Discothèques, bars, transports... Les restrictions levées ce mercredi 16 février

A. LG
Publié le 15 février 2022 à 15h08, mis à jour le 16 février 2022 à 9h06

Source : TF1 Info

Une nouvelle salve de restrictions doit disparaître mercredi.
Instaurées il y a plusieurs semaines pour contrer Omicron, elles concernent les boîtes de nuit, les bars ou encore les salles de spectacles.

Le retour à la normale se précise dans l'Hexagone avec la suppression, ce mercredi 16 février, de nouvelles contraintes. Après la fin du port du masque en extérieur le 2 février dernier, des jauges dans les stades et salles de spectacles ou encore du télétravail obligatoire, la levée de cette nouvelle salve de restrictions concerne les transports, les boîtes de nuit ainsi que les bars. Toutes avaient été instaurées entre fin décembre et début janvier pour limiter l'ampleur de la cinquième vague de l'épidémie face à la propagation du variant Omicron.

Parmi ces allégements, il sera à nouveau possible d'acheter et de consommer de la nourriture et des boissons dans les stades, les cinémas ou les transports en commun. Les voitures-bars des TGV et Intercités de la SNCF devraient donc rouvrir dès mercredi. 

De plus, la consommation debout sera également à nouveau possible dans les bars. Elle avait été interdite à compter du 3 janvier et les clients devaient depuis rester assis pour consommer leurs boissons et porter obligatoirement un masque pour se déplacer en intérieur. Il en sera de même concernant les concerts debout, eux aussi à nouveau autorisés dès mercredi. 

Réouverture des discothèques

Fermées depuis le 10 décembre car considérées comme propices aux contaminations parce que confinées et souvent mal ventilées, les discothèques rouvrent par ailleurs ce 16 février. Olivier Véran, ministre de la Santé, avait précisé dès la fin janvier que le gouvernement ne prévoyait pas de rendre obligatoire la présentation d'un test négatif à l'entrée, en plus du pass vaccinal. "La loi nous permet de le faire", a dit le ministre, "mais nous n'avons pas l'ambition de le faire".

Ces établissements, parmi les plus sinistrés par la pandémie, auront ainsi gardé portes closes dix semaines, après une première période de 16 mois d'inactivité forcée du début de la crise sanitaire jusqu'en juillet 2021. De nombreux pays européens avaient fait de même, mais les professionnels, bien qu'indemnisés par l'État, protestaient en rappelant qu'ils représentaient 30.000 emplois directs en France. 


A. LG

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