Les partis pris : Zemmour candidat, "apocalypse now", Zemmour, dépensier lui aussi, Maxwell, âme damnée d'Epstein et à Bordeaux, ça sent le sapin !

Publié le 30 novembre 2021 à 1h28, mis à jour le 30 novembre 2021 à 21h07

Source : 24H PUJADAS, L'info en questions

Tous les soirs, Jean-Michel Apathie, François Lenglet, Abnousse Shalmani et Marie Bonnisseau donnent leurs points de vue sur un sujet d'actualité dans 24H Pujadas sur LCI.

C'est la fin d'un faux suspens savamment orchestré depuis des mois. Eric Zemmour a officialisé sa candidature à l'élection présidentielle dans une vidéo ce mardi. Le polémiste d'extrême droite s'est adressé aux Français "exilés de l'intérieur", à ceux qui "se sentent étrangers" dans leur "propre pays", et se présente "pour que nos filles ne soient pas voilées et que nos fils ne soient pas soumis". "Il n'est plus temps de réformer la France, mais de la sauver. C'est pourquoi j'ai décidé de me présenter à l'élection présidentielle", annonce le journaliste. Jean-Michel Apathie dit Zemmour candidat, "apocalypse now".

Son programme économique s’articule autour du principe "libéral à l’intérieur, protectionniste à l’extérieur". Contrairement à Marine Le Pen, il refuse de rétablir l’ISF, impôt qu’il juge "confiscatoire". Autre marque de son libéralisme, Eric Zemmour propose une baisse massive des impôts de production et de l’impôt sur les sociétés. "Si on veut permettre à nos entreprises de retrouver de la compétitivité, il faut actionner le levier fiscal. C’est nécessaire pour permettre aux entreprises françaises de dégager une marge qui les rendent compétitives face à la concurrence étrangère", défend-il. François Lenglet dit qu'Eric Zemmour est dépensier lui aussi.

La fille du magnat des médias Robert Maxwell comparaît depuis lundi pour complicité avec son ex-compagnon Jeffrey Epstein, qui s’est suicidé dans sa cellule en 2019. Ghislaine Maxwell est accusée d’avoir été la perfide rabatteuse du milliardaire et prédateur sexuel. Abnousse Shalmani parle de l'âme damnée d'Epstein

Pour les fêtes, la ville de Bordeaux va ériger un sapin monumental fait de verre et d'acier recyclés, a annoncé hier le maire EELV Pierre Hurmic. Il a été très critiqué il y a un an pour son refus d'installer "un arbre mort" avant Noël. Cette année, une œuvre de onze mètres de haut trônera au cœur de la ville. Marie Bonnisseau dit qu'à Bordeaux, ça sent le sapin !

Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.


La rédaction de TF1info

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