(SUR) ENCHÈRE – Selon le quotidien sportif espagnol "Marca", les Merengue envisageraient la venue de l'attaquant parisien Neymar. Et pour espérer s’attacher les services du Brésilien, le rival du FC Barcelone préparerait une enveloppe monstre.
450 millions d’euros ! C’est l’enveloppe que préparerait le club merengue pour faire venir "le meilleur". La rumeur de cet improbable transfert émane du quotidien sportif espagnol Marca. Inquiet de la contre-performance de ses joueurs en Ligue des champions face à Tottenham (3-1), Florentino Pérez aurait déjà la tête au mercato d’été 2018. Le président madrilène aurait même déjà prévu d'allonger 200 millions d'euros, uniquement que pour le transfert, et se doute bien que, pour rémunérer le joueur, 250 millions supplémentaires ne seront pas de trop.
Reste à savoir si le président Nasser Al-Khelaïfi est prêt à lâcher "LE" joueur qui est la pierre angulaire du projet, après un bras de fer avec le FC Barcelone. Une éventualité qui paraît peu probable, même si des bruits de vestiaire font état d'un malaise entre le crack auriverde et le coach du PSG, Unai Emery.
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#LoMásComentado El Real Madrid prepara 200 millones de euros para fichar a Neymar https://t.co/toGHHJZVPA pic.twitter.com/Ui931pdVLE — MARCA (@marca) 12 novembre 2017
"Je suis heureux, motivé pour gagner à Paris"
Le principal intéressé, que l'on imagine mal tourné le dos à ses (toujours) amis du FC Barcelone en rejoignant le rival honni du Real Madrid, a démenti en conférence de presse avec sa sélection. "Je suis heureux, motivé pour gagner à Paris, pour être un joueur qui donne tout sur le terrain et à mes coéquipiers. Il y a des choses qui me dérange. On invente beaucoup d'histoires comme quoi j'ai un problème avec lui (Cavani). Bien au contraire", a-t-il précisé.
Et de réaffirmer son engagement : "Je connais mon importance dans l'équipe et mon rôle sur le terrain. Je fais ce que l'entraîneur me demande (...). J’ai été très bien reçu à Paris. Tout le monde m’a bien traité et ça m’a rendu heureux. Ça aide beaucoup, peu importe qu’il y ait beaucoup de Brésiliens ou non".