Sans les arrêts, les réflexes et l'expérience d'Hugo Lloris, la France ne serait peut-être pas en finale.L'inamovible gardien de but des Bleus est en poste depuis 2008.Nice, sa ville natale, espère voir ce capitaine d'équipe soulever à nouveau la Coupe du monde.
Il n’en finit plus de faire rêver les Niçois : Hugo Lloris, l’enfant du pays. Capitaine de l’équipe de France aux 144 sélections en Bleu, un record qui fait la fierté de toute une ville et de ses amis de longue date. Notre équipe a rencontré son premier entraîneur, Régis Bruneton. Il s’en souvient comme si c’était hier des débuts du petit Hugo dans les buts.
À 8 ans, chez les poussins, il impressionnait déjà. "Il était dans des cages de six sur deux. Pour les petits, c’était six mètres sur deux. Prise de balles, il partait à droite, il partait à gauche. Je suis heureux parce que je me dis : 'Hugo, tu es vraiment comme je t’ai connu'. À droite, à gauche comme un chat", se souvient son premier entraineur.
La suite, c’est une carrière exceptionnelle chez les Bleus qui force l’admiration des Niçois. Et si, comme en 2018, les Bleus ramenaient la Coupe du monde ? Tout le monde, ici, à Nice, y croit. Battre l’Argentine en finale et remporter une troisième étoile, dimanche, pour revivre encore une fois le retour triomphal d’Hugo Lloris chez lui, à Nice.
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