".

CABINETS DE CONSEIL : LE MAIRE COMPREND LES CRITIQUES MAIS CONTESTE LEUR VIRULENCE


"Je comprends ceux qui disent est-ce que vous n’allez pas trop loin dans l’utilisation des cabinets de conseil", a reconnu le ministre de l'Economie Bruno Le Maire sur franceinfo. "On va vérifier s’il n’y a pas un moyen d’employer moins ces cabinets de conseil, (…) qu’il y ait un meilleur équilibre entre ce que peuvent apporter ces cabinets et ce que peut faire l’administration. En revanche la mauvaise foi des oppositions qui nous tombent dessus", y compris "de la part d’oppositions qui ont utilisé ces cabinets, la ficelle est un peu grosse", a-t-il ajouté.

POUR JADOT, L'ARGUMENT DU VOTE UTILE À GAUCHE A FAIT GRIMPER LE PEN


"Depuis que l’argument du vote utile est entré dans la campagne, jamais Marine Le Pen n’a été aussi haute", a déclaré Yannick Jadot sur France Inter. "Aucun sondage ne donne Jean-Luc Mélenchon au second tour", a ajouté l'écologiste. "Ce n’est pas moi qui ait un projet proche de Marine Le Pen sur l’avenir de l’Union européenne. (...) Ca a construit quoi le vote Mélenchon en 5 ans ? Le vote écolo ça a construit l’agenda européen sur le climat, des villes gérées par les écologistes. C’est un vote efficace."

PÉCRESSE APPELLE À "UN CHOC DE POUVOIR D'ACHAT"


Sur CNews, Valérie Pécresse a appelé à "un choc de pouvoir d'achat tous azimuts". Celle qui propose une augmentation des salaires de 10% promet une hausse de 3% dès cet été, prise en charge par l'Etat. Elle a également mis en avant sa proposition d'allocations familiales dès le premier enfant quel que soit le niveau de revenu, et une ristourne de 25 centimes sur le prix du litre d'essence.

NICOLAS DUPONT-AIGNAN CROIT AU SECOND TOUR


Nicolas Dupont-Aignan, crédité d'environ 2% des intentions de vote, refuse de se projeter sur une défaite au premier tour. "Vous n'en savez rien. Quel mépris. À ce moment-là, on arrête la démocratie", déclare-t-il sur LCI. "Laissez les Français choisir. Donnez-moi le maximum de voix si vous voulez préserver vos libertés."


Concernant le second tour, il indique ne pas savoir qui il soutiendra s'il est absent, mais assure qu'il "ne regrette pas" d'avoir soutenu Marine Le Pen en 2017.

HIDALGO FERA BARRAGE À LE PEN


"J’appellerai de toute façon à faire barrage à l’extrême droite. C’est ma boussole et je le ferai", a assuré la candidate socialiste sur France 2.

HIDALGO : "VOTEZ POUR VOS CONVICTIONS"


Sur France 2, Anne Hidalgo a appelé les électeurs de gauche à ne pas choisir Emmanuel Macron ou Jean-Luc Mélenchon dimanche prochain. "Pour les Françaises et Français qui se sentent encore proches de la gauche, de ces idées de générosité, fraternité, solidarité, je leur dis Emmanuel Macron n’est plus une option. Il est de droite", a expliqué la maire de Paris. "Et de l’autre côté vous avez Jean-Luc Mélenchon, qui incarne cette protestation permanente (...). Sur la question européenne et de la République, c’est une impasse." "Si vous êtes européen, républicain, laïc, écologiste et social, vous votez Anne Hidalgo, vous ne votez pas Jean-Luc Mélenchon. Et votez pour vos convictions, car vous vous faites laver le cerveau par des gens qui vous expliquent que c’est le vote utile qui va faire l’élection."

DUPONT-AIGNAN : "MACRON EST UN PETIT BONHOMME"


Après avoir qualifié Emmanuel Macron de "petit dictateur" au cours d'un meeting, Nicolas Dupont-Aignan "ne retire pas" ses propos, mais ne réitère pas. "C'est un petit bonhomme, un homme qui ne respecte pas le débat", préfère-t-il déclarer. "S'il était réélu, il serait beaucoup plus dangereux. Il ne veut même pas répondre aux journalistes sur son bilan."

LE PROJET DE NICOLAS DUPONT-AIGNAN POUR L'EUROPE


"Je considère que l’on ne peut pas contrôler l’immigration si on ne contrôle pas nos frontières ou relocaliser un million d’emplois si on obéit à Bruxelles", indique Nicolas Dupont-Aignan sur LCI. S'il est élu, le candidat Debout le France envisage de signer un traité pour "redéfinir l'Europe". Si les autres pays ne le veulent pas, "nous irons au référendum pour s'en aller". "Nous ne pouvons pas résoudre nos problèmes si nous ne retrouvons pas nos libertés", poursuit-il.

LE PEN A UNE LISTE DE PERSONNE AVEC QUI GOUVERNER, Y COMPRIS DE GAUCHE


 "Je vais gouverner dans le cadre d’un gouvernement d’union nationale", a déclaré Marine Le Pen sur RTL ce jeudi. "D'abord avec des gens avec qui je travaille et qui ont contribué à constituer le très beau projet que j'ai présenté aux Français", puis avec des "gens qui me rejoindront" issus de tous les horizons politiques, même de “la gauche chevènementiste", a-t-elle ajouté.  "Mon problème sera de choisir plutôt que de trouver."

ÉCONOMIE : LE PEN DÉFEND SON PROGRAMME 


Sur RTL, Marine Le Pen a réfuté l'idée selon laquelle son élection le 24 avril prochain provoquerait une panique boursière et une fuite des capitaux. "Le catastrophisme qui consiste à dire si Emmanuel Macron n'est pas réélu ça sera un drame, ça ne fonctionne plus." Elle estime avoir un projet qui défend les TPE-PME, "qui rend leur argent aux Français" et de faire "baisser leurs dépenses contraintes".

"LES JEUX NE SONT PAS FAITS", ASSURE NICOLAS DUPONT-AIGNAN


"20 millions de Français n'ont pas décidé" pour qui ils allaient voter, assure Nicolas Dupont-Aignan, candidat Debout la France, sur LCI. "Il n'y a jamais eu autant d'indécis. Il est complètement faux de dire que les jeux sont faits. Les sondages ne valent rien, une élection n'est jamais jouée d’avance."

N. DUPONT-AIGNAN INVITÉ DE LCI


Le candidat de Debout la France à la présidentielle est l'invité de LCI, ce jeudi matin.

Bonjour à tous. Suivez ici les dernières informations sur l'élection présidentielle, à trois jours du premier tour.

Dernière ligne droite pour la course à l'Élysée. À seulement trois jours du scrutin, les écarts se resserrent entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, au profit de la candidate RN qui ne cesse de renforcer son socle électoral dans les intentions de vote. Autre dynamique notable, celle de Jean-Luc Mélenchon, qui s'offre une confortable 3e place et laisse espérer à ses sympathisants une qualification de la gauche pour le second tour. 

Ce jeudi 7 avril, Nicolas Dupont-Aignan est l'invité de LCI à 8h30. Eric Zemmour et Valérie Pécresse seront sur notre antenne à 20h45 et 21h15. En outre, Jean-Luc Mélenchon puis Jean Lassalle seront les invités de "10 minutes pour convaincre", à partir de 20h20 sur TF1. 

Pour les candidats, ce sont les dernières heures de campagne avant le silence total imposé à compter de minuit, dans la nuit de vendredi à samedi. L'heure de tout jeter dans la bataille. Suivez avec nous ces derniers instants de campagne avant le premier tour, ce dimanche 10 avril 2022.


La rédaction de TF1info

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