Aurores boréales, chenilles processionnaires, "sulfateuse à PV"… Les 5 vidéos marquantes de TF1 cette semaine

La semaine passe à toute vitesse et vous avez loupé une partie des JT de 13H et de 20H ? Vous pouvez bien sûr les rattraper sur notre application TF1 Info, en particulier grâce à notre offre de JT personnalisés. Vous pouvez aussi découvrir, ci-dessous, cinq reportages marquants de ces derniers jours.

Admirer les aurores boréales sans aller jusqu’au cercle polaire : les amateurs français d'astronomie n'avaient qu'à lever les yeux au ciel dans la nuit du 23 au 24 avril. Dans plusieurs régions de l'Hexagone, il suffisait de veiller tard pour en apercevoir. Le 20H de TF1 a recueilli le témoignage de chanceux photographes ayant réussi à immortaliser ce phénomène rarissime provoqué par une éruption solaire et qui, selon les spécialistes, pourrait bien se reproduire à l'avenir. 

En raison du réchauffement climatique, le retour des chenilles processionnaires du pin se fait de plus en plus précoce. "Toute la France est contaminée", alerte auprès de TF1 un spécialiste qui intervient pour tenter d'éradiquer ces insectes aux poils très urticants, hautement nuisibles tant pour les animaux que les êtres humains. "L'urticaire, c'est le premier risque. Ensuite, les rhinites, conjonctivites, donc une atteinte nasale ou oculaire", explique Sébastien Lefèvre, président du Conseil national professionnel d'allergologie. 

Malgré sa couleur blanche, c'est la bête noire des automobilistes. Autant redoutées qu'efficaces dans leur tâche, les "sulfateuses à PV" peuvent scanner jusqu'à 1500 plaques d'immatriculation par heure. Le 13H de TF1 a pu suivre la tournée de l'une d'entre elles dans les rues de Villeurbanne (Rhône), où le recours à ces véhicules flanqués de dizaines de caméras installées sur le toit permet désormais de contrôler la totalité des places payantes de la ville en l'espace d'une journée, pour un bilan de 800 verbalisations quotidiennes.  

Des tonnes de gravats et de déchets, des pneus, de l'électroménager, des produits toxiques... Voilà ce qui s'accumule depuis trois ans sur le chemin de la Madrague-Ville, artère située à cinq kilomètres à peine du Vieux-Port de Marseille. Une décharge sauvage à ciel ouvert, "la pire de la ville" selon un élu local, qui empoisonne le quotidien des riverains. "Je ne supporte plus d'habiter ici, ça me rend malade", témoigne une habitante exaspérée au micro de TF1. La municipalité, elle, espère en venir à bout grâce à l'installation prochaine de caméras de vidéosurveillance.   

"Nous sommes ici aujourd'hui pour demander l'arrêt définitif de ce chantier délirant." Lorsque notre équipe a découvert le petit village de Saint-Pierre-de-Colombier (Ardèche), c'était à l'occasion d'une manifestation contre le projet. Celui d'une nouvelle église monumentale pour une congrégation religieuse rigoriste implantée ici depuis l'après-guerre, devenue trop à l'étroit dans l'ancienne. "Un projet démesuré, qui détruit une vallée", selon ses opposants, "le projet de Dieu", selon le père Bernard Pinède, le supérieur de la Famille missionnaire de Notre-Dame, la communauté qui l'a commandité. Suspendus pendant deux ans et demi, à la suite de plusieurs procédures en justice, les travaux ont repris il y a quelques semaines. De quoi raviver les tensions entre les deux camps.