À partir du 1er septembre, les entreprises ont toute latitude pour définir les règles du télétravail. L'État n'impose plus un nombre minimal de jours de travail à distance. Comment s'organisent les salariés et leur employeur ?
À compter de ce 31 août soir, le télétravail n'est plus obligatoire. Dans chaque entreprise, les employeurs et les syndicats devront s'entendre pour fixer leurs propres règles. Déjà 20 000 accords ont été conclus. Ceci étant dit, dans notre pays, quatre employés sur dix préféreraient démissionner plutôt que de renoncer au télétravail.
À la société Verlingue, c'est l'heure des retrouvailles pour les courtiers en assurances. Longtemps à 100 en télétravail, ils retrouvent enfin leurs habitudes. Un retour à la normale ou presque. Ils vont pouvoir continuer à télétravailler deux jours par semaine. La direction a accepté la demande des 1 200 employés. Deux jours de télétravail, c'était le maximum pour Frédéric Chaplain, directeur chez Verlingue à Paris. Selon ce responsable, la présence en entreprise reste indispensable.
Dans la société Omie & Cie, qui commercialise des produits d'épicerie sur Internet, le télétravail a longtemps été la norme. Désormais, seule la moitié des salariés pourra bénéficier d'un jour de travail à distance. Dans cette entreprise, tous les salariés ont approuvé cette décision.
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