Variole du singe en France : la vaccination des adultes et des soignants cas contacts recommandée

Publié le 24 mai 2022 à 14h44
JT Perso
Comment désactiver votre Adblocker
  • Cliquez sur l'icône de votre Adblocker installé dans votre navigateur. En général elle se trouve dans le coin supérieur droit de votre écran. Si vous utilisez plusieurs adblockers, veillez à bien tous les désactiver pour pouvoir accéder à votre vidéo.
  • Suivez les instructions indiquées par votre Adblocker pour le désactiver. Vous devrez peut-être sélectionner une option dans un menu ou cliquer sur plusieurs boutons.
  • Lorsque votre Adblocker est désactivé, actualisez votre page web.
  • Remarque : Si vous utilisez le navigateur Firefox, assurez-vous de ne pas être en navigation privée.
adblock icone
Un bloqueur de publicité empêche la lecture.
Veuillez le désactiver et réactualiser la page pour démarrer la vidéo.

Source : JT 20h WE

Trois cas de variole du singe ont été repérés en France à ce jour.
Pour limiter la diffusion du virus, la Haute autorité de santé préconise la vaccination des adultes et professionnels de santé qui ont été cas contacts.

Le vaccin de retour au cœur des préconisations de la Haute autorité de santé (HAS). Saisie en urgence par la Direction générale de la santé (DGS) autour de la conduite à tenir après la découverte des premiers cas de variole du singe dans le pays - à ce jour, trois personnes sont infectées sur le territoire -, la HAS recommande ce mardi de mettre en place une stratégie vaccinale.

"La HAS recommande aujourd'hui la mise en œuvre d'une stratégie vaccinale réactive, c'est-à-dire autour d'un cas confirmé", écrit l'instance dans un communiqué. "Les adultes dont le contact avec une personne infectée est considéré comme à risque, y compris les professionnels de santé exposés sans mesure de protection individuelle", doivent avoir accès à la vaccination, préconise la HAS, dont les avis ont été régulièrement suivis par le gouvernement durant la pandémie de Covid-19.

Les enfants pas concernés

D'après Santé publique France, pour être considéré comme "contact à risque" d'un malade du "monkeypox", il faut avoir eu "un contact physique direct non protégé avec la peau lésée ou les fluides biologiques d'un cas probable ou confirmé", ou "un contact non protégé à moins de deux mètres pendant trois heures avec un cas probable ou confirmé". Tous les adultes entrant dans ce cadre doivent être éligibles à la vaccination, demande l'instance.

Lire aussi

Pour ce faire, la Haute autorité de santé recommande d'utiliser "le vaccin de troisième génération", en l'administrant "idéalement dans les quatre jours après le contact à risque, et au maximum 14 jours plus tard avec un schéma à deux doses (ou trois chez les sujets immunodéprimés), espacées de 28 jours". En revanche, les enfants ne sont pas concernés, puisque le vaccin en question ne bénéficie pas d'autorisation de mise sur le marché pour cette tranche d'âge.


Idèr NABILI

Tout
TF1 Info