"La Première ministre a invité l’intersyndicale pour faire un tour d'horizon de tous les sujets, évidemment le sujet des retraites qui est au cœur de l’actualité, mais aussi d’autres sujets", affirme le ministre du Travail ce vendredi matin.La réunion à Matignon est envisagée pour mercredi alors qu'une nouvelle journée de mobilisation à l'appel de l'intersyndicale est prévue jeudi.Suivez les dernières informations.
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DE MOINS EN MOINS DE DÉCHETS
Suite à la grève des éboueurs contre la réforme des retraites, qui s'est arrêtée mercredi dans la capitale, des déchets sont toujours en attente d'être ramassés. Selon la mairie de Paris, il reste encore 3200 tonnes d'ordures dans les rues aujourd'hui, contre 4300 tonnes hier.
🔴 Point de situation sur la collecte des déchets : le tonnage de déchets non ramassés dans Paris est aujourd'hui de 3 200 tonnes, contre 4 300 tonnes hier. — Paris (@Paris) March 31, 2023
RENCONTRE AVEC DES SYNDICATS
Avant même une réunion avec l'intersyndicale prévue mercredi 5 avril pour discuter de la réforme des retraites, la Première ministre est passée à une rencontre avec des syndicats à Nevers, ce vendredi. Celle-ci s'est déroulée à huis clos avec sept délégués départementaux des organisations syndicales de la Nièvre, où Elisabeth Borne était en déplacement ce vendredi, pour une visite sur le thème de l'éducation. Solidaires n’a pas souhaité participer et CFE-CGC n’a pas pu être présent. La rencontre a duré près de deux heures, à la préfecture de la Nièvre.
ANNULATION DE VOLS
La Direction générale de l'Aviation civile (DGAC) demande aux compagnies aériennes d'annuler des vols lundi et mardi, en raison de la poursuite de la grève de contrôleurs aériens contre la réforme des retraites. Selon son communiqué, 20% des vols seront annulés sur les aéroports de Marseille-Provence et Bordeaux lundi 3 avril et 20% sur les aéroports de Paris-Orly, Marseille-Provence et Bordeaux le lendemain. La DGAC prévoit par ailleurs "des perturbations et des retards".
GRÈVE RECONDUITE À LA RAFFINERIE DE DONGES
La grève contre la réforme des retraites du gouvernement, entamée le 7 mars à la raffinerie TotalEnergies de Donges, en Loire-Atlantique, est reconduite pour une cinquième semaine consécutive sur ce site, a appris l'AFP auprès des syndicats.
"Les organisations syndicales CGT et CFDT appellent à la reconduction du mouvement jusqu'à vendredi prochain. La 'démocrature' mise en place par le binôme Borne-Macron ne nous fait pas reculer, n'entame pas notre détermination, donc le mouvement de grève continue", a annoncé Fabien Privé Saint-Lanne, délégué syndical CGT (majoritaire), à la sortie de l'assemblée générale hebdomadaire.
"Nous avons subi les réquisitions, les menaces vis-à-vis de nos collègues sous-traitants, le chantage à l'emploi, le chantage à l'investissement. Rien n'entame la détermination des grévistes", a poursuivi Fabien Privé Saint-Lanne, une semaine après la réquisition de salariés grévistes sur ce site.
DES "ARRESTATIONS ET DÉTENTIONS ARBITRAIRES"
Un collectif d'avocats a annoncé le dépôt d'une "centaine de plaintes" à Paris pour dénoncer des "arrestations et détentions arbitraires" dans le cadre de la mobilisation contre la réforme des retraites. Pour la vingtaine d'avocats qui se sont exprimés pendant la conférence de presse, ces nombreuses interpellations et détentions ces dernières semaines sont sans objet et visent "à casser le mouvement social".
D'après l'avocate Alice Becker, les procédures dans la capitale feraient en effet l'objet de "75% de classement sans suite" de la part du parquet de Paris. Les plaintes mettent en cause les forces de l'ordre et la justice et se basent sur trois infractions : atteinte arbitraire à la liberté individuelle par personne dépositaire de l’autorité publique, non-intervention pour l’arrêt d’une privation de liberté illégale et entrave à la liberté de manifester.
POUR RIEN ?
La Première ministre s'est réjouie, vendredi, que l'intersyndicale accepte de la rencontrer à Matignon. Elle a toutefois averti que la réforme des retraites, qui sera au cœur des discussions, ne sera pas mise en "pause". Un discours qui laisse peu de place au dialogue alors que les syndicats "exigent" le retrait du texte.
DATES CLÉS
La tension reste forte autour de la réforme des retraites. À quand la sortie de crise ? Les deux prochaines semaines pourraient être décisives.
"BONNE NOUVELLE"
En déplacement dans la Nièvre, la Première ministre Elisabeth Borne s'est réjouie aujourd'hui de la réponse de l'intersyndicale qui se présentera "unie" face à elle mercredi pour discuter de la réforme des retraites. La nouvelle secrétaire générale de la CGT Sophie Binet a annoncé un peu plus tôt que l'intersyndicale allait demander "le retrait" du texte.
De son côté, Elisabeth Borne s'est dit "à l'écoute". "Je me réjouis que l'intersyndicale réponde à mon invitation", a déclaré la cheffe du gouvernement jugeant en outre que l'accession de Sophie Binet à la tête de la confédération était "une bonne nouvelle pour toutes les femmes".
"TOUT NOIR" CHEZ MACRON
À l'occasion de l'élection de la nouvelle secrétaire générale de la CGT, les congressistes ont entonné à plusieurs reprises "Emmanuel Macron si tu continues, il va faire tout noir chez toi", notamment après l'annonce des membres de la CEC (commission exécutive confédérale) qui compte 66 membres.
CGT
Le bureau confédéral de la CGT a été présenté vendredi avec à sa tête la nouvelle secrétaire générale de la CGT Sophie Binet et comme administrateur le leader de la CGT cheminots Laurent Brun, lors du 53e congrès de la CGT à Cournon-d'Auvergne.
Outre Sophie Binet, secrétaire générale du syndicat des cadres de 41 ans, très applaudie par les congressistes et qui succède à Philippe Martinez, "le CCN (comité confédéral national) a élu notre camarade Laurent Brun (leader de la CGT-cheminots) administrateur", soit l'équivalent de numéro 2 du bureau, a annoncé la CGT. Céline Verzeletti, candidate pressentie mais finalement écartée, est également membre du bureau.
ÉVACUATION
Un des sites de l'université de Bordeaux, occupé et sans activité depuis le 21 mars dans le cadre du conflit sur la réforme des retraites, a été évacué dans le calme par la police tôt vendredi matin, ont constaté des journalistes de l'AFP. Selon la préfecture de la Gironde, l'intervention des forces de l'ordre répondait à une demande du président de l'établissement "pour des raisons de sécurisation des personnes et des biens".
Les lieux étaient occupés "de manière illégale" depuis le 21 mars, au lendemain du rejet de la motion de censure, "par 200 personnes au maximum, majoritairement extérieures à l'Université, et par des étudiants", ajoute-t-elle dans un communiqué. Le site concerné, situé place de la Victoire dans le centre-ville, fait partie de la faculté de sciences humaines de l'université de Bordeaux.
L'opération a été menée par environ 80 policiers à partir de 04h30 "sans heurts ni usage de la force", précise la préfecture. Trente-neuf occupants étaient alors présents, dont les identités ont été relevées. Plusieurs ont confirmé à l'AFP que l'intervention s'était faite dans le calme et que tous n'étaient pas des étudiants.
PORTRAIT
Surprise au Congrès de la CGT. Après l'échec des candidatures de Marie Buisson et Céline Verzeletti, Sophie Binet a été élue secrétaire générale et succède à Philippe Martinez. Qui est-elle ?
RENCONTRE LE 5 MARS
"L'intersyndicale unie" rencontrera la Première ministre Elisabeth Borne le 5 avril, à l'invitation du gouvernement, "pour exiger le retrait de la réforme" des retraites, a annoncé vendredi la nouvelle secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet.
"Nous irons, toute l'intersyndicale, unie, pour exiger le retrait de cette réforme de façon ferme, déterminée", a déclaré Sophie Binet, qui s'exprimait à la tribune du congrès de la CGT, où elle vient d'être élue pour succéder à Philippe Martinez.
PLAINTES CONTRE X
Dans un communiqué, un collectif d'avocats annonce avoir déposé 100 plaintes contre X ce matin au tribunal judiciaire de Paris pour "atteinte arbitraire à la liberté individuelle par personnes dépositaire de l'autorité publique", "non-intervention pour l'arrêt d'une privation de liberté" et "entrave à la liberté de manifester" dans le cadre des manifestations contre la réforme des retraites.
Des dépôts de plainte qui interviennent alors que, selon le collectif "pour les seuls 16, 17 et 18 mars, il a été comptabilisé 425 placements en garde à vue
aboutissant à seulement 52 poursuites judiciaires". "À l’occasion de ces 52 poursuites, nous déplorons que la majeure partie des mis en cause aient été
présentés à un délégué du procureur en vue d’un 'classement sans suite sous conditions'". Des dossiers qui auraient, selon les avocats, en réalité "aboutir à une relaxe pure et simple".
"Le parquet, en charge de mettre en oeuvre la politique pénale décidée
par l'exécutif, s'arroge ainsi un droit de sanction, opaque et dénué de voies de recours", dénonce le collectif pour qui leurs clients ont "subi une arrestation et une détention arbitraires visant à les dissuader d’exercer leur droit de manifester et à casser le mouvement social".
RASSEMBLEMENTS
Des rassemblements sont organisés demain dans le cadre du mouvement de protestation contre la réforme des retraites un peu partout en France. Selon les informations de TF1/LCI, 2100 personnes sont attendues pour 93 actions et 11 manifestations et rassemblements sont annoncés dans l'Hexagone.
Selon une source police à TF1/LCI, des craintes existent sur la présence de l'ultra-gauche ou de personnes venues de pays limitrophes dans les rassemblements prévus demain.
Des mobilisations plus larges concernant la réforme des retraites et l'utilisation du 49-3 pour faire passer la réforme sont également prévues. 6000 personnes sont attendues dans les sept rassemblements et défilés prévus sur le territoire.
STRATÉGIE D'AFFRONTEMENT ?
Le président Emmanuel Macron "organise la stratégie d'affrontement, d'embrasement" du pays pour en "récupérer le bénéfice politique avec une logique de loi et d'ordre", a accusé vendredi l'eurodéputé écologiste Yannick Jadot dans un contexte de critiques des violences policières.
"La stratégie d'affrontement, d'embrasement est organisée au plus haut sommet de l'État", a estimé l'ancien candidat à la présidentielle sur franceinfo, demandant la démission du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin. "C'est une volonté du président de la République de considérer qu'on est dans un moment de guerre civile", a poursuivi Yannick Jadot. "À un moment donné, il espère en récupérer le bénéfice politique avec une logique de loi et d'ordre".
Jeudi, en marge de la présentation de son plan de sobriété sur l'eau, le chef de l'État a estimé qu'à Sainte-Soline, "des milliers de gens" étaient "simplement venus pour faire la guerre" lors d'une manifestation contre les méga-bassines samedi.
ON FAIT LE POINT
Depuis la mi-mars, près de 1400 personnes ont été placées en garde à vue après des violences en marge de manifestations contre la réforme des retraites. Que deviennent ces personnes interpellées ? Combien d'entre elles ont été relâchées ? Combien ont été poursuivies et condamnées ? Le 20H de TF1 fait le point sur les procédures en cours.
SOPHIE BINET À LA TÊTE DE LA CGT
Selon Les Échos, après une longue nuit de tractations, la CGT aurait élu Sophie Binet à sa tête. Une élection qui a eu lieu après une nuit mouvementée, marquée notamment par le rejet de la candidature de Marie Buisson, soutenue par l'actuel Secrétaire générale du syndicat, Philippe Martinez.
LE MEDEF DÉFEND (TOUJOURS) LA RÉFORME
Le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux a indiqué ce matin sur BFMTV qu'il assistera la semaine prochaine à la réunion à Matignon entre l'intersyndicale et le gouvernement. "On y va pour faire le point". "Le fil n'a jamais été coupé avec les syndicats, ce qui ne veut pas dire qu'on est d'accord sur tout", a-t-il également souligné avant de répéter son soutien à la réforme "douloureuse, difficile, mais nécessaire".
💬 "Je suis pour cette réforme, elle est douloureuse, difficile mais nécessaire" Geoffroy Roux de Bézieux ( @GeoffroyRDB ), président du Medef, s'exprime sur la réforme des retraites pic.twitter.com/YomzStdxAH — BFMTV (@BFMTV) March 31, 2023
NUNEZ DÉFEND LA BRAV-M
Sur CNews, Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, a de nouveau pris la défense de la Brav-M, mise en cause pour des violences policières. Il a estimé que cette force était "indispensable". "Ils ont permis d'éviter des exactions graves", a-t-il également assuré avant de mettre "au défi quelqu'un qui démontrerait que nous avons des fonctionnaires de la Brav-M qui donnent des coups de matraques".
Laurent Nuñez, préfet de police de Paris: «Je mets au défi quelqu'un qui démontrerait que nous avons des fonctionnaires de la BRAV-M qui donnent des coups de matraques» dans #LaMatinale pic.twitter.com/yddiZ7Jr3s — CNEWS (@CNEWS) March 31, 2023
COUP DE THÉÂTRE À LA CGT ?
Vers un coup de théâtre à la CGT ? La candidature surprise de Sophie Binet est soumise au vote aujourd'hui pour succéder à Philippe Martinez et sortir d'une bataille de succession qui risque de fragiliser le syndicat en pleine lutte contre la réforme des retraites. Sophie Binet est la secrétaire générale de l'Ugict, le syndicat des cadres de la CGT.
RÉUNION
Sur Europe 1, le ministre du Travail Olivier Dussopt a dit sa volonté de "renouer le contact" avec l'intersyndicale à travers le rencontre proposée par Elisabeth Borne la semaine prochaine. Il est toutefois resté vague sur les sujets qui seront réellement mis sur la table. "Personne n'interdira à personne de parler de quoi que soit", y compris les retraites, a-t-il assuré.
« Personne n’interdira à personne de parler de quoi que ce soit », assure @olivierdussopt , ministre du Travail, du Plein emploi et de l'Insertion qui souhaite « renouer le contact » avec l’intersyndical à travers la rencontre proposée par la Première ministre #Europe1 pic.twitter.com/O6PW7wJFT1 — Europe 1 🎧🌍📻 (@Europe1) March 31, 2023
600 CRS BLESSÉS
Invitée sur RTL, Pascale Régnault-Dubois, qui dirige les CRS, a dénoncé ce matin la violence subie par ses compagnies lors des manifestations contre les retraites. "On a devant nous des gens qui malheureusement veulent s'en prendre physiquement aux forces de l'ordre. Le niveau de violence est de plus en plus élevé".
Elle a également assuré qu'aucune enquête ne concernait aujourd'hui les CRS dans un contexte de polémique autour des violences policières. "Quand il y a un geste non-conforme, il y a à chaque fois une enquête", a-t-elle assuré avant de condamner "le terme de violences policières". "Non la police n'est pas violente".
Enfin, selon ses chiffres, depuis le début de la contestation, 600 CRS ont été légèrement blessés, c'est-à-dire "contusionnés, très souvent [par] des projectiles" et 23 autres ont été "blessés plus graves".
🗣️ Manifestations : "On a devant nous des gens qui malheureusement veulent s'en prendre physiquement aux forces de l'ordre. Le niveau de violence est de plus en plus élevé." 🔴🎙️ Pascale Regnault-Dubois, patronne des CRS, au micro d' @amandine_begot dans #RTLMatin 👈 pic.twitter.com/cRgrpzgcgu — RTL France (@RTLFrance) March 31, 2023
REJET
Une proposition d'équipe pour diriger la CGT, avec à sa tête Marie Buisson, a été rejetée dans la nuit de jeudi à vendredi par le Comité confédéral national (CCN), le "parlement" du syndicat, a-t-on appris de sources concordantes. La Commission exécutive confédérale (CEC) qui a fait cette proposition a commencé à se réunir vers 23h, après la validation par les congressistes de sa composition.
Marie Buisson, la candidate désignée par la direction sortante pour prendre la succession de Philippe Martinez, a proposé une équipe dirigeante, mais le CCN qui doit la valider l'a rejetée. Les membres de la CEC ont donc réfléchi à une autre équipe, autour cette fois-ci de Céline Verzeletti, sans parvenir, vendredi au petit matin, à se mettre d'accord.
Le programme du Congrès prévoit normalement la proclamation des résultats devant les délégués du Congrès à 10h.
SNCF
Le trafic continue de s'améliorer à la SNCF ce vendredi. On fait le point ici :
MINEURS
Des avocats dénoncent une répression accrue qui viserait à étouffer la mobilisation des mineurs contre la retraite à 64 ans. Selon les autorités, entre le 16 et le 25 mars dans toute la France, 11 mineurs ont été présentés à la justice à l'issue de leurs gardes à vue et 14 convoqués à une date ultérieure. Sans préciser le nombre global de gardes à vue ou même d'interpellations.
Pour certains avocats, ces privations de liberté qui seraient accompagnées de brimades ou violences sont plus nombreuses que dans de récents mouvements sociaux.
Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré à la réforme des retraites. Retrouvez les dernières informations sur ce sujet ici.
Alors qu'Emmanuel Macron était attendu à la mi-journée dans les Hautes-Alpes, les gendarmes ont interpellé jeudi 30 mars au matin deux des manifestants rassemblés à Savines-Le-lac, sur les rives du lac de Serre-Ponçon, ont constaté des journalistes de l'AFP, une information confirmée de source policière. Environ une centaine de manifestants de tous âges, se sont rassemblés à l'entrée de ce village, en pleine crise des retraites.
La contestation contre la réforme des retraites "ne veut pas dire que tout doit s'arrêter", et n'empêche pas le chef de l'État d'"aller à la rencontre des Français", a-t-il affirmé au cours de son déplacement.
"Il ne faut pas donner le spectacle d’un étiolement progressif de la lutte" contre la réforme des retraites, a de son côté averti Jean-Luc Mélenchon, souhaitant que la prochaine journée de mobilisation, le 6 avril, soit assortie d'une "grève générale". Le 28 mars, "on a eu une baisse du nombre des participants aux manifestations", a constaté l'ancien candidat à l'élection présidentielle sur sa chaîne YouTube.
Les partis et groupes parlementaires LFI et communistes ont décidé de ne pas se rendre la semaine prochaine à Matignon, où Elisabeth Borne souhaitait les recevoir, ont-ils annoncé jeudi, réclamant de nouveau le retrait de la réforme des retraites.
De nombreuses stations-service françaises étaient encore touchées jeudi par des pénuries de carburants, notamment en Ile-de-France, dans le Sud-Est et dans l'Ouest, conséquence des mouvements de grève contre la réforme des retraites dans les raffineries, selon des données publiques analysées par l'AFP.
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