Le recul des contaminations est également observé en France ces derniers jours, mais aussi au niveau mondial, malgré la virulence des variants. Aujourd'hui, les scientifiques reconnaissent qu'ils sont surpris.
Baisse des contaminations dans le monde, progression des variants du virus, ... Difficile d'y voir clair sur la situation épidémique. En cause en France, ce fameux plateau haut du nombre de nouveaux cas qui perdure dans le temps. À l'échelle du pays, les indicateurs semblent plutôt à la baisse : - 9% de contaminations par rapport à la semaine dernière, - 10% de nouvelles hospitalisations et des entrées en réanimation stables.
Mais en toile de fond, les variants progressent. Le virus britannique par exemple est passé de 25 à 36% des cas suspects en une semaine. Sa diffusion est moins rapide que prévue par les scientifiques. Simple décalage dans le temps de la menace pour l'épidémiologiste Pascal Crépey.
Le problème c'est que si la vague arrive, les hôpitaux seront-ils en capacité de prendre en charge les patients ? De nombreux services de réanimation sont déjà surchargés. En orange sur la carte les départements où plus de 60% des lits sont occupés par des patients Covid et plus de 120% en rouge. Dans un établissement parisien, un médecin cherche déjà à ouvrir des lits supplémentaires. Les autorités redoutent désormais l'arrivée des beaux jours qui pourraient limiter le respect du couvre-feu après 18 heures.
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