LES CLICS DE QUAREZ - Les victimes de viol et d'agressions sexuelles répondent à Donald Trump à travers le hashtag #WhyIDidntReport après que celui-ci ait mis en doute les accusations de Christine Blasey Ford contre Brett Kavanaugh.
Pourquoi les victimes de viol mettent du temps à en parler et à porter plainte ? La question avait été rabâchée pendant quelque temps et Donald Trump a relancé le débat dans un tweet. Le président américain s'en est notamment pris à l'accusatrice de son candidat à la Cour suprême, Brett Kavanaugh, pour des faits qui remontent dans les années 1980.
La parole s'est alors libérée et les témoignages ont fleuri sur la toile aux États-Unis, mais aussi dans l'Hexagone. Et on remarque surtout un sentiment de culpabilité et de vulnérabilité.
"Je pensais que c'était ma faute" Aux Etats-Unis, comme en France, les témoignages sont édifiants et permettent de comprendre que la culture du viol est encore bien présente dans nos sociétés. Il est temps que la honte change de camp! #WhyIDidntReport pic.twitter.com/j4lvwl6aoS — Elodie Hervé (@elodie_herve) September 22, 2018
Mais des paroles aux actes, il reste encore beaucoup à faire. Chez nous, sur les 250 000 victimes de viol l'année 2017, seules 9% ont porté plainte. Parmi les histoires du jour également, à découvrir en images: le calvaire d'une adolescente après avoir été filmée en train de frapper un lapin dans l'Oise et un père de famille qui a été arrêté aux États-Unis pour avoir utilisé sa fillette pour voler des jouets dans des cabines de machine à pinces.
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