Calanques : randonnée vertigineuse sur les crêtes

Publié le 15 mars 2021 à 20h34, mis à jour le 16 mars 2021 à 12h40
JT Perso
Comment désactiver votre Adblocker
  • Cliquez sur l'icône de votre Adblocker installé dans votre navigateur. En général elle se trouve dans le coin supérieur droit de votre écran. Si vous utilisez plusieurs adblockers, veillez à bien tous les désactiver pour pouvoir accéder à votre vidéo.
  • Suivez les instructions indiquées par votre Adblocker pour le désactiver. Vous devrez peut-être sélectionner une option dans un menu ou cliquer sur plusieurs boutons.
  • Lorsque votre Adblocker est désactivé, actualisez votre page web.
  • Remarque : Si vous utilisez le navigateur Firefox, assurez-vous de ne pas être en navigation privée.
adblock icone
Un bloqueur de publicité empêche la lecture.
Veuillez le désactiver et réactualiser la page pour démarrer la vidéo.

Source : JT 20h Semaine

Ils auraient pu randonner tranquillement dans le parc des Calanques. Mais ce que viennent chercher Yvette et Benjamin en suivant notre guide, casques et mousquetons en bandoulière, c'est bien autre chose. Quelque chose de vertigineux.

C'est parti pour quatre kilomètres et cinq heures de marche à travers les falaises Soubeyranes, fracture minérale de gré, de calcaires et de poudings, qui plongent dans la mer. Dans les sillons de la falaise, un sillonnement insoupçonné, dessiné par la nature. Petit à petit, les passages se resserrent. Pour poursuivre, il faut s'équiper, et surtout ne pas manquer Notre-Dame des falaises, car juste en dessous, un rappel de trente mètres. Les jambes tremblent, le souffle est court, mais pas question de regarder en bas.

C'est à l'arrivée que c'est le plus impressionnant. Bousculade interdite. Il faut récupérer la corde pour progresser en toute sécurité sur les corniches sablonneuses du sentier de Philémon. Parfois, il ne fait pas plus de 40 cm de large, alors, il faut prendre sur soi. Bien accroché, après deux heures de marche, nous arrivons au bout du chemin, à la petite grotte où se cachait le braconnier. Fatigué, certes, mais sans regret. En rejoignant la route des crêtes face à la Méditerranée, chez tous, le même sentiment domine, celui d'avoir repoussé ses limites.


La rédaction de TF1info

Tout
TF1 Info