PHOTOS - Attentat contre Charlie Hebdo : et vous, que faisiez-vous ce jour-là ?

Anaïs Condomines
Publié le 7 janvier 2016 à 11h20
PHOTOS - Attentat contre Charlie Hebdo : et vous, que faisiez-vous ce jour-là ?

"Le 7 janvier, j'étais vendeuse dans une boutique, dans le quartier des Abbesses. Ce sont mes collègues qui m'ont mise au courant. Quelques instants plus tard, j'ai vu les rues se vider complètement." Margaux, 25 ans, blogueuse freelance. 
"Le 7 janvier, j'étais vendeuse dans une boutique, dans le quartier des Abbesses. Ce sont mes collègues qui m'ont mise au courant. Quelques instants plus tard, j'ai vu les rues se vider complètement." Margaux, 25 ans, blogueuse freelance.  - AC/ Metronews

"J'étais à la bibliothèque universitaire quand ça s'est passé. Je révisais mes partiels... qui devaient se tenir deux jours plus tard, porte de Charenton, à deux stations de la porte de Vincennes. Le jour de mes examens, j'ai été bloqué par la police : l
"J'étais à la bibliothèque universitaire quand ça s'est passé. Je révisais mes partiels... qui devaient se tenir deux jours plus tard, porte de Charenton, à deux stations de la porte de Vincennes. Le jour de mes examens, j'ai été bloqué par la police : l - AC/ Metronews

"Dans le magasin du 15e arrondissement où je travaille, ma collègue a débarqué en pleurs. Elle avait des amis près de la rédaction de Charlie Hebdo et elle a eu très peur. Elle craignait qu'ils soient blessés." Déborah, 21 ans, vendeuse en magasin. 
"Dans le magasin du 15e arrondissement où je travaille, ma collègue a débarqué en pleurs. Elle avait des amis près de la rédaction de Charlie Hebdo et elle a eu très peur. Elle craignait qu'ils soient blessés." Déborah, 21 ans, vendeuse en magasin.  - AC/ Metronews

"J'étais au beau milieu d'une formation pour les professionnels de la banque. On a pris le temps de regarder les informations sur nos smartphones. Mais le cours portant sur l'analyse financière, autant vous dire que personne n'a vraiment réussi à se conc
"J'étais au beau milieu d'une formation pour les professionnels de la banque. On a pris le temps de regarder les informations sur nos smartphones. Mais le cours portant sur l'analyse financière, autant vous dire que personne n'a vraiment réussi à se conc - AC/ Metronews

"Comme beaucoup, j'ai reçu les informations sur mon téléphone, au travail. Mais je ne comprenais pas du tout ce qu'il se passait. C'est le soir, quand je suis rentrée chez moi, que j'ai vraiment ressenti un sentiment de peur." Betsy, 24 ans, vendeuse. 
"Comme beaucoup, j'ai reçu les informations sur mon téléphone, au travail. Mais je ne comprenais pas du tout ce qu'il se passait. C'est le soir, quand je suis rentrée chez moi, que j'ai vraiment ressenti un sentiment de peur." Betsy, 24 ans, vendeuse.  - AC/ Metronews

"J'étais chez moi, à Paris. C'est mon père, chez qui je devais aller déjeuner, qui m'a prévenu. On a passé le reste de la journée, ensemble, devant la télévision. Mon père surtout, était incapable de décrocher!" Arthur, 22 ans, étudiant en géographie. 
"J'étais chez moi, à Paris. C'est mon père, chez qui je devais aller déjeuner, qui m'a prévenu. On a passé le reste de la journée, ensemble, devant la télévision. Mon père surtout, était incapable de décrocher!" Arthur, 22 ans, étudiant en géographie.  - AC/ Metronews

"Je travaillais, quand j'ai reçu un texto de la mère de mon compagnon, qui pensait qu'un attentat avait eu lieu dans le métro! Toute la journée, je pouvais ressentir un malaise dans le quartier. Et dans les jours qui ont suivi, plusieurs boutiques voisin
"Je travaillais, quand j'ai reçu un texto de la mère de mon compagnon, qui pensait qu'un attentat avait eu lieu dans le métro! Toute la journée, je pouvais ressentir un malaise dans le quartier. Et dans les jours qui ont suivi, plusieurs boutiques voisin - AC/ Metronews

Anaïs Condomines

Tout
TF1 Info