La saison des week-ends prolongés a démarré début avril avec Pâques.Cette année, alors que le mois de mai se profile, les jours fériés nous gâtent.Encore fallait-il bien les poser pour maximiser ses congés...
Après une année 2022 où de nombreux jours fériés correspondaient à des week-ends, le mois de mai 2023 devrait en ravir plus d'un. Entre la Fête du travail et la commémoration de l'Armistice de 1945, qui correspondent aux lundis 1er et 8 mai, suivis du jeudi de l'Ascension, qui tombe lui le 18 mai, sans oublier la Pentecôte qui, elle, a lieu le lundi 29, il est possible de profiter d'un grand nombre de jours de congés en en posant un minimum.
L'occasion idéale pour s'évader et souffler un peu, comme se préparent à le faire les Français interrogés par TF1 dans le reportage en tête de cet article. À condition toutefois de faire les bons calculs et de s'y être pris suffisamment tôt, autrement dit avant ses collègues qui ont sûrement eu la même idée que vous. Mais, après tout, il n'est peut-être pas trop tard ! Rien qu'en mai, il est possible d'obtenir dix-huit jours de repos (week-ends compris), en posant seulement six jours.
En posant quatre jours de congés du 2 au 5 mai, vous obtenez dix jours de repos d'affilée. De même, à l'Ascension qui correspond au 18 mai, en posant le vendredi 19, vous pourrez également profiter d'un week-end de quatre jours (du 18 au 21 mai) - d'autant que les classes vagueront les 19 et 20. Un autre week-end de quatre jours est aussi possible en posant le vendredi 26 mai, avec la Pentecôte qui tombe le lundi qui suit.
Maintenant, vous n'avez plus qu'à trouver la destination !