En France, les signaux sont contrastés concernant l'évolution de l'épidémie. Comme dans beaucoup d'autres pays, les chiffres sont globalement rassurants mais la présence de variants inquiète.
Ce soir, l'inquiétude se porte sur un département : la Moselle. "Nous avons identifié plus de 300 cas de mutations évocatrices de variants sud-africains et brésiliens ces quatre derniers jours" a annoncé Olivier Véran. Le maire Metz appelle à un nouveau confinement ce jeudi. Jour après jour, les variants gagnent du terrain et inquiètent. Chaque semaine, la souche classique baisse de 6% chaque semaine, quand le variant anglais, lui, progresse de 50%.
Cette semaine pourtant, l'épidémie semble ralentir en France. Les contaminations sont passées sous la barre des 20 000 nouveaux cas par jour, soit une baisse de 7% par rapport à mercredi dernier. D'autres indicateurs donnent de l'espoir et l'envie de sourire. Le taux d'incidence par exemple, c'est-à-dire le nombre de cas pour 100 000 habitants, depuis quelques jours, il n'augmente plus et connaît même un léger mieux. Même tendance à la baisse pour le taux de positivité des tests : 6,7% le 3 février, 6,3% cette semaine. Pour l'instant, la pression retombe dans les hôpitaux, et notamment dans les services de réanimation.
Sur le
même thème
Tout
TF1 Info
- Culture, médias et divertissementDécès de Jean-Pierre Elkabbach à 86 ans
- Sujets de sociétéTaxes, carburants, inflation... Les Français face à la vie (très) chère
- InternationalHaut-Karabakh : l'enclave au centre des tensions entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan
- Police, justice et faits diversDisparition inquiétante de Lina, 15 ans, en Alsace
- Police, justice et faits diversAttentat de Magnanville : sept ans après, l'heure du procès