Selon Sarkozy, Zemmour est "le symptôme de quelque chose, pas la cause"

Publié le 2 octobre 2021 à 12h36
JT Perso
Comment désactiver votre Adblocker
  • Cliquez sur l'icône de votre Adblocker installé dans votre navigateur. En général elle se trouve dans le coin supérieur droit de votre écran. Si vous utilisez plusieurs adblockers, veillez à bien tous les désactiver pour pouvoir accéder à votre vidéo.
  • Suivez les instructions indiquées par votre Adblocker pour le désactiver. Vous devrez peut-être sélectionner une option dans un menu ou cliquer sur plusieurs boutons.
  • Lorsque votre Adblocker est désactivé, actualisez votre page web.
  • Remarque : Si vous utilisez le navigateur Firefox, assurez-vous de ne pas être en navigation privée.
adblock icone
Un bloqueur de publicité empêche la lecture.
Veuillez le désactiver et réactualiser la page pour démarrer la vidéo.

Source : TF1 Info

PRÉSIDENTIELLE - Alors que selon un dernier sondage, Eric Zemmour devance les candidats de droite dans les intentions de vote des Français, l'ancien président Nicolas Sarkozy a regretté ce samedi 2 octobre "une absence de débats" qui favoriserait selon lui le succès du polémiste.

"Vous connaissez ce proverbe chinois : quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt", a lancé ce samedi 2 octobre Nicolas Sarkozy, au sujet de la popularité d'Eric Zemmour, candidat potentiel à l'élection présidentielle de 2022, crédité de 15% d'intentions de vote dans un sondage Franceinfo/Le Parisien publié ce vendredi. Au surlendemain de sa condamnation dans l'affaire Bygmalion, l'ancien président de la République est revenu sur le score obtenu par le polémiste, depuis la librairie Lamartine à Paris où il dédicaçait son livre Le temps des tempêtes

Le polémiste devance en effet les candidats de la famille politique de Nicolas Sarkozy : Xavier Bertrand grimpe à 14% d'intentions de vote, tandis que Valérie Pécresse en cumule 12% et Michel Barnier 11%. Au sujet de cette percée, Nicolas Sarkozy a estimé qu'Éric Zemmour "est le symptôme de quelque chose, il n'en est pas la cause"

Lire aussi

"Bien souvent, on regarde les conséquences et pas les causes", a-t-il pointé, estimant que la popularité d'Eric Zemmour a profité d'une "absence de débats", permettant "que prospère une parole qui est, assez souvent, excessive". "Tous ceux qui participent au débat public doivent parler plus directement au cœur des Français pour qu'il y ait de vrais débats", a-t-il préconisé. 

"Pour le moment, il faut laisser le débat se dérouler et espérer qu’il prenne plus d’ampleur et de fond, a-t-il ajouté. Les sondages, c’est les sondages, ce qu’il faut, c’est dire ce qu’on pense le plus fort possible."


La rédaction de TF1info

Sur le
même thème

Tout
TF1 Info