12 tweets qui résument parfaitement le dernier débat de la primaire à droite

par Antoine RONDEL
Publié le 18 novembre 2016 à 18h20, mis à jour le 18 novembre 2016 à 18h43
12 tweets qui résument parfaitement le dernier débat de la primaire à droite
Source : CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / POOL / AFP

VU DE TWITTER - Quand les politiques parlent, les internautes dansent... plus ou moins. A l'occasion de la dernière confrontation à sept des candidats à la primaire de la droite et du centre, ces derniers ont été scrutés d'assez près. Revue en quelques tweets.

Quand, doucement mais sûrement, on rappelle que Jean-Pierre Elkabbach, un des intervieweurs de la soirée, n'est pas un perdreau de l'année.

Quand la perspective du débat ne soulève pas les foules.

Et que, faute d'intérêt pour le débat, on finit par se l'imaginer en compétition sportive.

Quand le discours sur le renouveau de la scène politique de Bruno Le Maire, élu depuis 2007 et fidèle parmi les fidèles de Dominique de Villepin, en prend un sacré coup dans l'aile.

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Quand les candidats rivalisent d'ingéniosité à "qui veut supprimer des millions de postes de fonctionnaires". 300.000 pour Nicolas Sarkozy, baisse de 10% pour Alain Juppé, 500.000 pour Bruno Le Maire, et 600.000 pour François Fillon.

Quand les bretteurs ont commencé à n'en faire qu'à leur tête pour parler de ce qu'ils voulaient et non de ce que les journalistes présents en plateau avaient prévu pour eux.

Quand ça commence à se voir que tes camarades ne te prennent pas, mais pas du tout, au sérieux.

Quand tu es un candidat de l'autre bord pour la présidentielle et que tu sors le pop-corn.

Le moment où un autre candidat à la présidentielle ne perd pas le nord en tentant de s'attirer les grâces futures d'un candidat mal parti dans la primaire de la droite et du centre.

Quand Jean-François Copé, qui n'a pas laissé passer une occasion de se payer l'inaction de Nicolas Sarkozy pendant la campagne lui dit que la réforme territoriale était "une très bonne chose". 

Et enfin, quand tu as posé la question qu'il ne fallait pas.


Antoine RONDEL

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