La journaliste de TF1-LCI, Garance Pardigon, a effectué un saut en chute libre avec un commando de parachutistes de l'Armée de l'air.L'occasion d'en savoir un peu plus sur la manière dont les forces spéciales procèdent lors des opérations extérieures.
2700 mètres de chute libre, un défi vertigineux ! La journaliste de TF1-LCI, Garance Pardigon, a participé ce jeudi à un saut en chute libre avec un commando des forces spéciales de l'Armée de l'air, à l'occasion du 14-Juillet. Elle s'est élancée en tandem depuis un A400M. "C’était assez impressionnant, ça m’a coupé le sifflet. Et je ne suis pas près d’oublier ce saut avec les forces spéciales", confie-t-elle au cours du vol.
En conditions réelles, les parachutistes s’élancent depuis plus haut, jusqu'à 8000 mètres d'altitude
Garance Pardigon
"En conditions réelles, les parachutistes s’élancent depuis plus haut, jusqu'à 8000 mètres d'altitude, et surtout de nuit pour plus de discrétion. Nous, nous sommes en plein jour et nous descendons petit à petit", explique la journaliste. La discrétion, c'est aussi le silence. "Il est indispensable pour les commandos parachutistes. C’est même un atout pour eux. Car cela leur permet de poser pied à terre en toute discrétion et de prendre leur ennemi par surprise", souligne-t-elle.
Chaque parachutiste embarque avec lui avec un paquetage. Il contient du matériel de transmission, des armements, des munitions. Pour cet exercice, il pèse 10 kilos. Mais, il peut arriver que des militaires embarquent jusqu’à 250 kilos de matériel, détaille la journaliste Garance Pardigon. Or, souligne-t-elle, "il est indispensable, car la mission commence une fois qu’ils ont mis un pied sur la terre".