PARTIE DE CAMPAGNE - A la veille du premier tour de la primaire de la gauche, le scrutin est loin d’être joué. Retour sur les derniers jours d'une campagne éclair et mouvementée.
Que bilan tirer de cette dernière semaine de campagne ? Impossible de passer à côté de l'épisode de la gifle reçue par Manuel Valls à Lamballe. De son côté, Benoît Hamon a réussi à imposer ses thèmes de campagne en insistant notamment sur l’instauration d’un revenu universel pour tous les Français. Arnaud Montebourg, lui, a tenté de faire revivre les espoirs de la campagne de François Hollande en se présentant comme le candidat qui "combat les puissants".
Vincent Peillon, jugé trop professoral pour séduire, n'a tenu qu’un seul meeting vendredi soir à Paris. A noter que ses affiches n’ont toujours pas de slogan. François de Rugy, lui, a tenté de se démarquer en prônant notamment une importante réforme des institutions, la sortie du nucléaire et la légalisation du cannabis. Présidente du Parti radical de gauche, Sylvia Pinel n’a pas hésité à défendre le bilan de François Hollande -"le seul président à avoir redressé notre pays"- vendredi à Toulouse. Quant à Jean-Luc Bennahmias, il n'a fait campagne que dans les medias.
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