Le porte-parole du gouvernement était l'invité d'Audrey Crespo-Mara au 20H de TF1, ce dimanche.
Emmanuel Macron s’est déclaré candidat alors qu’il est chef de guerre et président de l’Europe en temps de guerre. Cette position de surplomb, à 35 jours du premier tour, l’avantage ? C’est une campagne éclaire qui parle à force des choses. Va-t-elle vous être favorable qu’elle n’aurait pu l’être ?
À Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, de répondre : “Je crois que cette crise n’avantage personne. On a dû annuler un certain nombre d’événements, un meeting encore le week-end dernier. Est-ce que ce sera une campagne classique pour le président ? Évidemment, non. Ça n’est jamais une campagne classique pour un président sortant qui se représente.
Cette crise impacte la campagne de tout le monde. Et moi, quand je discute avec les Français, notamment ceux de l’endroit où je suis élu avant à Issy-les-Moulineaux, ils n’attendent pas que nous désertons la gestion de cette crise. Au contraire. Et donc, Emmanuel Macron va devoir continuer à protéger les Français, les Européens face à cette crise. Et aussi, évidemment, participer à cette échéance démocratique majeure qu’est l’élection présidentielle. Elle ne passera pas au second plan.
Retrouvez l’intégralité de cette intervention dans la vidéo ci-dessus.
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