ACCUSATION - Accusé par "L'Equipe" de s'être rendu en "boite de nuit" à 48 heures d'une élimination historique de son club du PSG contre le FC Barcelone, Marco Verratti a décidé de porter plainte contre le journal.
Le "Petit Hibou" contre-attaque. Accusé de s'être rendu en "boîte de nuit" à 48 heures d'une déculottée historique contre le FC Barcelone (6-1) par L'Equipe, Marco Verratti a décidé de porter plainte. En effet, le quotidien sportif affirmait que, ce lundi, le milieu de terrain s'était accordé une virée nocturne en compagnie de Blaise Matuidi.
PSG : Blaise Matuidi et Marco Verratti se trouvaient en boîte de nuit avant Barcelone https://t.co/Coz6JmGkX6 pic.twitter.com/7hSJKeHmKQ — L'ÉQUIPE (@lequipe) 10 mars 2017
Une accusation qui provoque l'ire du club
Le PSG a balayé d'un revers de main le propos du journal. Ce vendredi, dans un communiqué officiel, le club de la capitale a assimilé cette accusation à une "insulte", remettant en cause au passage, la crédibilité du journal. Pour sa défense, Marco Verratti sera accompagné par l'avocat Carlo Alberto Brusa, qui avait notamment défendu Zinédine Zidane, Didier Deschamps ou Franck Ribéry.
pic.twitter.com/7ZqHSS9Hh4 — PSG Officiel (@PSG_inside) 10 mars 2017
Un consultant de RMC attaqué
L'entourage du natif de Pescara est également outré par l'analyse du consultant de la radio RMC, Daniel Riolo. Le journaliste, également attaqué par Verratti, a remis en cause 'l'hygiène de vie" de l'italien âgé de 24 ans, puis, l'a qualifié de "minable".
Matuidi et Verratti en boite avant Barcelone ? Ouais ouais... L'hygiene de vie du "petit genie" on en parle depuis quand ??? Minable — Daniel Riolo (@DanielRiolo) 10 mars 2017
Pour leur défense, Matuidi et Veratti soutiennent qu'ils n'étaient pas véritablement "en boîte de nuit" à la veille de se rendre à en Catalogne. Ils auraient simplement assisté au lancement d’une collection de la marque Puma, signée par la chanteuse Rihanna. L’événement se tenait dans une discothèque du XVIe arrondissement ( à l'Arc) mais la prestigieuse adresse parisienne faisait simplement office de lieu de réception. Rien de bien différent de ce qu'avait écrit L'Equipe, finalement. D'après plusieurs témoins, les deux hommes auraient quitté les lieux après minuit.