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EN DIRECT - Élections législatives : 6293 candidats sur la ligne de départs, moins qu'il y a cinq ans

Publié le 23 mai 2022 à 7h30, mis à jour le 24 mai 2022 à 7h32
JT Perso
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Les candidats aux législatives sont 6293 pour le premier tour du 12 juin, un nombre en recul de 20% par rapport à 2017.
Cela représente près de 11 candidats en moyenne par circonscription.
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6293 CANDIDATS AUX LÉGISLATIVES


C'est moins qu'en 2017. Selon les chiffres publiés par le ministère de l'Intérieur, ils seront 6293 candidats sur la ligne de départ du premier tour des élections législatives, le 12 juin prochain. Cela représente près de 11 candidats en moyenne par circonscription


 Lors des dernières élections, 7882 candidats s'étaient présentés, dont plus de 42 % de femmes. C'était 1300 candidats de plus que cinq ans auparavant (+19,7 %). Cette fois-ci, quelque 55,8 % sont des hommes (3514 candidats) et 44,2 % des femmes (2779 candidates).


Les candidats avaient jusqu'à vendredi soir pour se déclarer en préfecture. La campagne officielle démarre le 30 mai.

DAMIEN ABAD SE DÉFEND A NOUVEAU


Le ministre, revenu dans le département de l'Ain dont il est un des députés, réitère sa défense quant aux accusations de viols qui le visent. "Je conteste ces accusations avec la plus grande des fermetés. Toutes les relations sexuelles que j'ai pu avoir dans ma vie ont toujours été mutuellement consenties", assure Damien Abad. "Je le répète avec fermeté : je n'ai jamais violé une femme de ma vie.  

Interrogé sur une mise à l'écart spontanée du gouvernement, il répond : "Un homme innocent doit-il démissionner ? Je ne crois pas." Damien Abad dit vouloir se concentrer sur "[sa mission de ministre, un ministre qui souhaite être sur le terrain au plus près de la vie quotidienne des Français (...) et je suis aussi pleinement engagé dans ma campagne dans ma circonscription de l'Ain". 

UN GOUVERNEMENT QUI PRÉFIGURE CELUI QUI SERA EN ACTION APRÈS LES LÉGISLATIVES


Olivia Grégoire a redit la règle qui va s'imposer aux 14 ministres, soit plus de la moitié, qui se présentent aux prochaines législatives. S'ils perdent, ils devront démissionner du gouvernement. Une règle qui s'appliquera aussi à la Première ministre. 


Olivia Grégoire a par ailleurs assuré que le gouvernement serait complété après les législatives "avec de nouvelles personnalités", notamment pour ce qui est des domaines des transports ou du logement, deux domaines qui sont pour le moment dans le périmètre de la ministre de la Transition écologique, Amélie de Montchalin.

UNE NOUVELLE MÉTHODE DE GOUVERNEMENT


La porte-parole Olivia Grégoire a assuré que dans les prochaines semaines, une nouvelle méthode de gouvernement. "Elle vise à associer les partis prenantes, celles et ceux qui sont les acteurs pour écouter, pour intégrer les remarques, les propositions sur les défis de l'école, de la santé et de l'écologie", a-t-elle commencé à expliquer, ajoutant qu'Elisabeth Borne aurait l'occasion d'en dire plus dans les prochaines semaines.

OLIVIA GRÉGOIRE À PROPOS DE DAMIEN ABAD


"La ligne du président de la république et les propos de la première ministre ont été très clairs. Tolérance zéro pour les délinquants sexuels, respect, écoute totale pour toutes les victimes présumées. La question des violences sexuelles continuera à être hissée au sommet des priorités du gouvernement", a certifié Olivia Grégoire, en réponse à une question à propos des accusations de viol portées à l'encontre de Damien Abad.


Pour autant, elle a rappelé que c'était à la justice d'établir la vérité. "Ça n'est pas à moi et ce n'est pas à vous, de juger de cette affaire", a-t-elle souligné aux journalistes présents à la conférence de presse, "à ma connaissance, aucune autre procédure est en cours". Selon elle, la Première ministre a eu un entretien avec Damien Abad dimanche soir, après son déplacement. Elle lui a rappelé son engagement personnel sur cette question et a assuré qu'elle suivrait les décisions de justice qui seront rendues.


Pour le deuxième signalement, Olivia Grégoire a expliqué que cela relevait du parquet. Selon elle, aucun ministre et membres du gouvernement n'était au courant de ces plaintes.

DES MESURES POUR LE POUVOIR D'ACHAT


Olivia Grégoire a détaillé les différentes mesures qui seront inclues dans le projet de loi sur le pouvoir d'achat, expliquant que l'objectif était de "baisser les dépenses contraintes" des Français, en agissant notamment sur les prix de l'alimentation ou des transports. Cela se fera avec une "ristourne prévue sur le carburant". En parallèle, le gouvernement continuera à inciter les entreprises à augmenter les revenus des salariés, va augmenter les petites retraites, va relever le point d'indice de la fonction publique et les indépendants seront soulagés par une nouvelle baisse de leurs cotisations. 

UN GOUVERNEMENT RENOUVELÉ


Olivia Grégoire revient sur les propos d'introduction du Président de la République du Conseil des ministres, assurant que ce gouvernement était un "gouvernement renouvelé". La moitié du gouvernement est composé de nouvelles femmes et de nouveaux hommes, qui ont été nommés pour la première fois. 


"Le gouvernement est au travail", a assuré Olivia Grégoire. Elle a exposé les priorités fixées par le président : l'éducation, la santé et l'écologie. Elle a surtout parlé du pouvoir d'achat, "urgence" pour le Président de la République. Elle a annoncé qu'un premier projet de loi devrait être adopté sur ce point en conseil des ministres, ne sachant pas encore s'il serait présenté avant ou après le premier tour des élections législatives, afin que le texte soit ensuite présenté à l'Assemblée dès qu'elle sera élue. 

SORTIE DE CONSEIL DES MINISTRES : PREMIER POINT PRESSE


Olivia Grégoire, nouvelle porte-parole du gouvernement, commence la conférence de presse à l'issue du Conseil des ministres. "Il s'agira pour moi d'expliquer la politique qui est menée par le gouvernement sans faire l'économie de sa complexité", annonce-t-elle, en remerciant le Président de la République de l'avoir nommé à ce poste.

DAMIEN ABAD CONTESTE LES ACCUSATIONS


En sortie d'un premier Conseil des ministres plutôt court, le nouveau ministre des Solidarités, Damien Abad, a été interpellé sur les accusations de viols portées contre lui par deux femmes. "Bien sûr, bien sûr", a-t-il répondu alors qu'il était interrogé sur sa contestation des accusations, en montant dans sa voiture.

Damien Abad conteste les accusations en sortie de conseil des ministresSource : TF1 Info

DES MINISTRES FACE AU DÉFI DES LÉGISLATIVES


Alors que le Conseil des ministres a débuté ce lundi, réunissant pour la première fois le gouvernement Borne au complet, celui-ci pourrait être remanié prochainement. Nommés à trois semaines des législatives, certains ministres pourraient voir perdre leur poste en cas de défaite durant ce scrutin. 14 ministres sont actuellement en lice, sur 28.

LE NOUVEAU GOUVERNEMENT ENTRE EN EXERCICE ALORS QUE LA PÉRIODE DE RÉSERVE COMMENCE


À compter de ce lundi 23 mai, le gouvernement entre dans la "période de réserve" avant les élections législatives des 12 et 19 juin. Pour les ministres du gouvernement Borne, s'épancher sur les sujets politiques ne sera donc plus possible dans les prochaines semaines.

LES PETITS PARTIS SOUVERAINISTES ONT INVESTI 400 CANDIDATS AUX LÉGISLATIVES


Le mouvement des Patriotes, de Florian Philippot, a présenté dans un communiqué publié ce lundi la nouvelle 'Union pour la France', qui regroupe trois petits partis souverainistes : Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan, les Patriotes et Génération Frexit.


"L’alliance Les Patriotes, DLF et GF, dénommée 'Union pour la France', soutiendra environ 400 candidatures, permettant à l’immense majorité des Français de pouvoir voter pour des candidats souverainistes aux prochaines élections législatives", a indiqué le communiqué. 


Les trois formations avaient conclu en avril un accord pour en présenter 500. Les Patriotes présenteront 209 candidats, DLF 185 "à ce jour" selon un porte-parole et Génération Frexit 10. Les candidatures rattachées à cette alliance sont "officiellement étiquetées DSV (Droite souverainiste) par le ministère de l’Intérieur", précisent les Patriotes.

"UN GOUVERNEMENT POUR AGIR"

À l'ouverture du premier Conseil des ministres du gouvernement Borne, Emmanuel Macron a pris la parole, rappelant avoir nommé "un gouvernement pour agir". "C'est un gouvernement de continuité et de nouveauté, avec des femmes et des hommes qui sont issus des formations politiques qui m'ont amenés à des responsabilités et d'autres qui viennent de formations différentes", a encore indiqué le Président de la République. 


"Pour moi le fil rouge, c'est celui du progrès pour notre pays et nos compatriotes, de servir notre devise, de liberté, d'égalité, de fraternité mais aussi de laïcité", a fini le Président, ouvrant le Conseil des ministres, qui se tient à huis clos à l'Élysée.

Prise de parole d'Emmanuel Macron à l'ouverture du Conseil des ministresSource : TF1 Info

ARRIVÉE À L'ÉLYSÉE DES PREMIERS MINISTRES POUR LE PREMIER CONSEIL

Les nouveaux ministres du gouvernement Borne arrivent les uns après les autres pour un premier Conseil des ministres, prévu ce matin et qui devra réunir tous les membres nouvellement nommés. Le ministre de la Fonction publique Stanislas Guerini, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire ou encore le nouveau ministre de l'Agriculture Marc Fesneau ont déjà fait leur entrée. 

Arrivée de Stanislas Guerini au premier conseil des ministresSource : TF1 Info

UNE PRÉPARATION ATHLÉTIQUE AVANT UN PREMIER CONSEIL DES MINISTRES


La nouvelle ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra s'est mise en scène en train de faire du sport sur les réseaux sociaux juste avant son premier Conseil des ministres, qui doit se tenir ce matin à 10h. "Commencer sa journée avec 30 minutes d’exercice : bon pour le corps et l’esprit !", a-t-elle mis en avant.

LE MINISTRE DU TRAVAIL RENCONTRERA LES ORGANISATIONS SYNDICALES


Lors de la cérémonie d'investiture du nouveau ministre du Travail, Olivier Dussopt, celui-ci a annoncé qu'il rencontrerait dès cette semaine les partenaires sociaux, insistant sur la nécessité du dialogue et de la "co-construction" des prochaines réformes. 


Le ministre de l'Économie doit également rencontrer les organisations patronales, devant également parler des négociations autour de la hausse des salaires face à l'inflation.

PASSATION DE POUVOIR AU MINISTÈRE DU TRAVAIL 


La désormais Première ministre Elisabeth Borne a pris la parole de la cérémonie d'investiture du nouveau ministre du Travail, Olivier Dussopt. Faisant le bilan de ses deux ans au ministère, notamment lors de la crise sanitaire, elle s'est félicitée des résultats, assurant que dorénavant, le "plein emploi est à portée de main" et que cet objectif sera donc la boussole du nouveau ministre pour le quinquennat à venir.


L'ancienne ministre du Travail a par ailleurs tracé la feuille de route que devra remplir son successeur avec la réforme des retraites. "Au cœur des années qui commencent, un autre défi devra être relevé, celui de garantir que les jeunes générations aient une pension digne". "Une réforme nécessaire", a répondu Olivier Dussopt, lors de sa prise de parole, assurant qu'il dialoguerait et négocierait avec les partenaires sociaux pour la mettre en œuvre. "Une société tient par le travail", a déclaré le nouveau ministre du Travail.

PASSATION DE POUVOIR AU MINISTÈRE DU TRAVAIL


La passation au ministre du Travail entre Elisabeth Borne et Olivier Dussopt doit se tenir ce matin, juste avant le premier Conseil des ministres. L'ancien socialiste était chargé précédemment des Comptes publics sous le gouvernement de Jean Castex. En prenant la tête du nouveau ministère du Travail, du Plein Emploi et de l'Insertion, il aura notamment la tâche de mettre en œuvre la réforme des retraites. 

AFFAIRE ABAD : "ÇA DEVIENT COMPLIQUÉ", JUGE L. BERGER


"C'est au gouvernement de décider. Je crois que ça devient compliqué", estime  le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, invité d'Elizabeth Martichoux, lundi sur LCI, après les accusations de viol présumé contre Damien Abad, le nouveau ministre des Solidarités, issu du parti LR. "Mais je ne suis pas le tribunal populaire. Je hais cette approche-là qui veut que des gens se succèdent sur un plateau pour dire ce qu'il faut faire. Je ne sais pas s'il est coupable ou pas des faits qui lui sont reprochés. (...) Si c'était le cas, c'est sans ambigüité en terme de décision."

L. BERGER VEUT "UN DIALOGUE RÉEL ET LOYAL"


"Il faut faire autrement" dans la dialogue social pour ce deuxième quinquennat d'Emmanuel Macron, souhaite le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, invité d'Elizabeth Martichoux, lundi sur LCI. "Je lui ai dit dans une tribune : il faut faire autrement, et autrement avoir davantage de dialogue réel et loyal."

O. DUSSOPT, MINISTRE DU TRAVAIL : "ON VERRA", ASSURE L. BERGER


"Je n'aime pas commenter les castings. On ne choisit pas ses interlocuteurs. On le connait, c'est quelqu'un avec qui on peut discuter et dialoguer", indique le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, invité d'Elizabeth Martichoux, lundi sur LCI, à propos du nouveau ministre du Travail, Olivier Dussopt. "On verra. On demande de se voir rapidement, de se recevoir les uns et les autres et de s'écouter."

"LES RETRAITES NE SONT PAS L'URGENCE DU MOMENT"


"(Elisabeth Borne) dit que les 65 ans ne sont pas un totem. Elle commence à mettre un coin dans l'idée que partir sur un allongement du départ à la retraite, c'est une erreur et une faute. Elle ne le dit pas, moi je le dis", explique le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, invité d'Elizabeth Martichoux, lundi sur LCI. "Si l'approche est d'arriver avec un projet disant on veut aller jusqu'à 64 ou 65 ans, la réponse pour la CFDT c'est non. (...) Mais les retraites ne sont pas l'urgence du moment."


"Il n'y a pas d'urgence sur les retraites", répète le patron de la Centrale syndicaliste, évoquant les concertations sur la réforme des retraites qui n'auront lieu qu'après les élections législatives, des 12 et 19 juin. "Il n'y aura pas de discussion pendant les législatives. Il n'y a pas à ce point une urgence qu'il faudrait une mesure en septembre. (...) L'urgence ce n'est pas les retraites, c'est le pouvoir d'achat et l'emploi." "On ira parler des retraites, la CDFT n'a jamais déserté", conclut-il.

DES SIGNAUX CLAIRS À DONNER, SELON OLIVIER FAURE


Le secrétaire général du Parti socialiste Olivier Faure est revenu sur la nomination de Damien Abad au ministère des Solidarités alors même que deux femmes l'accusent de viol. Selon lui, des signaux clairs doivent être donnés, le doute existe et il souhaite par conséquent que Damien Abad se retire du gouvernement le temps que l'enquête soit réalisée. 


"On ne peut pas vivre ce qu'on a vécu avec l'affaire Nicolas Hulot", a rappelé Olivier Faure sur France Inter, soulignant que la Nupes avait elle mis seulement cinq jours pour démettre de son investiture Taha Bouhafs, alors même qu'aucune plainte n'avait été déposée. "Je sais bien que cela peut parfois fragiliser le principe de la présomption d'innocence mais la parole des femmes doit être entendue. On sait à quel point elles hésitent, la honte reste du côté des femmes alors qu'elle doit changer de camp", a affirmé Olivier Faure. 

POUR L. BERGER, "IL Y A UNE VRAIE VOLONTÉ DE DIALOGUE"


"J'ai envie de dire chiche, faisons-le et faisons-le vraiment", affirme le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, invité d'Elizabeth Martichoux, lundi sur LCI, au sujet des déclarations d'Elisabeth Borne sur l'importance du dialogue social pour mener à bien les réformes. "La discussion, la concertation, ce n'est pas arriver avec un projet et ressortir avec le même projet. Dans le discours, il y a une vraie volonté de dialogue, maintenant c'est dans les actes que l'on attendra ce gouvernement."

ELISABETH BORNE DOIT "PRENDRE SES RESPONSABILITÉS"


L'écologiste Sandrine Rousseau a appelé Elisabeth Borne "de prendre ses responsabilités" concernant les accusations de viol portées contre le ministre des Solidarités Damien Abad. "Il était précédé d'une réputation que plusieurs cadres LR ont confirmé. Il y a un principe de précaution. Il faut envoyer un message fort aux femmes que leur parole compte", a-t-elle lancé sur RTL.

GUILLAUME PELTIER VEUT QUE LA PRÉSOMPTION D'INNOCENCE SOIT RESPECTÉE


Guillaume Peltier, vice-président de Reconquête !, le parti d'extrême droite d'Eric Zemmour, a assuré qu'il n'était pas au courant des accusations de viols portées à l'encontre de son ancien collègue au sein du parti des Républicains, Damien Abad. "Je suis très gêné par ce principe de délation et de l'arbitraire. Il y a un principe sacré en France : la présomption d'innocence", a-t-il déclaré sur France 2.


À propos de sa candidature aux législatives, le député a par ailleurs argué qu'il avait toujours gagné ses précédentes élections. "Si on veut montrer l’exemple, il faut savoir s’engager. Nous sommes au début d’une épopée", a-t-il affirmé.

"DAMIEN ABAD DOIT ÊTRE DEMIS DE SES FONCTIONS"


Le sénateur socialiste Yan Chantrel a appelé à ce que Damien Abad, accusé par deux femmes de viol, et qui est entré récemment au gouvernement au ministère des Solidarités, soit démis de ses fonctions. Sur Public Sénat, il s'est par ailleurs étonné de constater que tout le monde savait, mais que personne n'a rien dit jusque-là.

UN TEXTE SUR LE POUVOIR D'ACHAT


Dans un entretien au JDD, la Première ministre Elisabeth Borne a confirmé que le premier texte qui sera examiné la nouvelle Assemblée nationale sera sur le pouvoir d'achat. Différentes mesures seront prévues dans ce texte : prolongation du bouclier tarifaire, chèque alimentation, relèvement du point d'indice des fonctionnaires, suppression de la redevance audiovisuelle... 

PREMIER CONSEIL DES MINISTRES VERS 10H


On l'aura attendue longtemps: l'équipe de la nouvelle Première ministre Elisabeth Borne doit fouler lundi peu avant 10 heures le gravier de l'Elysée pour un conseil des ministres qui lance véritablement le second quinquennat d'Emmanuel Macron, avec déjà une fausse note: les accusations de viol visant Damien Abad.

Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré aux élections législatives. Retrouvez ici les dernières informations sur la campagne.

Jour J pour le nouveau gouvernement. Ses 26 membres se réunissent lundi autour d'Emmanuel Macron et de la Première ministre Elisabeth Borne à l'Élysée pour leur premier Conseil des ministres. Olivia Grégoire, qui a succédé à Gabriel Attal en tant que porte-parole, en fera le compte rendu à la mi-journée. 

Et si les dossiers ne manquent pas, elle ne devrait pas échapper à des questions sur l'affaire Abad, qui embarrasse déjà le gouvernement. Le ministre des Solidarités est confronté à des accusations de viols de la part de deux femmes, qu'il "conteste avec la plus grande force". Pourra-t-il rester en poste ? Elisabeth Borne, qui a assuré qu'elle ne savait rien de l'affaire avant les révélations de Mediapart samedi,  a promis qu'elle en tirerait "toutes les conséquences" s'il y avait de "nouveaux éléments".

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La nouvelle équipe gouvernementale devrait en tout état de cause se faire discrète dans les prochains jours. Législatives obligent, la période de réserve débute ce lundi et les interventions des ministres doivent se limiter au strict minimum.


La rédaction de TF1info

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