ÉLECTION - Quel avenir pour le PS, moins d'un an après ses déroutes électorales du printemps ? Quatre candidats sont en lice pour mener la reconstruction du parti socialiste. Bilan du quinquennat Hollande, opposition à Macron... Ils ont débattu en direct sur LCI, Le Figaro et RTL.
BONSOIR
Ce live est maintenant terminé. Merci de l'avoir suivi ! Retrouvez toutes les séquences à retenir sur LCI.fr
DEBAT
Rachid Temal, coordinateur du PS, à LCI : "Je suis content qu'on ait pu organiser ce débat. C'est une bonne chose pour le parti et pour la gauche"
"Ils ont tous réussi. Quand on est militant socialiste, on est fier d'avoir quatre camarades qui ont pu relever le drapeau du PS"
MAUREL
VIDEO - La conclusion d'Emmanuel Maurel
FAURE
VIDEO - La conclusion d'Olivier Faure
CARVOUNAS
VIDEO - La conclusion de Luc Carvounas
LE FOLL
VIDEO - La conclusion de Stéphane Le Foll
IMMIGRATION
VIDEO - Pour Stéphane Le Foll, il y a une différence entre la politique migratoire du gouvernement actuel et celle du quinquennat Hollande
MAUREL
VIDEO - "Simple, basique..." : Quand Emmanuel Maurel cite du Orelsan
CARVOUNAS
VIDEO - En cas de second tour aux législatives, Luc Carvounas soutiendrait plutôt le candidat de La France insoumise que celui d'En Marche
CONCLUSION
Olivier Faure : "Je ne peux pas me résoudre à la disparition du PS. Sans lui il n'y aura pas d'alternance possible à gauche. Je peux ouvrir le chemin car je suis celui qui conduit le rassemblement"
Stéphane Le Foll : "Ce débat a montré des divergences. Il faut une majorité qui soit cohérente et qui permette à notre parti d'être présent dans le débat public. Il faut que les militants se saisissent de ce débat"
Emmanuel Maurel : "Le PS, je le connais bien. Je connais nos défauts, mais aussi nos atouts. Un réseau d'élus locaux, des militants aguerris, impliqués. Cela sera un formidable pied d'appel pour rebondir. Il faut se rappeler d'où l'on vient"
Luc Carvounas : "Quatre responsables ont témoigné de leur amour de leur parti, de la France. Je suis prêt, je défends une ligne politique de gauche. Je veux une gauche arc-en-ciel, vivante, qui soit celle de la révolution féministe et écologiste"
Le débat entre les quatre candidats est maintenant terminé.
ELECTIONS EUROPEENNES
Emmanuel Maurel : "Il faut un choix au sein du bloc pro-européen. Ce qui nourrit les populistes est l'indifférenciation entre droite et gauche. Il faut projet contre projet. Je veux un débat fracassant avec la droite sur la question européenne"
Stéphane Le Foll : "Il faut réaffirmer le projet européen. Le populisme monte avec les questions migratoires. Si l'on veut créer une Europe qui change, il faut recréer un internationalisme sur des enjeux précis"
IMMIGRATION
Stéphane Le Foll : "Je préfère cent fois la politique conduite sous Manuel Valls et Bernard Cazeneuve à la politique actuelle. Nous avons un basculement politique"
Emmanuel Maurel : "Il y a une crise migratoire sans précédent. L'immense majorité des migrants sont au sud. Certains, au péril de leur vie, traversent la Méditerranée pour venir en Europe. Les Etats comme la Hongrie ont refusé toute solidarité. J'ai eu mal à l'Europe"
Luc Carvounas : "Cette question me touche extrêmement, elle parle à la deuxième génération que je suis. Nous avons un devoir d'universalisme et d'accueil. Il faut avoir le courage de régulariser, de mener entre Etats une vraie politique"
Olivier Faure : "Les grandes migrations sont toujours liées au climat ou à la guerre. Cette question va continuer à nous obséder. Nous demandons un traitement humain. Le règlement Dublin est absurde. Il faut certainement ouvrir un nouveau droit pour les gens en détresse humanitaire".
ECOLOGIE
Stéphane Le Foll : "Je proposerai un forum de deux ans pour discuter des enjeux de l'écologie"
Luc Carvounas : "Nous devons parler d'écologie à tous les étages. Je dénonce l'extrême hypocrisie d'Emmanuel Macron qui nous parle d'écologie et nous fait souscrire au CETA"
Olivier Faure : "Il y a des sujets sur lequel nous pouvons être d'accords avec Nicolas Hulot. Mais il reste une question : le lien entre les questions sociales et environnementales. Dans certains quartiers, on cumule les handicaps"
Emmanuel Macron : "Il faut 20 ou 25 ans pour sortir du nucléaire. Il faut que les socialistes mènent une campagne d'opinion avec leurs alliés écologistes, que les industries soient préparées. Avec la transaction écologique, on a un vrai chantier de développement. Il faut investir massivement dans l'environnement, produire et consommer différemment".
MELENCHON
Jean-Luc Mélenchon s'invite dans le débat et interpelle les candidats
CARVOUNAS
VIDEO - Quand Luc Carvounas dénonce la "synthèse molle" de Stéphane Le Foll et d'Olivier Faure
LE FOLL-MAUREL
VIDEO - Le Foll et Maurel en désaccord sur le rôle d'opposants à Macron
LE FOLL
VIDEO - Stéphane Le Foll défend la politique économique de François Hollande
SNCF
Luc Carvounas : "Il s'agit du patrimoine national. Emmanuel Macron veut privatiser la SNCF pour faire porter la dette sur les usagers. C'est encore un clin d'oeil à la commission de Bruxelles"
Stéphane Le Foll : "Nous ne sommes pas d'accord avec ce changement de statut de la SNCF"
Olivier Faure : "On est dans une grande hypocrisie. Le gouvernement veut transférer aux régions la responsabilité des petites lignes SNCF. On a transféré aux régions les mauvaises nouvelles"
Emmanuel Maurel : "Ce n'est pas le statut des cheminots qui crée la dette de la SNCF, ce n'est pas le problème. Cette façon d'opposer les salariés les uns aux autres est insupportable"
VOTRE AVIS
LOI TRAVAIL
Stéphane Le Foll : "Il faut rappeler que dans la loi El Khomri, il y avait le compte pénibilité"
Emmanuel Maurel : "Oui, le compte pénibilité était une bonne chose. Mais il n'y avait pas seulement ça. On n'a jamais eu autant de licenciements économiques, et le problème, c'est que cela soit venu de la gauche".
FISCALITE
Emmanuel Maurel : "Emmanuel Macron nous lance un défi idéologique, c'est le libéralisme intégral. Nous devons lui répondre sur la solidarité. Jamais les messages socialistes n'ont été autant d'actualité. Le pouvoir d'achat est une façon intelligente de relancer l'économie en France"
Luc Carvounas : "A part l'industrie du luxe, pharmaceutique, et l'armement, on voit peu d'industries nouvelles fleurir en France. Nous sommes absents sur les nouvelles technologies, l'émergence du capitalisme numérique"
Stéphane Le Foll : "Pendant le quinquennat de François Hollande, le capital et le travail était imposés au même niveau, à 45%. Emmanuel Macron a ramené l'imposition du capital à 35%. Je veux que l'on revienne sur ces mesures fiscales. Cela a enrichi ceux qui ont beaucoup de capital"
Olivier Faure : "Comment accepter que des gens modestes voient que des mesures comme la flat tax soient prises ?"
Emmanuel Maurel : "Le pouvoir en place n'est pas assez vigilant sur le phénomène massif qu'est l'évasion fiscale. Je mène le combat au niveau européen. Les Américains le font, les Européens tardent à le faire".
MAUREL
VIDEO - "Rien de ce qui est de gauche ne nous est étranger"
POUVOIR D'ACHAT
Luc Carvounas : "Nous nous sommes écartés des classes populaires. Il faut que le PS redevienne le parti des causes"
Emmanuel Maurel : "J'assume la générosité. Nous avons suivi la politique de l'offre, avec des mesures sur le coût du travail, au lieu de s'attacher à la question centrale du pouvoir d'achat. C'est simple, le socialisme doit répondre aux questions sociales. Nous devons améliorer les conditions de vie des plus modestes : cela passe par l'augmentation du Smic, et la révision de l'échelle des salaires"
Stéphane Le Foll : "Ce qu'Emmanuel Maurel ne veut pas imaginer, c'est [qu'au pouvoir] on assume les responsabilités d'un grand pays. Quand les entreprises fermaient, nous avons dû trouver des solutions pour redonner des marges".
Olivier Faure : "Emmanuel Macron a donné 30 milliards, non pas aux entreprises mais aux actionnaires. Nous, nous avons choisi de relancer la croissance. La reprise économique actuelle vient de quelque part, elle vient de la politique que nous avons conduite"
Luc Carvounas : "Nous sommes ici pour faire un travail d'inventaire. Nos militants nous le demandent. La réalité, c'est qu'on a donné 40 milliards aux entreprises sans demander de contrepartie". "En même temps, on a demandé 11 milliards d'euros d'économies aux collectivités locales"
SPIDERMAN
LES ROUTES A 80KM/H
Emmanuel Maurel est favorable. Olivier Faure est pour "une expérimentation en fonction des routes". Stéphane Le Foll estime que "c'est une décision générale qui doit s'appliquer partout" alors qu'il aurait fallu sélection des axes les plus dangereux. Pour Luc Carvounas, "c'est une mesure injuste, prise par un président des riches et des métropoles".
EGALITE HOMMES-FEMMES
VIDEO - Les positions des candidats sur l'égalité h-f
MACRON
VIDEO - Emmanuel Maurel à propos d'Emmanuel Macron : "Nous avons créé un monstre"
CARVOUNAS
VIDEO - "Cela fait un an que je ne parle plus à Manuel Valls"... Le coup de gueule de Luc Carvounas
PARLER A MELENCHON ?
Emmanuel Maurel : "Rien de ce qui est de gauche m'est étranger. Tous ceux qui sont pour défendre les services publics, pour le pouvoir d'achat, ils sont avec nous. Le 22 mars, il y a une manifestation, j'espère qu'il y aura tout le monde".
Stéphane Le Foll : "En politique, il faut créer les conditions de l'alliance. Si on commence à dire qu'on veut s'allier à tout le monde dans une situation où nous ne sommes pas le parti qui rassemble, il se passera ce qu'il s'est passé avec Benoît Hamon. Pour rassembler, il faut avoir retrouvé une ligne et une identité politique. Il faut avoir repris un leadership au coeur de la gauche. On n'est pas là seulement pour aller manifester"
Luc Carvounas : "Il faut s'ouvrir à la société civile. Si demain il y a un candidat LREM face à La France insoumise au second tour d'une législative, je vote [pour celle-ci]"
Olivier Faure : "C'est Jean-Luc Mélenchon qui ne veut pas s'allier à nous, qui veut nous remplacer. Nous, nous devons à nouveau affirmer ce que nous sommes". "Quand nous nous écroulons, c'est toute la gauche qui s'effondre"
OPPOSITION
Olivier Faure qualifié de partisan de la "synthèse molle" par Luc Carvounas : "Cette attitude qui consiste non à tout ne mène à rien. Nous ne sommes pas pavloviens".
MACRON
FAURE
MAUREL
CARVOUNAS
VIDEO - LE FOLL
OPPOSITION A MACRON
Emmanuel Maurel : "Evidemment, il faut une opposition frontale. Emmanuel Macron s'attaque à la fois à notre service public et à notre modèle social. Il est et de droite, et de droite. C'est un idéologue. Je pense qu'il n'a jamais été de gauche, sauf peut-être quand il était lycéen et qu'il faisait du théâtre, ça l'ouvrait aux autres". "Il ne faut pas oublier que c'est notre créature, Emmanuel Macron."
Olivier Faure : "Nous sommes le parti à l'origine de toutes les conquêtes sociales. Si le nouveau monde est celui où les précaires deviennent plus précaires, je n'en suis pas"
Stéphane Le Foll : "Le groupe Nouvelle Gauche a voté contre le budget, il est donc dans l'opposition. Il y a des injustices. Quand les retraités perdent 15, 60 euros par mois, quand on donne autour de 50 milliards aux plus riches, nous sommes résolument dans l'opposition. Pas une opposition frontale, systématique, mais résolue"
Luc Carvounas : "Moi je suis dans l'opposition, je n'ai pas besoin d'ajouter un adjectif"
BILAN DE F HOLLANDE
Stéphane Le Foll : "Si on veut relever le PS, il ne faut pas seulement mener des débats sur la façon dont on est arrivé là. Le passé, n'a-t-il pas été purgé avec ce qu'il s'est passé aux élections ?"
Emmanuel Maurel : "Nous avons été sanctionnés parce que nous avons déçu. François Hollande avait suscité un espoir. Quand nous parlons avec les gens, ils nous en veulent de ne pas avoir essayé. Finir le quinquennat avec le 49-3 c'était une faute politique"
Luc Carvounas : "J'en ai un peu marre qu'on me ramène" [à la fidélité passée à Manuel Valls]. "Bien sûr qu'il faut un devoir d'inventaire, mais tout n'est pas à jeter"
Olivier Faure : "J'ai été loyal à ma majorité. Mais dans ce quinquennat j'ai aussi été celui qui a donné l'alerte : je l'ai fait par exemple sur la déchéance de nationalité. Sur la loi travail, j'ai cherché un compromis avec l'ensemble de la majorité, je l'avais trouvé. Le Premier ministre de l'époque m'a dit que ce n'était pas un compromis mais une compromission. A chaque fois j'ai cherché des solutions qui nous emmenaient vers le haut"
SOSIE (BIS)
EGALITE
EGALITE H-F
Olivier Faure : "Je suis pour la parité réelle, avec des femmes qui puissent assumer les reponsabilités à égalité avec les hommes".
Emmanuel Maurel : "Je me suis engagé sur la parité dans tous les organes du PS. Je propose que le PS soit dirigé en binôme. Il faut tout de même en être fier : c'est le PS qui a imposé la parité"
Luc Carvounas : "Dans ma ville, j'ai déjà introduit les questions de parité dans mon conseil municipal". "Le harcèlement est un sujet qui doit nous alerter. Ce grand mouvement qui se poursuit depuis des mois doit s'accélérer"
Stéphane Le Foll : "Le PS a été le premier à imposer des candidatures de femmes en 1996. Dans les instances du PS, il faut la parité. La lutte contre les violences faites aux femmes est une priorité. Le PS doit s'associer avec des associations pour avoir un travail permettant aux femmes agressées de le dire tout de suite"
POINTS DE VUE
MAUREL
Emmanuel Maurel : "Je suis candidat parce que je propose un autre chemin pour le PS et pour la gauche. Il y a 5 ans, les socialistes avaient tous les leviers de pouvoir pour changer les choses. Cinq ans après nous fleurtons avec la marginalité électorale"
"Je propose de tourner la page d'un quinquennat éprouvant, d'un parti coupé du reste de la société. Je plaide pour un socialisme décomplexé, républicain, écologiste, antilibéral, qui sait pour qui il se bat. Il faut renouer avec des fondamentaux : le partage des richesses et des pouvoirs"
FAURE
Olivier Faure : "Je suis candidat à la renaissance du PS. Nous avons fait 6% des voix à la présidentielle. Nous devons nous remettre en question de manière radicale"
"Nous devons changer en faisant confiance à de nouveaux visages, en ayant une autre manière de nous opposer, en proposant. Il y a bien une gauche radicale, mais qui n'est pas de gouvernement. Les Français ont besoin d'une gauche qui agit"
LE FOLL
Stéphane Le Foll est le second à parler : "Mon engagement politique a été fait de convictions socialistes, social-démocrates"
"Ce congrès est un moment décisif pour la gauche, mais aussi pour toute la France. Nous devons donner une majorité qui puisse diriger"
"Je veux être une voix qui puisse porter dans le débat public"
"L'unité doit se faire sur une ligne politique"
CARVOUNAS
Luc Carvounas se présente : "Je crois au clivage gauche-droite, je veux que la gauche dirige la France"
"Emmanuel Macron réserve le progrès à quelques uns. Si nous le PS ne parlons pas de rassemblement, qui le fera ?"
CARVOUNAS
SUSPENSE
LCI
TOP DEPART
Le débat du PS commence dans quelques secondes...
SOSIE
Ils sont quatre. Quatre hommes, quatre parlementaires, trois députés et un eurodéputé, à se disputer le poste de Premier secrétaire, et qui se rencontrent, mercredi 7 mars, dès 21h, sur LCI, Le Figaro et RTL. Au coeur des échanges, pour l'essentiel : le futur du PS, le rôle qu'il doit remplir, entre une majorité macronienne qui a trusté les voix du centre-gauche et une opposition insoumise qui lui a chipé le rôle de premier opposant à gauche.
Pas une mince affaire, alors que le PS sort tout juste de deux rendez-vous électoraux particulièrement éprouvants, avec des scores historiquement faibles, aux législatives comme à la présidentielle. Qui, de l'ex-frondeur Emmanuel Maurel, du dernier des Hollandais Stéphane Le Foll, de l'ex-vallsiste Luc Carvounas ou du patron des députés Nouvelle Gauche Olivier Faure, l'emportera le 29 mars ? Avant de le savoir, les quatre candidats vont d'abord débattre. Des échanges que vous pouvez suivre en direct commenté et en live vidéo sur notre site.
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